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Monographie
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Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
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3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
L’irruption des non-humains dans les sciences humaines : quelques leçons tirées de la sociologie des sciences et des techniques
Michel CALLON, John LAWSous la direction de Bénédicte REYNAUDDans Les Limites de la rationalité - 1997
Introduction
Gérard WEISBUCHSous la direction de Gérard WEISBUCH, Hervé P. ZWIRNDans Qu’appelle-t-on aujourd’hui les sciences de la complexité ? Langages, réseaux, marchés, territoires - 2010
Action, réaction et interaction : Le Roy et la nouvelle philosophie de 1900
Anastasios BRENNERSous la direction de Michel PATY, Danièle GHESQUIER-POURCIN, Muriel GUEDJ, Gabriel GOHAUDans Énergie, science et philosophie au tournant des XIXe et XXe siècles - 2010
La symétrie de jauge comme sonde philosophique
Alexandre GUAYSous la direction de Soazig LE BIHANDans Précis de philosophie de la physique - 2013
Le temps des processus élémentaires - I -
Gilles COHEN-TANNOUDJISous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIROSous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIRODans Le Temps et sa flèche - 2013
Cancer : complexity, causation, and systems biology
James A. MARCUMSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTDans Matière Première. Revue d'épistémologie - 2010
Monde pluriel : Penser l'unité des sciences sociales
Bernard LAHIREÉditeur : Seuil - 2012
Cet article insiste sur le caractère hybride du réseau associant des entités qui sont des éléments humains et non humains (règles, conventions, connaissances communes). L’identité de l’entité se définit dans l’interaction. «Le collectif est constamment “réparé” et localement reconstruit dans l’interaction». Cette vision du collectif conduit à supprimer la question de la constitution des collectifs : «L’action n’a pas de source et ne rencontre aucun point d’arrêt définitif». Au lieu de chercher les sources de l’action, les auteurs invitent plutôt à analyser sa distribution.
Introduction à la deuxième Partie de l’ouvrage, consacrée aux réseaux. L’idée d’un réseau d’interactions est centrale dans cette approche : le réseau est la représentation des interactions entre les éléments qui composent le système. C’est souvent la structure du réseau qui conditionne les propriétés globales émergentes de la dynamique.
Consacré à la philosophie d’Édouard Le Roy, cet article y voit l’atténuation «des clivages classiques entre idéalisme et réalisme, entre spiritualisme et matérialisme». D’abord attiré par le courant conventionnaliste représenté par Poincaré et Duhem, Le Roy prolonge les débats du conventionnalisme en direction de l’activité de l’esprit, et développe une philosophie fondamentalement marquée par l’idée d’ «énergie créatrice» inspirée par Berson, orientée vers les perspectives d’une cosmologie évolutionniste où la contingence tient une place par la diversité des possibilités ouvertes.
L'objectif de cet article est de présenter la valeur heuristique d'un outil mathématique, la symétrie de jauge (i.e. d'un ensemble de descriptions équivalentes d'un même état physique), le renouvellement du regard qu'il nous donne sur l'objectivité et la causalité, enfin le rôle pragmatique qu'il peut avoir dans le passage d'une théorie à une autre, comme le montre l'auteur à propos de la procédure permettant de passer d'une théorie classique des champs à une théorie quantique.
F. F.
Cet article montre comment à partir de la théorie des interactions fondamentales (qui étudie les structures d'emboîtements des particules élémentaires) se posent les problèmes du temps à l'échelle de l'infiniment petit. La théorie quantique des champs (qui allie relativité restreinte et théorie des quanta) permet, grâce à la méthode de renormalisation, de conférer à la physique des processus élémentaires une véritable dimension temporelle. – Introduction : relativité et quanta, matière, espace et temps ; 2. Théorie quantique des champs : relativité, localité et causalité quantiques ; 3. L'intégrale des chemins et la renormalisation ; 4. Conclusion : matière et flèche du temps. F. F.
L’étiologie du cancer est encore largement dominée par la conception dite TMS (Théorie de la Mutation Somatique) dans laquelle des gènes mutés constituent la cause du cancer. Malgré cette prédominance, et les promesses du décryptage du génome humain, de nombreuses anomalies et contre-exemples rendent cette théorie de plus en plus fragile quant à sa portée explicative. Lorsque l’on est favorable à l’idée que la thérapeutique doit être conditionnée par la compréhension des mécanismes des phénomènes en jeu et donc ne plus seulement être le fruit d’une induction plus ou moins longuement menée, au fil de la pratique clinique, ou encore d’une accumulation de faits difficilement compréhensibles dans leur diversité et hétérogénéité – réalisant ainsi pleinement un idéal bernardien –, ces lacunes sont particulièrement frustrantes eu égard aux considérables enjeux de santé publique. Aussi, des alternatives théoriques arrivent à maturité, mettant en lumière des circuits causaux non plus linéaires comme dans la TMS, mais faisant intervenir des niveaux d’organisation en interaction. Ces théories relèvent de la biologie des systèmes. Elles sont examinées par James A. Marcum dans « Cancer : complexity, causation, and systems biology ». - Bibliographie, pp. 144-147 ; Notice biographique, p. 148.
Comment penser l’unité des sciences sociales ? Ce livre a pour ambition de répondre à cette question, par-delà l’hétérogénéité des points de vue et intérêts de connaissance que l’on trouve dans des disciplines aussi différentes que la sociologie, l’histoire, la géographie, la psychanalyse, etc. Ces disciplines sont ramenées par l’auteur à un programme général d’étude des comportements humains qui tient dans une formule, héritée de Bourdieu mais retravaillée : « Passé incorporé + Contexte d’action présent = Pratiques ». B. Lahire montre le nécessaire équilibre des éléments de cette formule (chap. 1) : pour comprendre les pratiques, on ne peut ni se passer d’une référence au passé incorporé des acteurs, ni oublier le rôle essentiel du contexte présent dans l’actualisation des dispositions, compétences, etc. Cela suppose au passage de se démarquer de la formule de Bourdieu ( [(habitus)(capital)] + champ = pratique) qui assimile le passé incorporé au seul habitus et le contexte au seul champ. L’essentiel du livre met cependant l’accent principalement sur le contexte bien plus que sur les deux autres éléments de la formule, et ce, en le rapportant tout d’abord au mouvement historique de différenciation sociale des activités, de séparation des domaines de pratiques en « religion », « politique », « économie », « droit », etc. (chap. 2). Une grande importance est accordée à la distinction entre deux sens d’autonomie des pratiques, entre la spécificité et l’indépendance les unes à l’égard des autres. La notion de contexte est ensuite distinguée de celle, bourdieusienne, de « champ » (chap. 3), l’idée étant d’une part que tout contexte d’action pertinent n’est pas un champ, et d’autre part qu’il est essentiel de s’intéresser au « hors-champ » des acteurs. Enfin, un dernier chapitre porte sur l’opération de contextualisation (chap. 4), à comprendre plus précisément grâce à une distinction entre échelle d’observation de la réalité sociale, niveau de réalité sociale sur lequel on cherche à faire progresser la connaissance, et type d’objet étudié. Dans cette perspective, la discussion et la critique de l’interactionnisme occupent une place importance. Ce qui se dessine ainsi tout au long du livre, au fil de l’étude de la notion de contexte, c’est l’ambition renouvelée d’une « science de l’homme » par-delà l’enfermement disciplinaire. – Addenda, pp. 353-363 ; Bibliographie, pp. 369-384 ; Index des noms, pp. 385-388 ; Index thématique et conceptuel, pp. 389-393. P. F.