1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
Vous avez la possibilité de faire défiler cette liste de références bibliographiques
1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
1.3.1. Cliquez sur le bouton accueil :
1.3.2. Vous avez la possibilité de choisir un critère parmi les critères suivants :
1.3.3. Cliquez sur le bouton OK ou sur la touche ENTER de votre clavier pour lancer la recherche
1.3.4. La liste des résultats s’affiche :
Vous avez la possibilité de faire défiler et de cliquer sur un résultat de requête
1.3.5. Une fois que vous avez sélectionné un résultat, la notice associée à cette référence bibliographique s’affiche et vous pouvez la consulter :
1.3.6. Pour afficher ou masquer le détail des métadonnées de la référence appuyer sur + ou sur – :
1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Étude sur l’évolution d’un problème de physique. La propagation thermique dans les solides
Gaston BACHELARDÉditeur : Vrin - 1973
Univers parallèles
Thomas LEPELTIERÉditeur : Seuil - 2010
Introduction
Danièle GHESQUIER-POURCINSous la direction de Michel PATY, Danièle GHESQUIER-POURCIN, Muriel GUEDJ, Gabriel GOHAUDans Énergie, science et philosophie au tournant des XIXe et XXe siècles - 2010
Énergie et économie dans la pensée marxienne
Franck-Dominique VIVIENSous la direction de Michel PATY, Danièle GHESQUIER-POURCIN, Muriel GUEDJ, Gabriel GOHAUDans Énergie, science et philosophie au tournant des XIXe et XXe siècles - 2010
Fried Eggs, Thermodynamics, and the Special Sciences
Jeffrey DUNNSous la direction de Alexander BIRD, James LADYMANDans The British Journal for the Philosophy of Science - 2011
L' « ordre biologique » selon André Lwoff
Laurent LOISONSous la direction de Frédéric WORMS, Claude DEBRU, Michel MORANGEDans Une nouvelle connaissance du vivant - 2012
Précis de philosophie de la physique
Sous la direction de Soazig LE BIHANÉditeur : Vuibert - 2013
Les histoires passées des molécules
Craig CALLENDERSous la direction de Soazig LE BIHANDans Précis de philosophie de la physique - 2013
Vie, matière et observation
Léon BRILLOUINÉditeur : Albin Michel - 1959
Le temps macroscopique
Roger BALIANSous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIROSous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIRODans Le Temps et sa flèche - 2013
Fare i conti con il caso : La probabilità e l'emergere dell'indeterminismo nella fisica moderna
Donata ROMIZIÉditeur : Archetipolibri - 2009
Matières et matérialismes : Études d’histoire et de philosophie des sciences
Yvette CONRYÉditeur : L’Harmattan - 2013
Analyse phénoménologique du concept de probabilité
Albino Attilio LANCIANIÉditeur : Hermann - 2012
Chimica e filosofia : Scienza, epistemologia, storia e religione nell’opera di Pierre Duhem
Roberto MAIOCCHIÉditeur : La Nuova Italia - 1985
Aristotle on the Powers of Thermic Equilibrium
Tiberiu POPASous la direction de Hynek BARTOŠ, Colin GUTHRIE KINGDans Heat, Pneuma, and Soul in Ancient Philosophy and Science - 2020
La formation des concepts scientifiques à partir du XVIIIe siècle atteste d’un développement parallèle des mathématiques et de l’expérience. Nos observations ne sauraient en effet se traduire en termes de sensations immédiates; les phénomènes thermiques soulignent combien la sensation est impropre à évaluer la température; celle-ci n’est qu’une des variables d’un complexe offrant bien peu de prise à l’analyse et par conséquent à l’abstraction. La physique, qui était d’abord une science des “agents”, devient alors une science des “milieux”. – Plus encore que la pensée commune, la pensée scientifique vit de rapports et elle ne peut connaître un phénomène qu’en l’incorporant à un système, ou du moins en le pliant aux principes d’une méthode. L’étude de la propagation thermique devait, à quelque moment que ce fût de l’évolution scientifique, suggérer des principes philosophiques, et le problème de la physique mathématique rejoindre alors le problème traditionnel de la philosophie : comment la réalité peut-elle être analysée par la raison? – Chapitre I, La formation des concepts scientifiques au XVIIIe siècle; – II, L’expérience et le calcul de Biot; – III, Le problème de Physique mathématique dans Fourier; – IV, A. Comte et Fourier; – V, L’intuition et la construction de Poisson; – VI, Duhamel : Les premières équations relatives aux milieux cristallins; – VII, Les recherches expérimentales dans les milieux cristallins; – VIII, M. Boussinesq : L’hypothèse de la nature dynamique de la chaleur dans le problème de la propagation; – IX, L’hypothèse cinétique dans les solides et l’expérience. M.-M. V.
