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Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Monographie

    Leibniz et la dynamique : les textes de 1692

    Pierre COSTABEL
    Éditeur : Hermann - 1960


    Monographie

    ABC de la relativité

    Bertrand RUSSELL
    Éditeur : Éditions 10/18 - 1997


    Monographie

    The English Galileo. Thomas Harriot's Work on Motion as an Example of Preclassical Mechanics

    Matthias SCHEMMEL
    Éditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 2008


    Monographie

    Galileo Galilei and Motion. A Reconstruction of 50 Years of Experiments and Discoveries

    Roberto VERGARA CAFFARELLI
    Éditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 2010


    Article

    Neurogéométrie et phénoménologie de la perception

    Jean PETITOT

    Sous la direction de Jacques BOUVERESSE
    Dans Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives - 2003


    Article

    Le statut catégorial du mouvement chez Avicenne : contexte grec et postérité médiévale latine

    Ahmad HASNAWI

    Sous la direction de Régis MORELON, Ahmad HASNAWI
    Dans De Zénon d’Élée à Poincaré : recueil d’études en hommage à Roshdi Rashed - 2004


    Article

    Zabarella et le mouvement des corps simples (de l’usage d’Averroès au XVIe siècle)

    Joël BIARD

    Sous la direction de Régis MORELON, Ahmad HASNAWI
    Dans De Zénon d’Élée à Poincaré : recueil d’études en hommage à Roshdi Rashed - 2004


    Article

    L’idée d’univers et la comologie comme science

    Pierre KERSZBERG

    Sous la direction de Pierre KERSZBERG
    Dans Kairos - 2005


    Article

    Circular and Rectilinear Motion in the Mechanica and in the Sixteenth Century

    Christiane VILAIN

    Sous la direction de Walter Roy LAIRD, Sophie ROUX
    Dans Mechanics and Natural Philosophy before the Scientific Revolution - 2008


    Article

    Matérialisme, mécanisme et réduction dans la postérité de Descartes

    François PÉPIN

    Sous la direction de François ATHANÉ, Marc SILBERSTEIN, Édouard GUINET
    Dans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2007


    Article

    Purification par Baliani de la théorie ancienne du mouvement et généralisation du principe d’inertie

    Lambros COULOUBARITSIS

    Sous la direction de Jean GAYON, Richard M. BURIAN
    Dans Conceptions de la science : hier, aujourd’hui, demain - 2007


    Article

    Remarques sur la mathématisation de la théorie du mouvement, entre réalisme et réflexivité

    Alain MICHEL

    Sous la direction de Ivahn SMADJA
    Dans Cahiers de philosophie de l’Université de Caen - 2008


    Article

    L’innéité du transfini

    Arnaud DENJOY

    Sous la direction de François LE LIONNAIS
    Dans Les Grands courants de la pensée mathématique - 1962


    Monographie

    Berkeley et la chimie : Une philosophie pour la chimie au XVIIIe siècle

    Luc PETERSCHMITT
    Éditeur : Classiques Garnier - 2011


    Monographie

    Defending Einstein. Hans Reichenbach's Writings on Space, Time and Motion

    Hans REICHENBACH
    Sous la direction de Steven GIMBEL, Anke WALZ
    Éditeur : Cambridge University Press - 2006


    Monographie

    La Naissance de la mécanique analytique : La Science du mouvement au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles

    Michel BLAY
    Éditeur : Presses Universitaires de France - 1992


    Article

    L’unité du collectif. L’ontologie historique et critique de Spinoza et de Sartre

    Kim Sang ONG-VAN-CUNG

    Sous la direction de Frédéric LORDON, Eva DEBRAY, Kim Sang ONG-VAN-CUNG
    Dans Spinoza et les passions du social - 2019


    Article

    Aristotle on the Nature in the Pneuma and the First Body

    Karel THEIN

    Sous la direction de Hynek BARTOŠ, Colin GUTHRIE KING
    Dans Heat, Pneuma, and Soul in Ancient Philosophy and Science - 2020


    MONOGRAPHIE

    Leibniz et la dynamique : les textes de 1692

    • Pages : VIII-120
    • Collection : Histoire de la pensée
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
    •  
    • Institution : École pratique des hautes études
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 23-09-2015

