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A Theory of Epistemic Justification
Jarrett LEPLINÉditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 2009
Qu’est-ce qu’une opinion justifiée ?
Pierre JACOBSous la direction de Pierre JACOBDans L’Âge de la science. Lectures philosophiques - 1989
Contexte de justification et contexte de découverte : une réévaluation
Francis JACQUESSous la direction de Renée BOUVERESSE-QUILLIOTDans Karl Popper et la science d’aujourd’hui - 1989
Modes d’action collective et construction éthique. Les émotions dans l’évaluation
Pierre LIVET, Laurent THÉVENOTSous la direction de Jean-Pierre DUPUY, Pierre LIVETDans Les Limites de la rationalité - 1997
Reasoning with Justifications
Melvin Chris FITTINGSous la direction de David MAKINSON, Jacek MALINOWSKI, Heinrich WANSINGDans Towards Mathematical Philosophy - 2009
Critical Rationalism and the Principle of Sufficient Reason
Gunnar ANDERSSONSous la direction de Zuzana PARUSNIKOVÀ, Robert Sonné COHENDans Rethinking Popper - 2009
Why Advocate Pancritical Rationalism?
Darrell P. ROWBOTTOM, Otávio BUENOSous la direction de Zuzana PARUSNIKOVÀ, Robert Sonné COHENDans Rethinking Popper - 2009
Popper's Continuing Relevance
Ian Charles JARVIESous la direction de Zuzana PARUSNIKOVÀ, Robert Sonné COHENDans Rethinking Popper - 2009
Unité de la justification à l’épreuve de la justification juridique
Mathilde COHENSous la direction de Thierry MARTINDans L’Unité des sciences. Nouvelles perspectives - 2009
La philosophie des sciences sociales
Ruwen OGIENSous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
L'Autre École d'Iéna : Critique, métaphysique et psychologie chez Jakob Friedrich Fries
Christian BONNETÉditeur : Classiques Garnier - 2013
L'algorithmique et les sciences
Bernard CHAZELLEÉditeur : Collège de France - 2013
L’Observation scientifique : Aspects philosophiques et pratiques
Vincent ISRAEL-JOSTÉditeur : Classiques Garnier - 2015
This book proposes an original theory of epistemic justification that offers a new way to relate justification to the epistemic goal of truth-conducive belief. The theory is based on a novel analysis of reliable belief-formation that answers classic objections to reliability theories in epistemology. The analysis generates a way of distinguishing justified belief from believing justifiedly, such that inerrant belief-formation need not be justificatory whereas systemic deception could be. It thereby respects the intuition that standards for justification must be accessible to the believer, while maintaining the essential connection of justification to truth. The analysis shows how justification relates to, but is distinct from, evidence, rationality, and probability. It provides a unifying treatment of issues central to current debate in epistemology, including epistemic paradoxes, epistemic closure, skepticism, contextualism, virtue theories, the effect of luck on knowledge and justification, the interpretation of subjunctive conditions for justification, the conflict between internalism and externalism, and metaphilosophical evaluation of epistemological theories. There are further applications to metaphysics, the philosophy of language, the philosophy of science, and ethics. – 1. Introduction. – 2. Truth-conduciveness. – 3. Reliability. – 4. Justification. – 5. Inference. – 6. Epistemic. – 7. Skepticism. – 8. Tracking and Epistemic Luck. – 9. Intellectual Virtue. – 10. Counterexamples. – 11. Intuition and Method. M.-M. V.
De la justification à la découverte; Les trois étapes de la réflexion critique sur la science; Signification de la découverte pour une philosophie de la connaissnce; La contribution de K. Popper à la problématique de la découverte.