Dès leur apparition, dans les années 1930, les équations de la physique quantique ont laissé entrevoir une étrange possibilité : un système peut se trouver dans une infinité d'états possibles... avant qu'une mesure ne le « fige » dans un état unique : celui dans lequel on l'observe. Longtemps considérée comme un artefact, cette notion a été précisée en 1958 par le physicien Hugh Everett : nous vivons peut-être, simultanément, une infinité d'histoires différentes dans une infinité d'univers différents. On conçoit que ces « multivers » soient devenus un thème d'élection de la science-fiction, mais l'on sait moins que la théorie d'Everett, où le rôle du hasard est prépondérant, est âprement combattue par les créationnistes. Dans le sillage des réflexions sur le "principe anthropique", l'idée que notre univers ne serait que l'un parmi une multitude d'autres a récemment fait une entrée en force dans la cosmologie. Une interprétation de la mécanique quantique en vogue suggère aussi que tous les dénouements possibles d'un événement se réalisent dans autant d'univers parallèles. De quoi remettre au goût du jour d'anciens débats théologiques et philosophiques sur la pluralité des mondes. Reste à savoir si ces spéculations relèvent de la science ou de la science-fiction. Mais pourquoi pas des deux à la fois?. – 1. Théologie des mondes multiples; – 2. L'invention du big bang; – 3. Des histoires qui bifurquent; – 4. Les raisonnements anthropiques; – 5. La quatrième dimension; – 6. Une création permanente d'univers. M.-M. V.
Présentation de la Partie I.
Cet article concerne l’un des domaines d’insertion de l’énergétisme, celui de l’économie, et traite de l’énergie et de ses relations à l’économie dans la pensée marxienne : c’est en effet d’abord par l’intermédiaire des œuvres de Marx et d’Engels, introduites au parti bolchevique par Lénine, que s’est faite cette insertion.
David Lewis ([1986b]) gives an attractive and familiar account of counterfactual dependence in the standard context. This account has recently been subject to a counterexample from Adam Elga ([2000]). In this article, I formulate a Lewisian response to Elga’s counterexample. The strategy is to add an extra criterion to Lewis’s similarity metric, which determines the comparative similarity of worlds. This extra criterion instructs us to take special science laws into consideration as well as fundamental laws. I argue that the Second Law of Thermodynamics should be seen as a special science law, and give a brief account of what Lewisian special science laws should look like. If successful, this proposal blocks Elga’s counterexample.
À partir d'une analyse comparative de deux ouvrages, – L'évolution physiologique (1944) et L'ordre biologique (1969) – l'auteur montre comment la biologie moléculaire a modifié la manière dont André Lwoff a pu concevoir la nature du vivant. En ayant révélé que l'ordre biologique est fondamentalement moléculaire et essentiellement régi par une information génétique réfractaire à toute quantification thermodynamique, la biologie moléculaire a mis au jour son irréductibilité à un ordre exclusivement physico-chimique.
