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Introduzione a Quine
Gloria ORIGGIÉditeur : Laterza - 2000
Tra esperimento e ragione. Storia dello spirito scientifico tra Ottocento e Novecento
Mirella FORTINOÉditeur : Aracne - 2008
Duhem, Meyerson et l’épistémologie américaine postpositiviste
Sandra LAUGIERSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
L’écosystème existe-t-il ? Le tout et la partie en écologie
Patrick BLANDINSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Holisme et réductionnisme en épidémiologie et la question de la continuité entre santé et maladie
Élodie GIROUXSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Outils analytiques pour une conception générale du holisme
Michael ESFELDSous la direction de Pascal ENGELDans Cahiers de philosophie de l’Université de Caen - 1999
Puissance et limites de la réduction
Mario Augusto BUNGESous la direction de François ATHANÉ, Marc SILBERSTEIN, Édouard GUINETDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2007
Les formes élémentaires de la vie sociale
Laurence KAUFMANN, Fabrice CLÉMENTSous la direction de Michel de FORNEL, Cyril LEMIEUXDans Naturalisme versus constructivisme - 2008
Can the Principle of Least Action Be Considered a Relativized A Priori?
Michael STÖLTZNERSous la direction de Michel BITBOL, Pierre KERSZBERG, Jean PETITOTDans Constituting Objectivity. Transcendental Perspectives on Modern Physics - 2009
Duhemian Themes in Expected Utility Theory
Philippe MONGINSous la direction de Jean GAYON, Anastasios BRENNERDans French Studies in the Philosophy of Science. Contemporary Research in France - 2009
Conventions et lois de la science d’après Angèle Kremer-Marietti
Hamdi MLIKASous la direction de Abdelkader BACHTADans Épistémologie et philosophie des sciences - 2010
Le traitement moral de Pinel : épistémologie et philosophie de l'esprit de l'aliénisme : Thèse de doctorat : Philosophie : Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne : 2008, sous la direction de Pierre-Henri Castel
Lionel FOURÉ
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Éditeur : - 2008
De l'explication dans les sciences sociales : holisme et individualisme
Bernard VALADESous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
La philosophie des sciences sociales
Ruwen OGIENSous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
L’Aufklärung del XX secolo : Origini storiche ed epistemologia del Circolo di Vienna
Mirella FORTINOÉditeur : Aracne - 2012
Quine
Michel OLIVIERÉditeur : Les Belles Lettres - 2015
Réductionnisme, holisme et émergentisme
Matteo MOSSIO, Jon UMEREZSous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
I. Caratteri generali dell’opera di Quine. – II. Verità e analiticità. – III. L’ontologia di Quine. – IV. Il problema del significato. – V. I capricci del riferimento: opacità referenziale, atteggiamenti proposizionali, modalità. – VI. Naturalismo e fisicalismo: l’epistemologia di Quine. – Cronologia della vita e delle opere. – Storia della critica. – Bibliografia. M.-M. V.
Sono qui presentate le principali elaborazioni concettuali della riflessione sulla scienza in ambito francese tra la fine del secolo XIX e l’inizio del secolo XX. In un contesto critico in cui interagiscono storia della scienza e teoria, sono al centro della riflessione paradigmi di scientificità in ambiti diversi del sapere. Convenzionalismo, indeterminismo e olismo costituiscono “chances” d’interrogazione sul potere, sul valore, sui limiti della conoscenza scientifica, secondo una prospettiva critica che, non incline a sostenere interpretazioni scettiche, è interessata piuttosto a difendere il valore conoscitivo dell’impresa scientifica. Il volume si compone di sei capitoli suddivisi in paragrafi. – I. Filosofia della scienza e storia della scienza tra Ottocento e Novecento. – II. La tesi convenzionalista nella filosofia della geometria di Poincaré. – III. Il determinismo nelle scienze della vita. – IV. Determinismo e indeterminismo nelle scienze fisiche. – V. Il convenzionalismo fisico. – VI. La tesi olista di Duhem fra storia e teoria. M. F.
Examinant quelques aspects de l’œuvre de Duhem et de Meyerson, l’article tente de comprendre pourquoi, méconnus dans leur propre pays, les épistémologues français ont été une source d’inspiration pour nombre de philosophes des sciences américains. – Holisme, instrumentalisme, ontologie; – Théorie physique et traduction; – Le réalisme et l’histoire.