    Résumé :

    Français

    Le mouvement est un continu et le propre de tout continu est d’être divisible à l’infini. Il n’y a pas de continu sans parties, en nombre infini, et cependant aucune de ces parties ne peut être conçue comme indivisible sans contradiction. Si toute partie de l’espace, du temps et du mouvement est encore de l’espace, du temps et du mouvement, elle doit être encore indéfiniment divisible : il n’y a pas d’étendue minima. Mais que dire du «commencement» du corps, de la durée, du mouvement ? Un tel commencement appartient à l’espace, au temps, au mouvement sans pouvoir être lui-même divisé, puisque la notion d’un commencement divisible est contradictoire. Il y a donc bien des indivisibles, constitutifs de l’espace, du temps et du mouvement, et cependant hétérogènes à ce qu’ils constituent puisqu’on ne saurait leur assigner une étendue, sauf à tomber d’une contradiction dans une autre. Pour sortir des difficultés d’un problème qui remonte à Zénon d’Élée, il faut donc accepter de raisonner sur ces êtres étranges que sont le point, l’instant, le conatus, et dont le propre est d’être «inassignables» : c’est précisément ce que fait Leibniz dans ces textes. – Chap. I, «De l’histoire d’une découverte à la découverte de l’histoire»; – Chap. II, «L’Essay de Dynamique»; – Chap. III, «La règle générale de la composition des mouvements». M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    ABC de la relativité

    • Pages : 188
    • Collection : Bibliothèques 10/18
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Traduction de l’anglais
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-264-02575-1
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 17-10-2015

    Résumé :

    Français

    Réimpression au format de poche de la première édition en langue française (Paris : Union Générale d’Éditions, 1965). Dans une Note de 1965, B. R. précise que «Cet ouvrage a été publié pour la première fois en 1925. Les principes de base de la théorie de la relativité n’ont pas changé depuis, mais ses applications n’ont cessé de s’étendre, et il a fallu compléter quelque peu la présente édition. C’est M. félix Pirani qui s’est chargé de ce travail; avec mon approbation, il a refait le chapitre XI, et modifié un certain nombre d’autres passages pour les mettre au diapason des connaissances actuelles». – Chap. I, Le toucher et la vue : la terre et le ciel; – II, Ce qui se passe; ce qu’on observe; – III, La vitesse de la lumière; – IV, Les règles et les horloges; – V, L’espace-temps; – VI, La théorie de la relativité restreinte; – VII, Les intervalles dans l’espace-temps; – VIII, La loi de la gravitation d’Einstein; – IX, Les preuves de la loi de la gravitation d’Einstein; – X, Masse, quantité de mouvement, énergie et action; – XI, L’Univers en expansion; – XII, Conventions et lois de la nature; – La «force» abolie; – XIV, Qu’est-ce que la matière ?; – XV, Conséquences philosophiques. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    The English Galileo. Thomas Harriot's Work on Motion as an Example of Preclassical Mechanics

    • Tome : N°1
    • Pages : VIII-725
    • Collection : Boston studies in the philosophy of science-Springer
    • Nombre de volumes : 2
    •  
    • Support : Print
    • Edition : Original
    • Ville : Heidelberg ; Dordrecht ; New York
    •  
    • ISBN : 978-1-4020-5498-3
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 01-11-2015

    Résumé :

    Anglais

    The short series The Historical Epistemology of Mechanics presents the long-term development of mechanical knowledge. The books in this series combine the presentation of a broad selection of relevant sources with in-depth analyses of the long-term development of mechanical knowledge focusing on the early modern period. This series is conceived in analogy to the four-volume series on The Genesis of General Relativity (BSPS 250). The English Galileo, the first book in this series, investigates the shared knowledge of preclassical mechanics by relating the work of Thomas Harriot on motion, documented by a wealth of manuscripts, to that of Galileo and other contemporaries. Harriot and Galileo indeed exploited the same shared knowledge resources in order to approach the same challenging objects. While the paths Harriot traces through the shared knowledge are different from Galileo’s, the work of the two scientists displays striking similarities as regards their achievements as well as the problems they were unable to solve. The study of Harriot’s parallel work thus allows the exploration of the structure of the shared knowledge of early modern mechanics, to perceive possible alternative histories, and to distinguish between individual peculiarities and shared structures of early modern mechanical reasoning. – This study has received two distinguished awards, the Junior Scholar Award of the Georg Agricola Society and the Georg Uschmann Award of the German National Academy of Sciences, Leopoldina. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    Galileo Galilei and Motion. A Reconstruction of 50 Years of Experiments and Discoveries