F. F.
Le but de ce précis est d'expliquer ce qu'est la philosophie de la physique. L'ouvrage se divise en quatre grandes parties. La première porte sur les problèmes fondamentaux posés par la mécanique quantique : problèmes de la localité, de la mesure, de l'interprétation et des ontologies associées (chapitres 1 à 6). La seconde partie traite des rapports entre thermodynamique et mécanique statistique : elle examine en particulier les approches de Boltzmann et Gibbs dans ces domaines, ainsi que le paradoxe de la réversibilité (chap. 7 et 8). La troisième partie se focalise sur deux théories de l'espace-temps : la théorie de la relativité générale et la gravité quantique (chap. 9 et 10). Enfin, la quatrième et dernière partie aborde des problèmes classiques de la philosophie des sciences tels qu'ils se posent à nouveaux frais à la lumière de la physique contemporaine : transformation de la dynamique de la science à l'ère du traitement computationnel (chap. 11), reformulation du problème de la classification des êtres naturels à la lumière de l'astrophysique actuelle (chap. 12), importance du rôle joué par la symétrie dans la description du monde physique (chap. 13 et 14), édification d'une métaphysique des sciences unifiée rendue possible par le réalisme structural ontologique (chap. 15). Cet ouvrage est aussi bien destiné aux étudiants, aux doctorants, qu'aux chercheurs confirmés. – Bibliographie, pp. 341-360.
F. F.
La mécanique statistique est-elle une science spéciale ou une science fondamentale ? Cet article a pour objet le paradoxe de la réversibilité en mécanique statistique (MS). Il montre en quoi l'interprétation que l'on en donne conditionne le statut que l'on sera conduit à accorder à la MS.
F. F.
Léon Brillouin (1889-1969) est un physicien et mathématicien qui s'est fait remarquer par des travaux importants en physique des solides et en mécanique ondulatoire. Auteur d'une thèse sur La Théorie des solides et des quanta (1920), successeur de Marcel Brillouin à la Chaire de Physique théorique au Collège de France (1932), l'auteur du présent ouvrage examine dans la lignée de Claude Shannon et Norbert Wiener l'une des idées les plus importantes suggérées par la cybernétique : l'analogie entre information (lorsqu'elle se perd au cours de la transmission d'un message) et entropie (i.e. l'augmentation du désordre dans un système fermé) dans l'étude des êtres vivants, induisant l'hypothèse d'un principe de Carnot généralisé. Les phénomènes vitaux étant par nature irréversibles, un des problèmes posés dans cet ouvrage est donc de savoir si la thermodynamique peut s'appliquer à l'étude des êtres vivant. L'hypothèse de Brillouin est la suivante : si les organismes vivants peuvent garder une entropie basse et poursuivre leur existence, c'est parce qu'il y aurait une source d'information qui ordonnerait la matière vivante. Les divers chapitres formant cet ouvrage traitent ainsi des rapports entre thermodynamique et information, mais aussi esprit et machine, vie, pensée et physico-chimie. – Chapitre I : Vie, thermodynamique et cybernétique ; chap. II : Le cerveau et la machine ; chap. III : Thermodynamique et information ; chap. IV : La science de l'information : définition et mesure ; chap. V : La théorie de l'information et les bases des sciences physiques ; chap. VI : Poincaré, l'énergétique et le déterminisme ; chap. VII : Planck et la distinction entre le monde extérieur et sa représentation physique. – Table des matières, pp. 243-245.
F. F.
Cet article a pour objet le problème scientifique de l'irréversibilité à l'échelle macroscopique, dans des circonstances où, comme l'écrit l'auteur, « les phénomènes à l'échelle microscopique sont réversibles ». – 1. Le temps, grandeur orientée ; 2. Le principe de Carnot ; 3. Le réfrigérateur, machine à remonter le temps ? ; 4. La croissance de l'entropie ; 5. La plongée vers le microscopique : de Charybde en Scylla ; 6. Changement d'échelle et invariances brisées ; 7. Probabilités, incertitude et information ; 8. Où l'on a recours à la prestidigitation ; 9. L'entropie, mesure du désordre ; 10. Un gaz pourrait-il se contracter spontanément ? ; 11. Magnétisme et athlétisme ; 12. Démons et Maxwell ; 13. Flèche du temps, dégradation et perte de connaissance. F. F.
