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Le Problème logique de l’induction
Jean NICODÉditeur : Presses Universitaires de France - 1924
Logique inductive et probabilité
Maurice BOUDOTÉditeur : Armand Colin - 1972
Underdetermination. An Essay on Evidence and the Limits of Natural Knowledge
Thomas BONKÉditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 2008
Hypothetico-Deductivism: Incomplete But Not Hopeless
Ken GEMESSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2005
Hypothetico-Deductivism is Still Hopeless
Suck-Jung PARKSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2004
The Role of Coherence of Evidence in the Non-Dynamic Model of Confirmation
Tomoji SHOGENJISous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2005
Confirmation non probabiliste
Hervé P. ZWIRN, Denis ZWIRNSous la direction de Jacques DUBUCS, François LEPAGEDans Méthodes logiques pour les sciences cognitives - 1995
Remarques sur la mathématisation de la théorie du mouvement, entre réalisme et réflexivité
Alain MICHELSous la direction de Ivahn SMADJADans Cahiers de philosophie de l’Université de Caen - 2008
Quelle réalité physique l’élaboration théorique mathématique permet-elle de discerner ? À partir de l’article de Hadamard : “Comment je n’ai pas découvert la relativité”
Jean-Jacques SZCZECINIARZSous la direction de Ivahn SMADJADans Cahiers de philosophie de l’Université de Caen - 2008
Confirmation et induction
Mikaël COZICSous la direction de Anouk BARBEROUSSE, Denis BONNAY, Mikaël COZICDans Précis de philosophie des sciences - 2011
Précis de philosophie des sciences
Sous la direction de Anouk BARBEROUSSE, Denis BONNAY, Mikaël COZICÉditeur : Vuibert - 2011
Vérité et confirmation
Rudolf CARNAPSous la direction de Pierre WAGNER, Christian BONNETDans L'Âge d'or de l'empirisme logique - 2006
Mécanique quantique : Du formalisme mathématique au concept philosophique
Sébastien POINATÉditeur : Hermann - 2014
Étant donné que nous induisons sans cesse, quels sont les principes logiques que suppose notre raisonnement expérimental ? Certaine en théorie, l’induction est-elle seulement probable dans la pratique ? Mais «si les inductions réelles ne remplissent pas les conditions qui les rendraient certaines et qu’on vient de se donner dans la théorie, il s’ensuit qu’elles ne sont pas certaines, mais nullement que malgré cela elles demeurent assez probables, ou très probables, ou extrêmement probables : la certitude étant manquée, la probabilité reste tout entière à établir, et la théorie tout entière à refaire». Pour confirmer ce principe et en étudier les conséquences, l’Auteur tente d’établir le problème logique de l’induction sur son véritable terrain, celui de la probabilité. – Notions préliminaires; – Hypothèse sur les deux rapports élémentaires d’un fait à une loi; – L’induction par infirmation; – L’induction par confirmation. M.-M. V.
Cet ouvrage fait le bilan et l’examen critique des nombreux travaux que les penseurs de l’école néo-positiviste ont consacré à la théorie de l’induction : il est possible, selon eux, de construire une logique de l’induction grâce à l’introduction du concept de probabilité. Se fondant notamment sur les travaux de Reichenbach et de Carnap, l’A. établit l’impossibilité d’une logique de l’induction conforme aux exigences de l’empirisme logique et met ainsi en cause une thèse cardinale de cette doctrine, la possibilité même d’une épistémologie formelle. – Première Partie, «L’idée d’une logique inductive probabilitaire» : Chap. I, L’épistémologie formelle et le concept de logique inductive; Chap. II, Misère de la logique inductive classique; Chap. III, Les théories de l’inférence statistique; Chap. IV, Les tâches de la logique inductive probabilitaire. – Deuxième Partie, «Induction, probabilités et fréquences selon Reichenbach» : Chap. V, Fréquences et probabilités; Chap. VI, L’induction et son progrès selon Reichebach; Chap. VII, La conception fréquentielle de la probabilité et la logique inductive (examen critique du système de Reichenbach); Chap. VIII, La justification de la règle d’induction. – Troisième Partie, «Les théories du degré de confirmation» : Chap. IX, Signification et usage du concept métalogique de probabilité; Chap. X, Les théorèmes de la confirmation; Chap. XI, Le système de Carnap; Chap. XII, Les théories de la confirmation et le langage de la science; Chap. XIII, La théorie de la confirmation et le problème épistémologique de l’induction. – Appendices : 1. Notions de morphologie et de sémantique; 2. La théorie des algèbres de Boole et ses applications en logique; 3. Les concepts fondamentaux de la théorie mathématique des probabilités. M.-M. V.