L’écosystème est-il un tout ?; – L’approche holiste et hiérarchique; – Le tout est-il plus que la somme des parties ? L’affrontement des positions; – La vision coévolutionniste et transactionnelle; – Conclusion.
L’importance prise par l’épidémiologie dite “quantitative” dans la construction des savoirs sur la maladie conduit à privilégier l’affirmation d’une continuité entre le normal et le pathologique. Qu’en est-il, dès lors, de la thèse vitaliste et holiste de Canguilhem défendant l’existence d’une différence qualitative ? Nous traitons cette question d’une manière quelque peu détournée en partant non pas du couple continuité/discontinuité ni même du couple qualitatif/quantitatif mais de celui tout/parties, ou plus précisément, holisme/réductionnisme. L’épidémiologie, bien que porteuse d’une modélisation continuiste, a une approche de la maladie qui échappe aux critiques de Canguilhem sur le réductionnisme. Dans le contexte d’une médecine des risques, l’alternative entre une conception continuiste ou discontinuiste des relations entre le normal et le pathologique n’est pas dissociable des objectifs pratiques et du niveau d’organisation auquel on cherche à intervenir.
L’auteur propose ici un essai d’utilisation des outils conceptuels de la philosophie analytique pour arriver à une conception du holisme qui est générale, précise et substantielle. Une telle conception est un des préliminaires souhaitables pour examiner si les formes du holisme dans des domaines différents exhibent des similarités structurelles, et pour déterminer leurs implications pour notre vue du monde et de nous-mêmes.
Le réductionnisme, en tant que programme de recherche, s’est donné pour objectif d’expliquer toute chose à partir de ses microcomposants. À ce titre, bien que le réductionnisme ait remporté de nombreux succès, et possède une valeur heuristique très forte, il lui est continuellement opposé l’accusation d’une simplification à outrance de la réalité. Cette objection, aussi forte soit-elle, ne valide pas pour autant la position de l’antiréductionnisme. Dans cet article, l’auteur propose une version modérée du réductionnisme. Après avoir défendu la thèse ontologique que certains phénomènes sont émergents (ce sont des touts cohésifs, dotés de qualités nouvelles par rapport à leurs parties), l’auteur montre que toutes les sciences, même la physique fondamentale, font appel, dans leurs explications, à des entités macroscopiques. Cette dernière considération milite en faveur d’une épistémologie qui fasse alternativement appel, selon les processus, à des explications du macro par le micro, et du micro par le macro, combinant ainsi la puissance explicative du réductionnisme et du holisme. — Article traduit de l’anglais par Édouard Guinet.
Dans la plupart des réflexions méthodologiques et épistémologiques qui sont menées en sciences sociales, l’opposition entre naturalisme et constructivisme recoupe terme à terme l’opposition entre individualisme et holisme. Cet article vise à remettre en question cet a priori épistémologique en entrant, ainsi que le proposent les sciences naturalistes de l’esprit, «dans la tête» des agents sociaux. Ce «détour» par l’esprit montre que les préceptes de l’individualisme méthodologique sont loin de rendre compte du mode d’appréhension «naturel» du monde social. Au contraire, la saisie intuitive des faits sociaux mise en œuvre par les membres ordinaires se rapproche de la compréhension savante préconisée par la sociologie durkheimienne : les «sociologues naïfs» appréhendent les formes sociales, tels que les normes, les formats de relations ou les appartenances de genre ou de race, comme des faits objectifs, sinon des «choses», dont le statut expérientiel est «quasi perceptif». Grâce à cette sociologie naïve, spontanément réaliste et holiste, les individus sont à même d’anticiper le comportement de leurs semblables et d’identifier quelles sont les manières de parler et d’agir appropriées à la situation. L’enquête cognitive et développementale plaide ainsi pour une forme de naturalisme social non réductionniste, fondé aussi bien sur le caractère objectif des faits sociaux que sur les capacités et les attentes qui permettent aux agents sociaux de les détecter et de les catégoriser.