    • Pages : 330
    •  
    • Support : Print
    • Edition : Original
    • Ville : Heidelberg ; Dordrecht ; New York
    •  
    • ISBN : 978-3-642-04352-9
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 08-11-2015

    Résumé :

    Anglais

    In Galileo Galilei and Motion. A Reconstruction of 50 Years of Experiments and Discoveries, Italian physicist Roberto Vergara Caffarelli confirms recent findings by other scholars that Galileo broke away from the qualitative Aristotelian doctrines by following a quantitative Archimedean thread. Among the many books on Galileo Galilei, only very few deal directly and in depth with his scientific accomplishments proper. This is one of them and among the correspondingly sparse literature the author of this work distinguishes himself by focusing on mechanics, in particular on the fundamental concept of motion and percussion - having performed crucial original experiments and in Galileo´s spirit. Indeed, while the author lets Galilei speak for himself when he explains his experiments and findings, he also makes full use of our present day knowledge of physics to make the reader better understand the perspective. The result of this very fine understanding is an unsurpassingly authoritative account on some of the foundations of preclassical mechanics as laid down by the great Pisan scientist, widely regarded as the first experimental physicist in the modern sense. This book will not only be an indispensable source of reference for historians of sciences but appeal to anyone interested in the foundations of experimental physics in general and of mechanics in particular. – Contents: Introduction.- 1. Problems of chronology.- 2. Around 1590: the old sequence of three versions of the De Motu.- a. The pendulum, an exact measure of time.- b. Natural motion (uniform velocity).- c. Early experiments in water.- d. What did Galileo see while he studied motion in water?- e. Bodies that stays atop water, or move in it.- f. The experiment with the "inverted tumbler".- g. Measuring adhesion with water.- h. Violent motion (non-uniform velocity).- i. The fundamental theorem of the inclined plane.- k. Some problems concerning the motion on the inclined plane.- l. Primigenial formulation of the principle of inertia.- m. Primigenial formulation of the action-and-reaction principle.- 3. The Mechanics (1592-1609).- 4. 1592-1610: "Li diciotto anni migliori di tutta la mia eta'" (The best eigtheen years of my life).- 5. 1602 The theorem of the chords and the pendulum isochronism. The letter to Guidobaldo del Monte.- 6. Before 1604: The law on the fall of heavy bodies.- 7. The 107v sheet: the experimental confirmation of the law of motion.- 8. Why 100 arms (=braccia: an Italian unit of measure of that time) in 5 seconds?- 9. Before 1607: the parabolic trajectories.- 10. Before 1610: The velocity acquired in going downwards is proportional to the square of the height.- 11. Before 1610: Throws on the inclined plane without a rectifier.- 12. The time required to descend along inclined planes of equal height and the final velocity theorem.- 13. The confront between two motions: the free fall and the descent along the inclined plane.- 14. Before 1606: experiments on a ship moving with uniform motion.- 15. the laws of motion: Galileo announces them in the "Dialogo" and presents them in the "Discorsi".- 16. Before 1610: The constant-flux chronograph.- 17. Making experiments with the new machine Galilei overcomes the difficulties due to rolling.- 18. The project of Galilei's machine: the vertical plane.- 19. Description of Galilei's machine and of the experiment one can perform with it.- 20. Marin Mersenne, "the one who wants to upset everything".- 21. Conclusions. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    Neurogéométrie et phénoménologie de la perception

    • Pages : 53 à 76
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 09-12-2011

    ARTICLE

    Le statut catégorial du mouvement chez Avicenne : contexte grec et postérité médiévale latine

    • Pages : 607 à 622
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 03-06-2011