Underdetermination. An Essay on Evidence and the Limits of Natural Knowledge is a wide-ranging study of the thesis that scientific theories are systematically "underdetermined" by the data they account for. This much-debated thesis is a thorn in the side of scientific realists and methodologists of science alike and of late has been vigorously attacked. After analyzing the epistemological and ontological ascpects of the controversy in detail, and reviewing pertinent logical facts and selected scientific cases, Bonk carefully examines the merits of arguments for and against the thesis. Along the way, he investigates methodological proposals and recent theories of confirmation, which promise to discriminate among observationally equivalent theories on evidential grounds. He explores sympathetically but critically W.V.Quine and H.Putnam’s arguments for the thesis, the relationship between indeterminacy and underdetermination, and possibilities for a conventionalist solution. This book is of interest to anyone working in philosophy of science, and to those interested in the philosophy of Quine. – 1. A Humean Predicament? 1.1. Aspects of Underdetermination; 1.2. Significance of the Thesis; 1.3. Quine, Realism, and Underdetermination; 1.4. No quick solutions; 1.5. Three responses and strategies; – 2. Underdetermination Issues in the Exact Sciences; 2.1. Logical Equivalence, Interdefinability, and Isomorphism; 2.2. Theorems of Ramsey and Craig; 2.3. From Denotational Vagueness to Ontological Relativity; 2.4. Semantic Arguments: 2.5. Physical Equivalence; 2.6. Underdetermination of Geometry; – 3. Rationality, Method, and Evidence; 3.1. Deductivism Revisited; 3.2. Quine on Method and Evidence; 3.3. Instance Confirmation and Bootstrapping; 3.4. Demonstrative Induction; 3.5. Underdetermination and Inter-theory Relations; – 4. Competing Truths; 4.1. Constructivism; 4.2. Things versus Numbers; 4.3. Squares, Balls, Lines, and Points; 4.4. Algorithms; – 5. Problems of Representation; 5.1. Ambiguity 5.2. Conventionalism: Local; 5.3. Conventionalism: Global; 5.4. Verificationism and Fictionalism; – 6. Underdetermination and Indeterminacy; 6.1. Underdetermination of Translation; 6.2. Indeterminacy versus Underdetermination; 6.3. Empirical Investigation of Cognitive Meaning; 6.4. Indeterminacy and the Absence of Fact: 6.5. Quine’s Pragmatic Interpretation of Underdetermination. M.-M. V.
Alleged counter-examples deployed in Park (2004) [Erkenntnis 60: 229–240] against the account of selective hypothetico-deductive confirmation offered in Gemes (1998) [Erkenntnis 49: 1–20] are shown to be ineffective. Furthermore, the reservations expressed in Gemes (1998) [ibid] and (1993) [Philosophy of Science 62: 477–487] about hypothetico-deductivism (H-D) are retracted and replaced with the conclusion that H-D is a viable account of confirmation that captures much of the practice of working scientists. However, because it cannot capture cases of inference to the best explanation and cases of the observational confirmation of statistical hypotheses, it is concluded that H-D cannot supply a complete theory of confirmation.
Since Christensen refuted the Bootstrap theory of confirmation in 1990, there have been some trials to improve the Hypothetico-Deductive theory of confirmation. After some trials, Gemes (1998) declared that his revised version completely overcame the difficulties of Hypothetico-Deductivism without generating any new difficulties. In this paper, I will assert that Gemes's revised version encounters some new difficulties, so it cannot be a true alternative to the Bootstrap theory of confirmation and to classical Hypothetico-Deductivism. Also I will assert that, in principle, such new difficulties cannot be overcome by any trials dependent only on formal logic.
This paper examines the role of coherence of evidence in what I call the non-dynamic model of confirmation. It appears that other things being equal, a higher degree of coherence among pieces of evidence raises to a higher degree the probability of the proposition they support. I argue against this view on the basis of three related observations. First, we should be able to assess the impact of coherence on any hypothesis of interest the evidence supports. Second, the impact of coherence among the pieces of evidence can be different on different hypotheses of interest they support. Third, when we assess the impact of coherence on a hypothesis of interest, other conditions that should be held equal for a fair assessment include the degrees of individual support which the propositions directly supported by the respective pieces of evidence provide for the hypothesis. Once we take these points into consideration, the impression that coherence of evidence plays a positive role in confirmation dissipates. In some cases it can be shown that other things being equal, a higher degree of coherence among the pieces of evidence reduces the degree of confirmation for the hypothesis they support.
