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L’Empire du temps. Les horloges d’Einstein et les cartes de Poincaré
Peter Louis GALISONÉditeur : Gallimard - 2006
Convenzione e razionalità scientifica in Henri Poincaré
Mirella FORTINOÉditeur : Rubbettino Editore - 1997
Tra esperimento e ragione. Storia dello spirito scientifico tra Ottocento e Novecento
Mirella FORTINOÉditeur : Aracne - 2008
What Malapropisms Mean: A Reply To Donald Davidson
Marga REIMERSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2004
L’irruption des non-humains dans les sciences humaines : quelques leçons tirées de la sociologie des sciences et des techniques
Michel CALLON, John LAWSous la direction de Bénédicte REYNAUDDans Les Limites de la rationalité - 1997
Conventions et rationalité limitée
Pierre LIVETSous la direction de Louis-André GÉRARD-VARET, Jean-Claude PASSERONDans Le Modèle et l’enquête. Les usages du principe de rationalité dans les sciences sociales - 1995
Filosofia e geometria : Temi teorici e storici
Lorenzo MAGNANIÉditeur : Guerini e Associati - 1990
De la théorie de la connaissance à la logique de la science
Rudolf CARNAPSous la direction de Pierre WAGNER, Christian BONNETDans L'Âge d'or de l'empirisme logique - 2006
Les lois de la nature sont-elles des conventions ?
Moritz SCHLICKSous la direction de Pierre WAGNER, Christian BONNETDans L'Âge d'or de l'empirisme logique - 2006
Structure, essence et formalisation : L’a priori matériel chez Husserl et Carnap
Jean-Baptiste FOURNIERSous la direction de Jocelyn BENOIST, Thierry PAULDans Le formalisme en action - 2013
Cet ouvrage a été originellement publié en traduction française à Paris, Éditions Robert Laffont, 2005. – Au croisement de la physique, de la philosophie et de la technologie, la révolution de la relativité commence avec Albert Einstein et Henri Poincaré. Le premier est un praticien de la physique travaillant au Bureau des brevets de Berne en un moment où les ingénieurs cherchaient à synchroniser toutes les horloges de Suisse; le second, en poste au Bureau des longitudes, réfléchit sur la simultanéité temporelle en deux points éloignés. L’un et l’autre ont compris que, pour appréhender le monde global, il faut déterminer s’il existe un temps pur ou si le temps est relatif. À leurs postes, et à ce moment précis de l’histoire industrielle, ils sont tous deux les mieux placés pour remettre en cause les conceptions anciennes du temps et de l’espace. L’ouvrage montre ainsi combien les objectifs industriels ont enrichi non seulement la science mais aussi la philosophie, et combien la recherche fondamentale a besoin de la recherche appliquée pour vivre. – 1, La synchronie; – 2, Charbon, chaos et convention; – 3, Le planisphère électrique; – 4, Les cartes de Poincaré; – 5, Les horloges d’Einstein; – 6, La place du temps. M.-M. V.
Questo volume affronte tutti i nodi cruciali che l’idea di convenzione scioglie e al tempo stesso produce. – Capitolo I, «Esperienza e ragione nel convenzionalismo geometrico» : 1, Sui fondamenti della geometria; 2, La critica all’a priori; 3, La critica all’empirismo; 4, Convenzioni non arbitrarie. – Capitolo II, «Teoria ed esperienza nelle scienze fisiche» : 1, Permanenza delle teorie e sfida antiscettica; 2, Cambiamento e crescita delle teorie; 3, Il valore della semplicità; 4, Poincaré e l’antiintellettualismo di Le Roy; 5, Fatto scientifico e fatto bruto; 6, Invariante universale e intersoggettività; 7, Commensurabilità e razionalità delle teorie; 8, Linguaggio e filosofia. – Capitolo III, «Necessità, contingenza e caso» : 1, Contingenza, scienza e morale; 2, La difesa del paradigma determinista e il rifiuto del mondo come contingenza; 3, “Le hasard” : negazione del caso come ignoranza e come contingenza; 4, Il tempo della scienza; 5, Tra essere e divenire; 6, Critica della meccanica classica; 7, Leggi, convenzioni e principi. – Capitolo IV, «La morale e la scienza» : 1, L’etica di Poincaré tra Hume e Moore; 2, L’intrinseca eticità della scienza; 3, La difesa della libertà della scienza; 4, Convenzionalismo e verità. M. F.