    ARTICLE

    Zabarella et le mouvement des corps simples (de l’usage d’Averroès au XVIe siècle)

    • Pages : 735 à 751
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 03-06-2011

    Mots-clés :

    Résumé :

     

    ARTICLE

    L’idée d’univers et la comologie comme science

    • Pages : 93 à 109
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Dès sa sortie du mythe et des croyances anciennes, la cosmologie s’est construite comme science de l’univers à partir de principes mathématiques. En cela, elle est devenue science justement en renonçant à son véritable but. Si l’espoir de retrouver ce but était bien la motivation qui a sous-tendu la renaissance de la cosmologie scientifique au vingtième siècle, c’est au prix d’apories nouvelles, qui relancent la question classique du rapport de la conscience mathématique au réel. P. K.

     

    ARTICLE

    Circular and Rectilinear Motion in the Mechanica and in the Sixteenth Century

    • Pages : 149 à 172
    •  
    • Support : Print
    • Edition : Original
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 12-06-2011

    Résumé :

     

    ARTICLE

    Matérialisme, mécanisme et réduction dans la postérité de Descartes

    • Pages : 117 à 145
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Réduction et émergence appartiennent à la formulation contemporaine de problèmes concernant les rapports entre sciences. Pourtant, le mécanisme comme modèle d’intelligibilité a une histoire ancienne qui peut nous éclairer. Mais il faut avoir une représentation claire de la diversité des mécanismes et des ambiguïtés que recèle cette notion. Cela appelle d’autres distinctions, relatives à la catégorie de nécessité, afin de préciser les conditions exactes d’un traitement scientifique de l’immanence naturelle. Le mécanisme, sous ses différentes formes, ne semble pas absolument requis. Dès lors, le problème des relations interthéoriques entre sciences peut être abordé à partir d’un point de vue décalé, plus historique et soucieux des pratiques scientifiques spécifiques. Le cas de la chimie semble permettre la discussion de l’idée de dérivation à partir d’un socle initial posé comme fondamental.

     

    ARTICLE

    Purification par Baliani de la théorie ancienne du mouvement et généralisation du principe d’inertie

    • Pages : 261 à 272
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Mise en évidence de l’importance de la formulation du principe d’inertie par Baliani, version qui prolonge celle de Galilée, dans la mesure où il généralise ce principe pour tous les phénomènes, en préparant la physique de Newton.

     

    ARTICLE

    Remarques sur la mathématisation de la théorie du mouvement, entre réalisme et réflexivité

    • Pages : 161 à 191
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    L’objectif de cet article est d’inscrire la réflexion sur le réalisme physique dans le cadre plus large de l’histoire de la philosophie de la physique (Aristote, Descartes, Leibniz) et de la physique (Newton, Einstein, Mach, Poincaré). Quelle est la réalité du mouvement, et de ce en quoi il a lieu, l’espace et le temps ? C’est la question fondamentale, à l’aune de laquelle on peut évaluer les différentes théories du mouvement qui ont été proposées au cours de l’histoire. S’il est vrai que la référence à une réalité est essentielle à la théorie physique en général (Merleau-Ponty), «sa mathématisation, sous ses formes les plus puissantes, celles qu’on trouve dans le champ de la théorie de la relativité générale, ne saurait éliminer le problème du réalisme, mais seulement conduire à le poser à nouveaux frais». Mettant en lumière cette tension, inhérente aux théories physiques, entre «visée ontologique réaliste» et réflexivité mathématique, l’article s’interroge sur le risque d’une possible dilution de la référence à la réalité à la faveur de cette absorpsion de la physique par les mathématiques.