1, Introduction; 2, Principes d’adéquation; 3, Critères probabilistes; 4, Confirmation absolue; 5, Théorie des possibilités et confirmation relative; 6, Conclusion.
L’objectif de cet article est d’inscrire la réflexion sur le réalisme physique dans le cadre plus large de l’histoire de la philosophie de la physique (Aristote, Descartes, Leibniz) et de la physique (Newton, Einstein, Mach, Poincaré). Quelle est la réalité du mouvement, et de ce en quoi il a lieu, l’espace et le temps ? C’est la question fondamentale, à l’aune de laquelle on peut évaluer les différentes théories du mouvement qui ont été proposées au cours de l’histoire. S’il est vrai que la référence à une réalité est essentielle à la théorie physique en général (Merleau-Ponty), «sa mathématisation, sous ses formes les plus puissantes, celles qu’on trouve dans le champ de la théorie de la relativité générale, ne saurait éliminer le problème du réalisme, mais seulement conduire à le poser à nouveaux frais». Mettant en lumière cette tension, inhérente aux théories physiques, entre «visée ontologique réaliste» et réflexivité mathématique, l’article s’interroge sur le risque d’une possible dilution de la référence à la réalité à la faveur de cette absorpsion de la physique par les mathématiques.
Cet article montre en quel sens il y a une sorte de «physicalisation ordinaire» de la géométrie à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, notamment dans l’élaboration des concepts de courbure et de géométrie intrinsèque. Depuis les travaux de Gauss et Riemann, la compréhension des concepts physiques se fait pour ainsi dire à travers leur élaboration mathématique. S’appuyant sur un texte de Jacques Hadamard (Colloque de philosophie, Naples, 1924), Jean-Jacques Szczeciniarz structure son propos selon quatre axes : 1/ le raisonnement de Hadamard; 2/ la question du domaine de réalisation (intégration) des équations différentielles dont traite la physique mathématique; 3/ la question de la réalité des objets de la théorie physique et de leur rapport aux objets mathématiques relativement au problème du temps; 4/ un point épistémologique.
Ce chapitre a pour objet la théorie de la confirmation, c'est-à-dire la réflexion épistémologique qui s'efforce de penser les rapports entre des données empiriques favorables à une hypothèse (inscrite dans le cadre d'une théorie scientifique) et cette hypothèse elle-même. Dans un premier temps, l'auteur présente deux théories élémentaires de la confirmation : l'instancialisme et l'hypothético-déductivisme. L'insuffisance de ces théories provient de leur dimension exclusivement qualitative. C'est pourquoi suit une présentation de la théorie bayésienne de la confirmation, qui permet d'appréhender ce concept de manière qualitative et quantitative grâce à l'introduction d'un outil de quantification : le calcul des probabilités. Dès lors, le cadre probabiliste exige la distinction (introduite par Carnap) entre un concept absolu et un concept incrémental de confirmation. Parce que la théorie bayésienne montre que le concept de confirmation est profondément lié au problème de l'induction, l'auteur revient dans un dernier temps sur ce problème, afin de savoir si le bayésianisme permet de le résoudre.
F. F.
Ce précis, aussi bien destiné aux étudiants qu'aux doctorants et chercheurs confirmés, aborde de façon pédagogique à des niveaux de complexité variables les grands domaines et les grands problèmes de la philosophie des sciences. Il se divise en deux grandes parties : une première consacrée à la philosophie générale des sciences (chapitres 1 à 7), une seconde consacrée à la philosophie des sciences spéciales (chapitres 8 à 16). – Notes ; Bibliographie, pp. 643-696 ; Index, pp. 697-709.