In most methodological and epistemological reflections in the social sciences, the opposition between naturalism and constructivism confirms the word-to-word opposition between individualism and holism. The article questions this epistemological a priori through a study of social agents, as proposed by natural sciences. This mental «deviation» shows that the precepts of methodological individualism are far from accounting for the manner of «natural» understanding of the social world. On the contrary, the intuitive grasp of social facts applied by ordinary members comes close to the learned understanding recommended by Durkheimian sociology; «naive sociologists» grasp social forms such as norms, size of relations or belonging to gender or race, as objective facts, if not of «things», whose experience is «quasi perceptive». Thanks to this naive, spontaneously realistic and holistic sociology, individuals are given to anticipating the behaviour of their fellows and identifying ways of speaking and acting that suit the situation. The cognitive and developmental inquiry thus pleads for a form of non-reductionist naturalism, based as much on the objective character of social facts as on the capacities and expectations that allow social agents to detect and categorize them.
Hardly another principle of classical physics has to a larger extent nourished hopes into a universal theory and has simultaneously been plagued by mathematical counterexamples than the Principle of Least Action (PLA). This paper investigates whether the PLA can be interpreted as a historically relativized constitutive a priori principle of mathematical physics along the lines Michael Friedman has drawn in Dynamics of Reason, using the example of relativity theory. Such an interpretation suggests itself, historically, because two main advocates of the PLA, Max Planck and David Hilbert, considered relativity theory as a case in point for the PLA. But they were also aware of the mathematical pitfalls and that without physical specification the PLA only represented an empty form. I argue that the different levels required for a consistent application of the PLA in mathematical physics induce a stratification that bears close parallels to the one by which Friedman intends to overcome the joint challenges of epistemological holism and a relativist reading of Kuhnian incommensurability. Yet, two differences remain. First, the mathematical and physical levels of the PLA are more intertwined than in Friedman's case. Second, although the PLA has survived quite a few scientific revolutions, so has the formulation of physical theories in terms of differential equations.
According to the philosophical position of epistemological holism, the statements of the empirical sciences do not relate to observations singly, but collectively. This is because these statements belong to logically complex theoretical structures, which are to a large extent indivisible, and also because further theoretical assumptions (an “observational theory”) underlie the observations made to check them empirically. As a consequence of this basic claim, all brands of epistemological holism include an underdetermination thesis, to the effect that the scientists’ decisions about hypotheses are underdetermined by the evidence available to them, and in particular, by the results of the tests they perform. Pragmatic reasons must eventually prevail in the choice of attributing the evidence to this or that part of the theoretical whole, and when elaborating on these reasons, philosophers of science will never offer more than partial and context-dependent guidelines.
Analyse de la réponse donnée par la philosophe française à la question de la nature des arguments dits conventionnalistes du point de vue de leur rapport aux lois de la science. L’auteur tente de montrer comment le type de conventionnalisme qu’elle tolère est celui qui remonte à Poincaré, mais aussi, en un certain sens, à Wittgenstein, dans la mesure où il est lié au libre choix des concepts et des systèmes de signes, par delà toute théorie réaliste rigide. L'auteur insiste sur le fait que la philosophie des sciences d’Angèle Kremer-Marietti ne redéploie aucun concept substantiel de la vérité de la science et de son objectivité. Les arguments conventionnalistes interviennent précisément dans sa philosophie des sciences pour renforcer une certaine coupure entre la conception traditionnelle de l’objectivité et le recours aux conventions: les conventions veulent dire avant tout des stipulations qui dépendent de notre langage, un langage que nous créons et contrôlons librement.
Le Traité médico-philosophique sur l'aliénation mentale de Philippe Pinel est à juste titre considéré comme un ouvrage fondamental de la médecine mentale française, car l'aliénisme est né dans son sillage, et avec lui les hospices d'aliénés. Pourtant, les historiens et les philosophes de la protopsychiatrie se sont rarement intéressés à son contenu proprement rationnel, et ont de fait focalisé leurs analyses sur les effets institutionnels de l'oeuvre de Pinel qu'ils ont appréhendés comme une forme de contrôle social. L' examen attentif du corpus des textes aliénistes permet de réviser ce lieu commun et d'en contester la valeur. Non seulement parce que la thèse disciplinaire repose sur des arguments peu convaincants, mais aussi et surtout parce que le traitement moral prend en réalité appui sur un holisme anthropologique dont on ne saurait méconnaître la portée profonde. Pour rendre compte de la nature réelle du traitement moral de Pinel, il faut par conséquent articuler l'épistémologie de l'aliénisme à sa philosophie sociale de l'esprit. – Bibliographie, pp. 297-308.