     

    ARTICLE

    L’innéité du transfini

    • Pages : 188 à 195
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 29-09-2015

    Résumé :

    Français

    Reprenant l’analyse de l’ancien problème d’Achille et de la tortue, l’auteur montre comment y opère le fameux nombre omega de Cantor, et comment il offre, dans la suite des nombres, un relais précieux pour accorder l’intellectualisme des mathématiques à la réalité du mouvement. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    Berkeley et la chimie

    Une philosophie pour la chimie au XVIIIe siècle

    • Pages : 303
    • Collection : Histoire et philosophie des sciences
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-2-8124-0266-1
    •  
    • Date de création : 08-02-2012
    • Dernière mise à jour : 16-06-2022

    Résumé :

    Français

    Quelle philosophie de la chimie Berkeley a-t-il proposé dans sa Siris, ouvrage dont une éminente spécialiste a pu dire qu'il représentait aux yeux du philosophe irlandais le « couronnement » de son oeuvre ? (Cf. G. Brykman, Berkeley, philosophie et apologétique, Paris, Vrin, 1984 ; citée p. 11) Dans un premier temps, l'auteur cherche à déterminer le statut du discours de Berkeley dans son dernier ouvrage, dont les considérations sur la chimie (sections 36 à 47) ont pour but de présenter l'usage et les vertus de l'eau de goudron, qu'il estime être une panacée. L'auteur distingue ainsi deux usages de la chimie dans le discours de Berkeley. D'une part un usage « à titre de raison probable pour donner des raisons en faveur de l'eau de goudron » (p. 49) – usage présent dans les sections 36 à 47 de la Siris –, cela grâce à des principes chimiques qu'il ne découvre pas dans une pratique expérimentale de laboratoire, mais dans un corpus de textes de chimistes du début du XVIIIe siècle (Homberg, Boerhaave, Newton), donc à partir de doctrines et d'observations qu'il n'a pas faites lui-même. D'autre part un usage – présent dans les sections 120 à 130 de la Siris – consistant à se référer à certains systèmes de pensées antiques (Héraclite, Plotin) à la lumière des concepts de la chimie qui lui est contemporaine, de sorte à pouvoir élaborer un discours à portée cosmologique qui ne relève pas de la science, mais de la philosophie chimique, et dont la thèse centrale est de soutenir que le feu peut être « considéré comme l'esprit animal de ce monde visible. » (Berkeley dans la première lettre à Prior, cité p. 48) On comprend le recours à ce double usage dès lors que l'on sait que « la visée de la Siris est essentiellement apologétique » (p. 50) : « le but de la partie chimique de la Siris est de montrer que la considération adéquate de la chimie conduit effectivement à Dieu, c'est-à-dire qu'elle doit nous conduire à nous détourner de la chimie elle-même.» (p. 55) C'est donc la science chimique, et non la mécanique, qui pour Berkeley sert à prouver la Providence de Dieu. Or les objets de la chimie étant des corps, le problème posé par sa philosophie de la chimie consiste à savoir comment cette science peut être compatible avec son ontologie immatérialiste. Peut-on concilier une ontologie qui n'admet que des corps passifs (Berkeley) et une théorie chimique qui admet l'activité de certains corps (Newton) ? La solution proposée par Berkeley consiste d'une part « à récuser la causalité au nom de la légalité et à concevoir l'explication comme subsomption sous une règle. » (p. 105) ; d'autre part à récuser toute réduction des lois chimiques à des lois mécaniques, dans la mesure où le degré de généralité des secondes est beaucoup plus grand que celui des premières. En effet la mécanique a affaire aux lois générales du mouvement, tandis que la chimie s'occupe de mouvements particuliers ; la première postule un principe unique d'explication – l'attraction universelle –, tandis que la seconde étudie des corps soumis à une diversité d'attractions et de répulsions : « Dire que les lois sont diverses doit s'entendre de manière radicale : chaque classe ou type d'objet est soumis à des lois qui lui sont propres. (…) il faut bien trouver une manière de nommer les divers mouvements, afin de ne pas (…) croire illusoirement qu'il y a des lois générales. La chimie que promeut Berkeley est donc une chimie des mouvements. » (p. 117) Par conséquent, les lois que donne à connaître la chimie sont selon lui des lois particulières, ce qui signifie que la chimie a pour véritable objet le singulier. – Partie 1 : « Berkeley et la philosophie chimique » ; Partie 2 : « La théorie chimique selon Berkeley : chimie et apologétique » ; Conclusion générale, pp. 273-282 ; Bibliographie, pp. 283-294 ; Index des noms, pp. 295-296 ; Index des notions, pp. 297-299.