F. F.
[Rudolf Carnap : « Warheit und Bewärhung », Actes du congrès international de Philosophie scientifique (Sorbonne, Paris, 1935), Paris, Hermann, 1936, fascicule 4, « Induction et probabilité », pp. 18-23. Les passages de « Truth and Confirmation » (1949) qui ne se trouvent pas dans « Warheit und Bewärhung » sont indiqués en note et dans l'annexe, et sont traduits de l'anglais par Pierre Wagner]. – Ce texte présenté et traduit de l'allemand par Pierre Wagner, publié avec l'autorisation de Carus Publishing, est issu de l'une des trois conférences que Carnap prononça au congrès international de Philosophie scientifique tenu à Paris du 15 au 21 septembre 1935. En 1949, une version anglaise considérablement enrichie du texte allemand de 1935 parut sous le titre « Truth and Confirmation ». La traduction ici présentée est celle du texte allemand de 1935, auquel s'ajoute en note l'indication des modifications apportées dans la version anglaise de 1949. L'objet du présent article concerne le statut des concepts de « vrai » et « faux », réinterrogés à la lumière de la méthode sémantique élaborée par Alfred Tarski. – Références bibliographiques, p. 566 ; Annexe, pp. 567-572.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Ali Benmakhlouf : Philosophie : 1 vol. : Université de Nice : 2010 : 395 p.]. – Un paradoxe ne cesse de suivre la mécanique quantique (MQ) : elle est « incompréhensible » et pourtant hautement efficace. Il y a deux grandes raisons d’espérer une plus grande intelligibilité de cette théorie physique : 1° le nombre d’expériences, toujours plus nombreuses, confirmant des prédictions quantiques ; 2° le nombre des applications technologiques qu’elle rend possible. Dès lors, la stratégie de ce livre est de trouver dans le formalisme mathématique de la MQ un guide menant à sa compréhension épistémologique en l’interrogeant et en le faisant parler, plutôt qu’en l’interprétant, et cela, dans la mesure où ce formalisme est extrêmement robuste et efficace. Il s’agit donc de tirer les enseignements épistémologiques du formalisme standard, en explicitant ses principes directeurs. Deux adversaires sont alors combattus dans le présent ouvrage : l’émergentisme quantique (qui cherche à faire dire au langage de la mécanique quantique ce qu’il ne peut pas dire) et le réductionnisme quantique (qui abandonne son langage pour lui en imposer un autre). Ces deux doctrines opposées ont en effet pris pour exemple paradigmatique – afin de défendre leur position – le phénomène de l’intrication : la première en cherchant à prouver que les systèmes quantiques intriqués sont des systèmes émergents ; la seconde, en cherchant à prouver qu’un système intriqué, en tant que système composé, peut être expliqué par une déduction dérivée des comportements des sous-systèmes qui le constituent. Dans un premier temps, l’auteur fait un retour aux sources historiques des débats sur la MQ, en lisant les textes des pères fondateurs (Bohr, Heisenberg et Schrödinger) afin de saisir précisément les modifications conceptuelles auxquelles elle nous contraint (exclusion de la simultanéité des descriptions causale et spatio-temporelle due à l’existence du quantum d’action, introduction du principe de complémentarité, etc.) sans pour autant renoncer à penser aux liens qui la rattachent à la physique classique (Partie 1 : « Mécanique quantique et langage selon Niels Bohr »). Dans un second temps, il opère un retour aux origines du débat entre émergentisme et réductionnisme dans la philosophie des sciences au XIXe siècle (Partie 2 : « Émergence et réduction dans l’histoire de la philosophie ») pour ensuite analyser son importation dans le cadre de la théorie quantique et examiner le statut de la thèse émergentiste appliquée au cas des systèmes intriqués (Partie 3 : « Émergence et intrication »). Dès lors il examine la position réductionniste, à partir de l’analyse de deux articles de Schrödinger et Einstein, puis de l’article EPR (Einstein-Podolsky-Rosen), pour montrer comment ce dernier a ouvert la voie aux théories à variables cachées, qui se sont révélées difficilement compatibles avec la mécanique quantique, avant d’être mises en échec par les résultats obtenus au sein de l’équipe d’Alain Aspect en 1982 (Partie 4 : « Formalisme quantique et réalité »). Analysant un corpus exhaustif des textes centraux de la MQ, cette étude est l’une des meilleures publiées sur le sujet en France, elle permet d’aller au cœur des problèmes de la MQ en se concentrant méticuleusement sur le formalisme standard. – Préface de Jocelyn Benoist : « Les voies intriquées du réel », pp. 5-10 ; Introduction, pp. 11-37 ; Conclusion, pp. 457-465 ; Annexe, pp. 467-480 ; Bibliographie, pp. 481-501 ; Table des matières, pp. 503-506 ; Remerciements, p. 507.
F. F.