Sono qui presentate le principali elaborazioni concettuali della riflessione sulla scienza in ambito francese tra la fine del secolo XIX e l’inizio del secolo XX. In un contesto critico in cui interagiscono storia della scienza e teoria, sono al centro della riflessione paradigmi di scientificità in ambiti diversi del sapere. Convenzionalismo, indeterminismo e olismo costituiscono “chances” d’interrogazione sul potere, sul valore, sui limiti della conoscenza scientifica, secondo una prospettiva critica che, non incline a sostenere interpretazioni scettiche, è interessata piuttosto a difendere il valore conoscitivo dell’impresa scientifica. Il volume si compone di sei capitoli suddivisi in paragrafi. – I. Filosofia della scienza e storia della scienza tra Ottocento e Novecento. – II. La tesi convenzionalista nella filosofia della geometria di Poincaré. – III. Il determinismo nelle scienze della vita. – IV. Determinismo e indeterminismo nelle scienze fisiche. – V. Il convenzionalismo fisico. – VI. La tesi olista di Duhem fra storia e teoria. M. F.
This paper argues against Davidson's (1986) view that our ability to understand malapropisms forces us to re-think the standard construal of literal word meaning as conventional meaning. Specially, the author contends that the standard construal is not only intuitive but also well-motivated, for appeal to conventional meaning is necessary to understand why speakers utter the particular words they do. He also contends that, contra Davidson, we can preserve the intuitive distinction between what a speaker means and what his words mean, even while retaining the standard construal of literal word meaning as conventional.
Cet article insiste sur le caractère hybride du réseau associant des entités qui sont des éléments humains et non humains (règles, conventions, connaissances communes). L’identité de l’entité se définit dans l’interaction. «Le collectif est constamment “réparé” et localement reconstruit dans l’interaction». Cette vision du collectif conduit à supprimer la question de la constitution des collectifs : «L’action n’a pas de source et ne rencontre aucun point d’arrêt définitif». Au lieu de chercher les sources de l’action, les auteurs invitent plutôt à analyser sa distribution.
Cet article porte sur l’école dite de l’ «économie des conventions» et traite plus particulièrement du problème des limitations de la rationalité. Pierre Livet étudie les thèses d’Orlean, Dupuy, Favereau et Thévenot, avant d’exposer sa propre position, «position un peu excentrée, puisqu’elle est celle du philosophe et non de l’économiste, en l’occurrence d’un philosophe qui relie ces problèmes à ceux de la communication et des théories de l’action». – I. André Orlean : mimétisme et hiérarchie sur les marchés financiers; – II. Jean-Pierre Dupuy : les paradoxes du savoir mutuel; – III. Olivier Favereau : Les conventions comme économies cognitives; – IV. Laurent Thévenot et les régimes d’accord; – V. Communication, action et indécidabilité.
L’Autore intende illustrare aspetti fondamentali del rapporto tra filosofia e sapere geometrico. Filo conduttore del percorso del volume è il punto di vista kantiano che nella seconda metà dell’Ottocento costituisce, in seguito alla nascita delle geometrie non euclidee, il punto di partenza della riflessione filosofica sui fondamenti delle matematiche. «La geometria si mostra così come il paradigma di una filosofia, di una teoria della conoscenza». Questo volume consente una rilettura del convenzionalismo di Poincaré (storiograficamente impostosi nei termini di una reazione all’apriorismo kantiano) di cui è evidenziato il concetto di gruppo concepito come un a priori della mente e quindi lo stretto legame con il kantismo. Inoltre è stabilito un confronto fra la critica neoempirista svolta da Hans Reichenbach in Relativitätstheorie und Erkenntnis Apriori (1920) e il convenzionalismo generalizzato. – Premessa; I. Alle origini della conoscenza geometrica; II. Kant: la geometria, modello della conoscenza; III. Geometria, spazio, costruzione e logica; IV. Categorie, assiomi dell’intuizione, geometria; V. Il sapere geometrico degli antichi e la ϕαντασια di Proco; VI. Geometria e convenzione : Poincaré. – Bibliografia; Indice dei nomi. M. F.