    F. F.

     

    MONOGRAPHIE

    Defending Einstein. Hans Reichenbach's Writings on Space, Time and Motion

    • Pages : VI-216
    •  
    • Support : Print
    • Edition : Original
    • Ville : Cambridge
    •  
    • ISBN : 0521859581
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 27-03-2012
    • Dernière mise à jour : 27-03-2012

    Résumé :

    Anglais

    Hans Reichenbach, a philosopher of science who was one of five students in Einstein's first seminar on the general theory of relativity, became Einstein's bulldog, defending the theory against criticism from philosophers, physicists, and popular commentators. This 2006 book chronicles the development of Reichenbach's reconstruction of Einstein's theory in a way that clearly sets out all of its philosophical commitments and its physical predictions as well as the battles that Reichenbach fought on its behalf, in both the academic and popular press. The essays include reviews and responses to philosophical colleagues; polemical discussions with physicists Max Born and D. C. Miller; as well as popular articles meant for the layperson. At a time when physics and philosophy were both undergoing revolutionary changes in content and method, this book is a window into the development of scientific philosophy and the role of the philosopher. – Contents : Introduction. – 1. Review of Moritz Schlick's General Theory of Knowledge; – 2. Einstein's theory of space; – 3. Reply to H. Dingler's Critique of the Theory of Relativity; – 4. Report on an axiomatization of Einstein's theory of space-time; – 5. Reply to Th. Wulf's objections of the general theory of relativity; – 6. Einstein's theory of motion; – 7. The theory of relativity and absolute transport time; – 8. Reply to Anderson's objections to the general theory of relativity; – 9. Review of Müller's The Philosophical Problems with Einstein's Theory of Relativity; – 10. The philosophical significance of the theory of relativity; – 11. Planet clocks and Einsteinian simultaneity; – 12. On the physical consequences of the axiomatization of relativity; – 13. Has the theory of relativity been refuted?; – 14. Response to a publication of Mr. Hj. Mellin. – Includes bibliographical references and index.

     

    MONOGRAPHIE

    La Naissance de la mécanique analytique

    La Science du mouvement au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles

    • Pages : 414
    • Collection : Bibliothèque d’histoire des sciences
    • Nombre de volumes : 1
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    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
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    • Institution : Centre national des lettres
    • ISBN : 2-13-044124-6
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    • Date de création : 16-12-2015
    • Dernière mise à jour : 16-12-2015

    Résumé :