Ce chapitre analyse les points de vue holiste et individualiste en économie, anthropologie, sociologie et histoire. Revenant aux sources historiques du débat entre holisme et individualisme, l'auteur présente successivement les différentes formes d'holisme et les figures de l'individualisme à travers les oeuvres les plus représentatives de ces approches méthodologiques. – Bibliographie, pp. 402-405.
F. F.
L'objet de cet article est la philosophie des sciences sociales. L'auteur l'aborde d'un point de vue analytique, c'est-à-dire conceptuel. – Bibliographie, pp. 572-575.
F. F.
In questo volume l’intento dell’Autrice è mettere a fuoco alcuni temi teorici della Wissenschaftliche Weltauffassung (concezione scientifica del mondo) che un gruppo di filosofi e scienziati, fortemente indebitati nei confronti di Bertand Russell e Ludwig Wittgenstein, definiscono a Vienna, negli anni Venti e Trenta del XX secolo. La battaglia positivista contro l’apriorismo e contro ogni presupposto di ordine metafisico, il criterio di verificazione concepito come criterio di significanza empirica, la svolta eversiva rispetto all’ortodossia empirista di Moritz Schlick, il ruolo quindi del sociologo ed economista Otto Neurath, le cui posizioni oliste saranno molto apprezzate da Willard Orman Quine, e l’empirismo di un insigne rappresentante della scuola di Berlino, Hans Reichenbach, sono al centro del volume. La trattazione dell’Autrice ha cura di porre anche in risalto significative convergenze nonché le innegabili divergenze tra il neoempirismo viennese, che vuole coniugare il fondamento empirico della conoscenza e il rigore logico, e la tradizione convenzionalista francese. In appendice infine si possono leggere, nella traduzione italiana dell’Autrice, le pagine dello scritto Fisicalismo, in cui Neurath elabora la critica della nozione di “proposizione protocollare” con la quale, in sintonia con altri saggi critici, la Wissenschaftliche Weltauffassung del Circolo di Vienna liberalizza il criterio della significanza empirica, riconoscendo il ruolo fondazionale del linguaggio nella costruzione del sapere scientifico. Content : Indice ; Introduzione. – Capitolo I : « L’origine del neoempirismo nel milieu franco-austriaco all’alba del XX secolo » – I.1. La nascita della concezione scientifica del mondo in un antico Caffè di Vienna – I.2. L’epistemologia machiana – I.3. La critica convenzionalista di Poincaré e il fenomenismo di Duhem – I. 4. La filosofia di Abel Rey « verso un positivismo assoluto » – I.5. Il pensiero di Abel Rey precursore della “concezione scientifica del mondo”. – I.6. Perché Vienna? – I.6. I Vienna tra la fine del secolo XIX e la nascita della Repubblica austriaca nel 1919 – I. 6.2 La filosofia di Vienna – I. 7. Perché Parigi senza Wissenschaftliche Weltauffassung o concezione scientifica del mondo? – I. 8. Nota sull’espressione “positivismo logico”. Capitolo II : « Empirismo e a priori senza apoditticità » – 2.1 Possiamo fare a meno, nella conoscenza, e nella scienza quindi, dell’a priori ? 2. 2. L’a priori sintetico come condizione trascendentale della conoscenza dei fenomeni – 2.3. Convenzionalismo versus criticismo? – 2.4. La negazione dell’apriorismo kantiano in Moritz Schlick – 2.5 L’a priori secondo la critica degli storici della scienza. Capitolo III : « Significato, verificabilità e interpretazione » – 3.1. La prospettiva positivista. « Empirismo critico » e problema del significato – 3.2. L’esigenza verificazionista in Positivismus und Realismus – 3.3. Le constatazioni in funzione dell’esigenza verificazionista – 3.4. Potenziali insidie antipositiviste ? – 3.5. Quanta verità può vantare la teoria della corrispondenza di Schlick? – 3.6. Il principio della “verificabilità aperta” di Friedrich Waismann – 3.7. Oltre il neopositivismo. La deontologizzazione della teoria: un empirismo senza dogmi, non un’epistemologia senza prova. Capitolo IV : « Leggi di natura e convenzioni nell’epistemologia di Schlick » – 4.1. Scienza, legge e previsione – 4.2. Le leggi di natura secondo il credo