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3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Conjectures et réfutations. La croissance du savoir scientifique
Karl Raimund POPPERÉditeur : Payot - 2006
Les hypothèses dans l’astronomie de Kepler
Henri HUGONNARD-ROCHESous la direction de Pierre JACOBDans L’Âge de la science. Lectures philosophiques - 1989
Le problème du réalisme en physique quantique
Henri RUEGGSous la direction de Pierre JACOBDans L’Âge de la science. Lectures philosophiques - 1989
Duhem, Meyerson et l’épistémologie américaine postpositiviste
Sandra LAUGIERSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
Schlick et les lois de la nature : instrumentalisme ou réalisme ?
Delphine CHAPUIS-SCHMITZSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Conventions et lois de la science d’après Angèle Kremer-Marietti
Hamdi MLIKASous la direction de Abdelkader BACHTADans Épistémologie et philosophie des sciences - 2010
Pragmatisme et pédologie : Dewey, Vygotski et la pédagogie soviétique des années 1920
Guillaume GARRETASous la direction de Janette FRIEDRICH, Rita HOFSTETTER, Bernard SCHNEUWLYDans Une science du développement humain est-elle possible ? - 2013
Recueil d’essais et de conférences qui sont autant de variations autour d’un même thème : l’idée que nos erreurs peuvent non seulement être instructives, mais que l’ensemble de la connaissance ne progresse que par la rectification des erreurs. S’en dégage une théorie de la connaissance et de son développement, – théorie de la raison qui assigne aux argumentations rationnelles une fonction décisive : la critique des tentatives, souvent erronées, que nous faisons pour résoudre les problèmes qui se posent à nous; mais aussi – théorie de l’expérience qui attribue à nos observations un rôle tout aussi déterminant, celui d’être des tests pouvant contribuer à faire découvrir l’erreur. La connaissance est susceptible de développement et la science de progrès pour cette simple raison que nous pouvons être instruits par nos erreurs : les anticipations, les conjectures formées par la connaissance scientifique sont soumises au contrôle de la critique, c’est-à-dire à des tentatives de réfutation qui comportent des tests d’une capacité critique élevée. La réfutation d’une théorie constitue à elle seule un progrès, qui nous rapproche de la vérité et fonde la rationalité de la science. – Introduction, «Des sources de la connaissance et de l’ignorance» (Proceedings of the British Academy, 46, 1960). – Conjectures : 1. «La science : conjectures et réfutations» (in British Philosophy in Mid-Century, C.A. Mace, Ed. Londres, Allen & Unwin, 1957); 2. «La nature des problèmes philosophiques et leurs racines scientifiques» (British Journal for the Philosophy of Science, 3, 1952); 3. «Trois conceptions de la connaissance» (in Contemporary British Philosophy, 3e série, H.D. Lewis, Ed. 1956); 4. «Pour une théorie rationaliste de la tradition» (The Rationalist Annual, 1949, pp. 36-55); 5. «Retour aux présocratiques» (Proceedings of the Aristotelian Society, nlle série, 59, 1958-1959); 6. «Note sur Berkeley, précurseur de Mach et d’Einstein» (British Journal for the Philosophy of Science, 4, 1953); 7. «Critique et cosmologie kantiennes» (The Listener, 51, 1954); 8. «Le statut de la science et de la métaphysique» (Ratio, 1,1958, pp. 97-115); 9. «Pourquoi les calculs logiques et arithmétiques s’appliquent-ils à la réalité ?» (Proceedings of the Aristotelian Society, vol. suppl., n° 20, 1946); 10. «Vérité, rationalité et progrès de la connaissance scientifique» (Inédit sous cette forme). – Réfutations : 11. «La démarcation entre la science et la métaphysique» (in The Philosophy of Rudolf Carnap, P.A. Schilpp, Ed. La salle, Open Court, 1963, pp. 183-226); 12. «Le langage et la problématique corps/esprit. Reformulation de la théorie interactionniste» (Proceedings of the XIth International Congress of Philosophy, vol. 7. Louvain, E. Nauwelaerts, 1953); 13. «Note sur la problématique corps/esprit» (Analysis, nlle série, 15, 1955); 14. «Réflexivité et signification dans le langage ordinaire» (Mind, nlle série, n° 63, 1954); 15. «Qu’est-ce que la dialectique ?» (Mind, nlle série, vol. 49, 1940); 16. «Prédiction et prophétie dans les sciences sociales» (in Library of the 10th International Congress of Philosophy. Amsterdam, 1948, vol. 1); 17. «Opinion publique et principes libéraux» (Il Politico, vol. 20, 1955, en italien. Ordo, vol. 8, 1956, en allemand); 18. «Utopie et violence» (The Hibbert Journal, XLVI, oct. 1947-juil. 1948, pp. 109-116); 19. «Considérations d’un optimiste sur l’histoire de notre époque» (6e Conférence Eleanor Rathbone, Univ. de Bristol, 12 oct. 1956); 20. «Humanisme et raison» (The Philosophical Quarterly, 2, 1952, n° 7, pp. 166-171).
Examinant quelques aspects de l’œuvre de Duhem et de Meyerson, l’article tente de comprendre pourquoi, méconnus dans leur propre pays, les épistémologues français ont été une source d’inspiration pour nombre de philosophes des sciences américains. – Holisme, instrumentalisme, ontologie; – Théorie physique et traduction; – Le réalisme et l’histoire.
Cet article a pour but de montrer que Schlick propose une véritable alternative à l’instrumentalisme en ce qui concerne les lois de la nature, qu’il défend sur ce point une forme de réalisme scientifique, et que son réalisme est compatible avec la version non stricte du vérificationnisme qu’il soutient. La conception des lois ainsi proposée permet d’apporter une réponse au problème de l’explication en sciences, ainsi qu’à celui des exceptions.
Analyse de la réponse donnée par la philosophe française à la question de la nature des arguments dits conventionnalistes du point de vue de leur rapport aux lois de la science. L’auteur tente de montrer comment le type de conventionnalisme qu’elle tolère est celui qui remonte à Poincaré, mais aussi, en un certain sens, à Wittgenstein, dans la mesure où il est lié au libre choix des concepts et des systèmes de signes, par delà toute théorie réaliste rigide. L'auteur insiste sur le fait que la philosophie des sciences d’Angèle Kremer-Marietti ne redéploie aucun concept substantiel de la vérité de la science et de son objectivité. Les arguments conventionnalistes interviennent précisément dans sa philosophie des sciences pour renforcer une certaine coupure entre la conception traditionnelle de l’objectivité et le recours aux conventions: les conventions veulent dire avant tout des stipulations qui dépendent de notre langage, un langage que nous créons et contrôlons librement.
Dans cet article, l’auteur analyse les travaux pragmatistes de John Dewey en vue d’éclairer : 1° les rapports entre psychologie, pédagogie et pédologie et 2° le contexte historique et théorique dans lequel Lev S. Vygotski a élaboré le programme d’une science du développement. – Références bibliographiques, pp. 133-136.
F. F.