Trois parties structurent cet article. La première donne un aperçu de l’expression d’affects dans des ajustements d’actions collectives qui passent par des justifications, en suggérant quelques articulations entre émotion et visée d’un jugement public. La construction de ce type de jugement de valeur incite à s’interroger sur la possibilité d’intégrer émotion et cognition, et à considérer la capacité d’intégration de différentes approches théoriques des émotions. Une deuxième partie propose une approche des émotions publiques à partir d’une spécification des émotions et de leurs relations à des opérations proprement cognitives. Un passage est proposé de l’affectivité à l’évaluation axiologique qui sert de base aux jugements éthiques et leur donne leur matière et leur sémantique. La dernière partie revient sur plusieurs des régimes collectifs de coordination et d’évaluation, en suggérant la façon dont chacun associe, à une forme de référent collectif garant du caractère commun du jugement, un traitement des indécidabilités dans l’interprétation des actions, l’appui sur des objets pertinents et des investissements émotionnels.
Introduction; – Hintikka’s Logics of Knowledge; – Awareness Logic; – Explicit Justifications; – Internalization; – Information Hiding and Recovery; – Original Intent; – Realizations As First-Class Objects; – Generalizations; – The Goal.
According to the principle of sufficient reason we should always try to give sufficient reasons for the truth (or high probability) of our opinions. All such attempts lead to a trilemma of justification: they force us to choose between infinite regress, logical circle, or dogmatism. According to the principle of critical testing we should always try to test our opinions critically. It is reasonable to claim that opinions that have survived critical tests are true. Such truth-claims are conjectural and do not confront us with any trilemma of justification. Scientific theories can be tested through observations and experiments. Statements about observations and experiments can be tested by experience. Although Critical Rationalism is a philosophical position, it can also be critically discussed. If we follow the principle of critical testing, no trilemma of justification arises when we claim that it is reasonable to accept Critical Rationalism. This opens the way for a critical philosophy stressing the fallibility of human knowledge.
This paper provides a rationale for advocating pancritical rationalism. First, it argues that the advocate of critical rationalism may accept (but not be internally justified in accepting) that there is ‘justification’ in an externalist sense, specifically that certain procedures can track truth, and suggest that this recognition should inform practice; that one should try to determine which sources and methods are appropriate for various aspects of inquiry, and to what extent they are. Second, it argues that if there is external justification, then a critical rationalist is better off than a dogmatist from an evolutionary perspective.
Popper claims that error indicates what to avoid and there is no recipe for how to proceed. Most rationalist philosophers ignore his arguments and still try to justify their views instead of trying to improve upon them by criticizing them and conjecturing alternatives. In public discourse barren forms of justification are widespread. More and better critical institutions are required, and these require political compromise on shared aims.
Cette étude se situe à la croisée de la philosophie des sciences et du droit : le concept de justification est traité à partir de l’exemple de la justification juridique, par quoi l’auteur entend l’ensemble des techniques de justification des décisions à caractère public (c’est-à-dire des décisions émanant d’institutions comme les parlements, les tribunaux, les administrations publiques, etc.).