[Rudolf Carnap : « Von Erkenntnistheorie zur Wissenschaftslogik », Actes du congrès international de Philosophie scientifique (Sorbonne, Paris, 1935), Paris, Hermann, 1936, fascicule 1, pp. 36-41]. – Ce texte présenté et traduit de l'allemand par Pierre Wagner, publié avec l'autorisation de Carus Publishing, est issu d'un exposé présenté par Carnap au congrès de Paris de 1935 dans lequel il présente les traits principaux de sa méthode dite « syntaxique ». Les propositions philosophiques ne portent pas sur des objets ou des faits mais sur les expressions du langage qui servent à les désigner. « Syntaxique » veut dire que les structures linguistiques sont définies par des règles formelles et que l'analyse linguistique n'a recours qu'aux formes ou types de signes qui apparaissent dans les expressions, excluant ainsi les dimensions de signification et de référence. Le philosophe n'a donc pas directement affaire au monde, mais au langage. La logique de la science est l'outil de clarification de ce que nous disons, et la philosophie, la critique du langage dans lequel nous nous exprimons. – Références bibliographiques, pp. 525-526.
F. F.
[Moritz Schlick : « Sind die Naturgesetze Konventionem ? », Actes du congrès de Philosophie scientifique (Sorbonne, Paris, 1935), Paris, Hermann, 1936, fascicule 4, « Induction et probabilité », pp. 8-17. Repris in Schlick, Gesammelte Aufsätze, Vienne, Gerold, 1938 ; Hildesheim, Olms, 1969]. – Ce texte présenté et traduit de l'allemand par Céline Vautrin, publié avec l'autorisation de Mr. G. M. H. van de Velde, de Mme E. B. B. van der Wolk-van de Velde et de la Fondation du Cercle de Vienne à Amsterdam, est issu d'une des deux contributions que Schlick a présenté lors du premier congrès international pour l'Unité de la science à Paris en 1935. En établissant la distinction entre propositions (simples signes sensibles) et énoncés (propositions douées de sens), Schlick fournit un critère de démarcation entre les sciences formelles (dont les principes sont des conventions) et sciences empiriques (qui énoncent quelque chose sur le monde). Car selon lui, il est nécessaire de concevoir le langage comme quelque chose de lié au réel qu'il décrit (cf. chapitre 8) par une grammaire. Par « loi de la nature », il ne faut donc pas entendre une formulation vide de contenu (proposition), mais une formulation en tant qu'elle a un contenu vers lequel nous dirige son sens (énoncé). Le conventionnel réside donc dans la grammaire de la langue dans laquelle s'expriment les lois de nature (énoncés de la physique), non dans le contenu de ces lois. Ce que critique Schlick dans ce texte, c'est donc la confusion opérée par Carnap et les conventionnalistes (Eddington en particulier) entre les propositions et les énoncés ; confusion qui les conduit à ne pas considérer le caractère empirique des lois de la nature et l'invariance de ces dernières relativement à toute forme arbitraire d'expression dans lesquelles elles sont énoncées.
F. F.
Cet article propose une lecture comparatiste des Idées directrices pour une phénoménologie de Husserl (1913) et de La construction logique du monde de Carnap (1928), axée sur une confrontation du concept phénoménologique d’essence au concept empiriste logique de structure. – I. Essence et structure ; II. Détruire la phénoménologie ; III. Essence et fait; IV. Description et formalisation ; V. La structure logique du monde ; VI. Construction et convention.
F. F.