    Français

    Le présent ouvrage traite de l’introduction du calcul différentiel et intégral dans le champ de la mécanique et, corrélativement, de la construction décisive de l’algorithme de la cinématique. Seront donc abordés les travaux de Newton, de Leibniz, de Varignon et des Bernoulli, mis en perspective avec la Mécanique Analytique de Lagrange. – Par rapport aux travaux galiléens exposés dans les Discorsi e dimostrazioni matematiche intorno a due nuove scienze (Leyde, 1638), la science du mouvement va connaître un développement considérable avec le Horologium Oscillatorium de Huygens (1673) et les Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica de Newton (1687). Cependant, ces deux textes majeurs présentent une organisation mathématique qui repose pour l'essentiel sur des procédures de géométrie infinitésimale, et sont de ce fait encore loin des grands traités du XVIIIe siècle (D'Alembert et Lagrange, ou Laplace) dans lesquels s'affirme la primauté des procédures analytiques. C'est avec Leibniz que se voit profondément transformé le champ conceptuel des mathématiques et, plus particulièrement, de la science du mouvement, dans son article de 1684, fondateur du nouveau calcul différentiel, « Nova Methodus pro maximis et minimis […] », prolongé en 1686 du « De Geometria recondita et analysi indivisibilium infinitorum ». C'est précisément à l'étude de cette transformation du champ conceptuel de la science du mouvement qu'est consacré le présent ouvrage, organisé autour de deux questions : – 1. Comment la conceptualisation différentielle de la science du mouvement a-t-elle été obtenue ?; – 2. Comment cette conceptualisation différentielle a-t-elle pu favoriser la réorganisation et le développement de la science du mouvement ? L'argumentation s'articule selon trois grandes parties. La première (« De nouvelles mathématiques ») réunit trois chapitres qui traitent successivement de la diffusion et de la réception du nouveau calcul, puis de ses premières mises en œuvre dans des questions relatives à la détermination de trajectoires engendrées par des corps en mouvement sans qu'il y ait pourtant conceptualisation différentielle spécifique de la science du mouvement. Peuvent alors être traitées dans toute leur originalité les démarches propres à Leibniz et à Varignon qui vont rendre possible la conceptualisation différentielle de la science du mouvement (1. L'entrée en scène du nouveau calcul leibnizien (1684-1692); 2. Les débats de l'Académie Royale des sciences (1693-1706) ; 3 . Les prétextes cinématiques). – La deuxième partie (« Conceptualisation et algorithmisation de la science du mouvement ») analyse les conceptualisations leibnizienne et varignonienne de la science du mouvement, en en montrant les différences et les limites. Le problème des fondements mathématiques de cette nouvelle conceptualisation est posé à travers l'analyse des Élémens de la Géométrie de l'infini de Fontenelle (1. la transition conceptuelle leibnizienne ; 2. L'algorithmisation varignonienne; 3. Fontenelle : le fondement de la science algorithmique du ouvement). – Deux exemples particuliers – le mouvement des projectiles dans les milieux résistants, et les premiers exercices d'hydrodynamique – sont étudiés dans la troisième partie ( « Réorganisations et développements dans la science du mouvement »), mettant en évidence toute la fécondité apportée à la science du mouvement par sa conceptualisation différentielle, tant sur le plan de l'organisation que sur celui du développement (1. Le mouvement des projectiles dans les milieux résistants ; 2. Les premiers essais en hydrodynamique). – Annexes ; – Bibliographie ; – Indes des noms cités dans le texte et les notes. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    L’unité du collectif. L’ontologie historique et critique de Spinoza et de Sartre

    • Pages : 231 à 259
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    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
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    • Date de création : 18-11-2020

    Résumé :

    Français

    Dans ce chapitre Kim Sang Ong-Van-Cung rappelle l’approche sartrienne de l’histoire comme praxis individuelle et praxis de groupes entremêlées. L’agir du groupe transcende et révèle à elles-mêmes les individualités par un dépassement de leur tendance à s’enfermer dans des agencements collectifs pris dans la sérialité. L’autrice éclaire cette reprise hétérodoxe du marxisme de Sartre par un rapprochement de sa philosophie avec celle de Spinoza. L’unité du corps politique, à partir d’un universel singulier à la jonction de l’individu et de la communauté chez Spinoza, sert ainsi à éclairer la philosophie sartrienne du nous. Cela permet de comprendre que la philosophie de la conservation (Spinoza) et celle du mouvement ou de la révolution (Sartre) ont en commun un même regard sur la liberté collective comme constitutive de l’individu spinoziste ou sujet sartrien. Prendre soin des institutions qui nous agissent c’est en définitive concilier l’une et l’autre philosophie.

    V. B.

     

    ARTICLE

    Aristotle on the Nature in the Pneuma and the First Body

    • Pages : 182 à 201
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    • Date de création : 14-03-2022
    • Dernière mise à jour : 14-03-2022

    Résumé :

    Français


    L’article porte sur l’analogie que propose la Génération des animaux (736b37-737a1) d’Aristote entre la nature qui se trouve dans le pneuma et l’« élément des astres ». Celle-ci est éclairée à la fois par le contexte immédiat du passage et par les réflexions du traité Du ciel sur le « premier corps » céleste. L’objectif est de montrer que seuls ces deux cas admettent, dans la philosophie aristotélicienne, la possibilité d’un mouvement animé qui ne présuppose pas la présence effective d’une âme. Thein propose de concevoir ce pneuma comme une âme en puissance, qui intervient dans les premiers moments de la formation des corps. Il s’agirait d’un principe susceptible de conférer la forme animée à un corps, mais qui ne serait pas une âme actualisée. En ménageant une telle place dans sa physique, Aristote parvient finalement à reconnaître l’animation du « premier corps »céleste tout en lui refusant la possession d’une âme (ce qui reviendrait à l’hypothèse platonicienne de l’âme du monde).

    L. M.