empirista di Schlick non sono convenzioni – 4.3. Significato e verificazione – 4.4. Invariantismo delle leggi di natura – 4.5. Epistemologia e linguaggio – 4.6. Fraintendimenti. Capitolo V : « Come marinai in mare aperto … La svolta eversiva del Kreis: la tesi Neurath-Quine » – 5.1. Fisicalismo e controversie sui protocolli – 5.2. La negazione schlickiana della “coherence theory of truth” – 5.3. La tesi olista e il pragmatismo di Neurath – 5.4. La critica del modus tollens e l’ideale dell’enciclopedia-modello in funzione anti-sistema – 5.5. Dal fiscalismo verso l’empirismo senza dogmi : Tesi D-Q o Tesi D-N ? Capitolo VI : « La critica convenzionalista, il neocriticismo e l’empirismo di Reichenbach » – 6.1. Convenzioni vs apriorismo ed empirismo. 6.2. I riconoscimenti di Cassirer nei confronti di Poincaré – 6.3. Hans Reichenbach e l’irriducibile arbitrarietà delle scelte teoriche – 6.4. Convenzionalismo e oggettività. Appendice : Otto Neurath, Fiscalismo. M. F.
Cet ouvrage vise à présenter dans toutes ses ramifications la question au centre de l’œuvre de Willard Von Orman Quine (1908-2000) et sa méthode de traitement, à savoir : celle de la possibilité de la science et de sa compréhension, suivant une approche empiriste et réaliste. La signification est-elle réductible à la référence ? À partir des quatre grandes conceptions de la signification proposées dans les philosophies de traditions anglo-américaine et analytique (logiciste, mentaliste, pragmatiste, empiriste logique), l’auteur expose dans un premier chapitre la conception originale de Quine, holiste, dont le propos est de montrer que la signification ne correspond pas à une entité extra-langagière ; thèse qui le conduit d’une part à rejeter la distinction classique entre énoncés analytiques et énoncés synthétiques, d’autre part à redécouvrir le cercle herméneutique, dont est porteuse la notion de signification. En découlent les deux conséquences suivantes : la signification et la synonymie sont inassignables, et les données d’observation laissent indéterminée la référence. Dès lors, les chapitres II et III explorent les liens logiques entre les trois thèses de sous-détermination (de la traduction, des théories scientifiques, de la référence) mises au jour par Quine : soit le constat que deux langages, deux théories scientifiques ou encore deux comportements verbaux pourtant incompatibles entre eux peuvent cependant être compatibles avec les mêmes données observables, les mêmes données empiriques ou les mêmes situations contextuelles. Le chapitre IV présente la conception quinienne de la logique (dans la mesure où la logique est ce qui permet d’articuler les énoncés théoriques de la science au réel) en accord avec sa vision naturaliste et empiriste. Le chapitre V nous permet alors de comprendre en quoi la position holiste de Quine le conduit à proposer une épistémologie naturalisée, soutenue par une normativité anthropologique au centre de laquelle opère un schème conceptuel, fond de croyances relatif à une culture, et à partir duquel se construisent les rapports de la science à l’expérience du monde. Le dernier chapitre étudie quant à lui la postérité et les usages contemporains de la philosophie de Quine dans la philosophie analytique de la seconde moitié du XXe siècle (chez Davidson, Rorty, Putnam), ainsi que sa réception critique chez deux philosophes français post-structuralistes (Lyotard et Descombes). – Repères chronologiques, pp. 13-16 ; Conclusion, pp. 317-321 ; Glossaire, pp. 323-336 ; Notices biographiques, pp. 337-351 ; Bibliographie, pp. 353-360 ; Index nominum, pp. 361-362 ; Index rerum, pp. 363-367 ; Table des matières, pp. 369-371.
F. F.
En se concentrant sur le cas de la biologie moléculaire, cet article étudie le problème du réductionnisme et montre qu’une tendance orientée vers des positions holistes n’implique pas nécessairement l’adoption d’une posture émergentiste, bien qu’un certain nombre de raisons favorables à une telle posture dans la biologie contemporaine soient avancées à la fin de l’article.
F. F.