L'objet de cet article est la philosophie des sciences sociales. L'auteur l'aborde d'un point de vue analytique, c'est-à-dire conceptuel. – Bibliographie, pp. 572-575.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Jacques Bouveresse : Philosophie : 2 vol. : Université Paris Panthéon-Sorbonne : 1994 : 697 p.]. – Cet ouvrage porte sur la théorie de la justification du philosophe Jakob Friedrich Fries (1773-1843), un des grands architectes de la philosophie allemande au XIXe siècle, dont l'oeuvre a été injustement occultée par l'historiographie philosophique au profit de celles des grands représentants de l'idéalisme spéculatif (Fichte, Schelling, Hegel). La théorie friesienne est une relecture et une contestation de la théorie kantienne de la justification de nos connaissances métaphysiques, telle qu'elle est exposée dans la Critique de la raison pure au moment de la « Déduction transcendantale ». La critique adressée à Kant par Fries est qu'il n'a pas su distinguer la connaissance transcendantale et son objet (la connaissance a priori à laquelle elle se rapporte). Ce qui l'a conduit à méconnaître la nature psycho-empirique de la connaissance transcendantale. En d'autres termes, la déduction transcendantale bien comprise doit être selon Fries une déduction anthropologique. La question kantienne de droit doit donc devenir une question de fait. La justification des jugements métaphysiques fondamentaux passe ainsi par la monstration d'une connaissance rationnelle immédiate et non intuitive que ces principes suprêmes ne font que répéter. La connaissance n'est donc plus un problème, mais un fait relevant d'une science empirique de l'esprit : la psychologie. Il existe donc selon Fries une autre procédure que celle de la preuve pour justifier les principes métaphysiques : à savoir la monstration de ce qui les fonde. Cette méthode critique, psycho-transcendantale, c'est-à-dire anthropologique, qui est une démarche analytique et régressive conduisant à la justification, Fries la nomme spéculation. La spéculation consiste ainsi à mettre au jour les connaissances immédiates de la raison sur lesquelles sont fondés ces jugements premiers que sont les principes métaphysiques. Une telle théorie de la justification, pour être complète, exige ainsi une théorie de l'induction, car seule cette dernière est en mesure de rendre compte des procédures de justification mises en oeuvre dans les sciences de la nature. L'induction rationnelle prenant selon Fries deux formes : l'induction au sens strict, c'est-à-dire la soumission d'une classe de phénomènes à des lois universelles (par exemple les lois du mouvement des planètes autour du soleil établies par Kepler) ; et l'hypothèse, c'est-à-dire la détermination expliquant la soumission d'une classe de phénomènes à des lois (par exemple : l'explication des lois de Kepler par la force d'attraction établie par Newton). En situant Fries dans le contexte des premiers lecteurs de Kant et en présentant la pertinence de sa théorie de la justification et de sa théorie anthropologique de la raison, ce livre, fortement documenté, renouvelle notre compréhension du postkantisme. La présente étude comporte deux appendices : le premier est un aperçu historique sur Fries et l'école friesienne ; le second, la traduction de l'essai de Fries intitulé Sur les rapports de la psychologie empirique à la métaphysique (1798). – Appendices, pp. 279-303 ; Bibliographie, pp. 305-323 ; Index nominum, pp. 325-327 ; Table des matières, pp. 329-331.
F. F.
Concept central de l'informatique, outil de démonstration à la fois efficace et rapide, l'algorithme introduit un nouveau principe de fonctionnement technologique, c'est-à-dire à la fois une nouvelle manière de penser et une nouvelle façon d'explorer la nature. Qu'est-ce qu'un algorithme ? C'est une séquence d'instructions à suivre pour parvenir à un résultat en un temps fini, soit un programme pilotant l'exécution d'un calcul sur des données appartenant à une classe de problèmes. Or comme le montre l'auteur dans la première partie de sa Leçon inaugurale (n° 229) au Collège de France au sein de la Chaire annuelle d'Informatique et sciences numériques, une classe de problèmes est définie par la complexité de l'algorithme permettant de les résoudre. L'algorithmique distingue ainsi trois classes de problèmes auxquelles sont corrélées trois classes de complexité algorithmique : polynomiale (classe P), exponentielle (classe EXP) et non déterministe polynomiale (classe NP). Après avoir exposé la typologie de la complexité algorithmique, l'auteur nous montre un des résultats révolutionnaires apporté par l'informatique théorique : la trivialisation de la vérification continue d'une chaîne démonstrative grâce à l'aléa algorithmique, qui, outillé au moyen de l'algorithme PCP, a permis de révolutionner « notre conception mathématique et épistémologique de la preuve. » (p. 75) Dès lors, si les équations mathématiques – celles de Newton, Maxwell, Boltzmann, Einstein et Schrödinger – ont fait le succès de la physique (dans la mesure où elles permettent d'expliquer la quasi-totalité des phénomènes physiques de notre univers), c'est en revanche l'algorithme qui se présente actuellement comme un puissant outil d'appréhension des phénomènes collectifs, qu'ils soient naturels (une volée d'oiseaux, une construction de termitière, un banc de poissons, etc.), sociaux (un groupe d'individus, un réseau social, etc.) ou biologiques (des réseaux neuronaux, des circuits cellulaires, des réseaux protéiques, etc.). Comme l'écrit Bernard Chazelle en conclusion de sa Leçon inaugurale : « si les sciences nouvelles se parlent, leur langage est sans aucun doute l'algorithmique. Les algorithmes naturels nous donnent un langage. À nous de le lire, de le déchiffrer, et de s'émerveiller de la littérature de la nature » (p. 102). – 1. Introduction : La complexité algorithmique ; 2. Et Turing arriva à Princeton : Universalité – Dualité – Autoréférence ; 3. Peut-on automatiser la créativité ? ; 4. Pile ou face : Que sais-je ? – La magie du PCP – Quelle est l'idée du PCP ? – La logique du PCP – L'algèbre du PCP ; 5. Les algorithmes naturels : Les systèmes d'influence – Les nuées d'oiseaux – Les systèmes d'influence diffusifs.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Jean Gayon : Philosophie : 1 vol. : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : 2011 : 359 p.]. – De quelles expérimentations scientifiques, réalisées au moyen de quels instruments, peut-on dire qu’elles relèvent de l’observation ? L’objectif de cet ouvrage est de contribuer à une refonte du concept d’observation à partir d’études de cas issues des pratiques contemporaines de l’investigation empirique, comme l’imagerie biomédicale par exemple. La thèse défendue par l’auteur est que les énoncés d’observation jouissent d’un privilège épistémique. L’ouvrage est divisé en deux grandes parties : une première, de nature épistémologique, philosophique, historique et critique ; une seconde, de nature empirique, fondée sur des résultats d’enquêtes menées sur des pratiques d’investigations scientifiques d’ordre observationnel. La première partie commence par une présentation détaillée de la conception de l’observation développée par l’empirisme logique au début des années 1930 (partie 1, chapitre 1) puis enchaîne sur un examen critique de cette conception à la lumière des critiques formulées dans les années 1950 par des philosophes post-positivistes comme Norwood Russell Hanson ou Wilfrid Sellars (partie 1, chapitre 2). Enfin, l’auteur propose une conception nouvelle de l’observation – qu’il nomme « empirisme itératif » – dans laquelle l’autorité épistémique de l’observation est présentée comme le résultat d’un processus dynamique d’interaction entre le sujet connaissant, l’expérience, et les moyens à la fois conceptuels, matériels et épistémologiques dont disposent les scientifiques au travail. Le résultat de ce processus dynamique aboutit, dans les meilleurs cas, à une stabilisation de l’investigation empirique. Dans la seconde partie, l’auteur donne la chair au squelette théorique de cet empirisme itératif. En s’appuyant sur les travaux de Jim Bogen, James Woodward et Allan Franklin, il s’agit pour lui de construire un concept d’observation dérivé du concept d’expérience médiate, lui-même fondé sur des données qu’il s’agit d’analyser à partir d’un cadre interprétatif pertinent (partie 2, chapitre 1), d’un équipement instrumental robuste et précis (partie 2, chapitre 2) et d’un traitement mathématique opéré informatiquement à partir du format numérique de manipulation de ces données (partie 2, chapitre 3). Cette seconde partie se termine sur la présentation détaillée d’une étude de cas : l’application de la tomographie d’émission monophotonique (TEMP) au petit animal (partie 2, chapitre 4). – Préface de Stéphanie Ruphy, pp. 7-10 ; Introduction, pp. 11-18 ; Première partie : « Conceptions philosophiques de l’observation », pp. 21-118 ; Deuxième partie : « Les pratiques contemporaines de l’observation », pp. 121-248 ; Conclusion, pp. 249-253 ; Illustrations, pp. 255-266 ; Bibliographie, pp. 267-273 ; Index, pp. 275-276 ; Table des illustrations, pp. 277-279 ; Table des matières, pp. 281-284.
F. F.