Questo volume dedicato all’idea di caso, e di cui Maria Carla Galavotti è prefatrice, presenta un percorso d’indagine che si snoda a partire dalla meccanica classica per giungere alla fisica indeterministica del Novecento. Lungo tale percorso, precisamente dal 1654 con Blaise Pascal e Pierre Fermat, si situa l’emergere del concetto di probabilità. Il cuore del discorso concernente la nozione di caso solitamente consiste nel considerare se il caso sia un fatto epistemico, vale a dire espressione dei limiti della conoscenza umana, come pensava Pierre Simon Laplace, oppure se esso vanti una reale consistenza ontologica. Ora il percorso storico e concettuale svolto in questo volume è inteso a « mettere in rilievo come la nozione di probabilità e la conoscenza probabilistica abbiano contribuito a smantellare un paradigma - quello del determinismo – applicato per secoli in modo per lo più acritico a una presunta realtà ‘in sé’». Abituati a concepire deterministicamente gli eventi, la nozione di probabilità, se rende plausibile l’indeterminismo nei termini di ipotesi ontologica e infrange la pretesa della conoscenza certa, non dissolve per questo – precisa l’Autrice – ogni pretesa di nomicità. Nell’Ottocento all’interpretazione epistemica della probabilità si va sostituendo, infatti, un’interpretazione empirica frequentista. Assumono rilievo, nella parte I (cap. 5), le diverse interpretazioni della probabilità (l’interpretazione logicista, l’interpretazione soggettiva, quella frequentista e quella propensionista). Nella parte II in cui, sullo sfondo del rapporto fra epistemologia e ontologia, si prende in considerazione la nozione di caos, si snoda un excursus storico che va dalla termodinamica alla meccanica quantistica, in cui la probabilità è irriducibile. Di fronte a tale probabilità irriducibile l’argomentazione dell’Autrice dissolve il timore che «se una conoscenza è probabilistica, essa è necessariamente una conoscenza imperfetta, almeno in quanto conoscenza scientifica». Perciò, attraverso un excursus rigorosamente articolato, il ragionamento conduce alla conclusione secondo cui «un concetto di nomicità più debole o più elastico è sufficiente, come condizione di possibilità dell’oggetto di una teoria scientifica e della scienza stessa: è una nomicità in cui la probabilità ha un ruolo di primo piano». Alla luce di tale considerazione, si può vedere che «è ormai difficile trovare una concezione della scienza per la quale il determinismo sia necessario». Content: Prefazione . – Nota introduttiva – Parte I. Sulla storia della probabilità. – Premesse. – 1. La duplice natura della probabilità e le tesi di Hacking – 2. La nascita della probabilità. 2.1. Dall’antichità al 1654. 2.2. Dal 1654 agli inizi del Settecento. 2.2.1. La corrispondenza Pascal-Fermat e la scuola di Port Royal – 2.2.2. Huygens – 2.2.3. La nascita della statistica – 2.2.4. Leibniz – 3. I probabilisti classici nell’epoca del determinismo – 3.1. Probabilità, determinismo, razionalità – 3.2. Gli sviluppi del calcolo – 3.2.1. Il teorema di Bernoulli – 3.2.2. Il teorema di Bayes – 3.3. Probabilità, induzione, causalità – 3.4. Probabilità e statistica, politica e società – 4. La nomicità statistica e l’emergere dell’indeterminismo: l’Ottocento. 4.1. Laplace e la transizione. 4.1.1. Il problema della causalità. 4.1.2. Il problema dell’equiprobabilità. 4.2. Statistica e nuova nomicità. 4.3. Un nuovo spazio per l’indeterminismo. 4.4. Un indeterminista dell’Ottocento: il caso – 5. Le interpretazioni della probabilità. 5.1. Il superamento della teoria classica della probabilità. 5.2. L’interpretazione logicista della probabilità. 5.3. L’interpretazione soggettiva della probabilità. 5.4. L’interpretazione frequentista della probabilità. 5.5. L’interpretazione propensionista della probabilità. Parte II . Probabilità e fisica. – 6. Meccanica classica e determinismo. 6.1. La meccanica newtoniana e il suo affermarsi come rappresentazione dell’universo fisico. 6.2. La probabilità fra epistemologia e ontologia. Problemi di misura e caos deterministico. – 7. Dalla termodinamica alla meccanica statistica: aleatorietà del singolo, regolarità dell’insieme. 7. 1. Sviluppo e principi della termodinamica. 7.1.1. Il primo principio della termodinamica. 7.1.2. Il secondo principio della termodinamica. 7.2. Dalla teoria cinetica alla meccanica statistica. 7.2.1. I contributi di Maxwell e Boltzmann. 7.2.2. Probabilità e approccio d’insieme. – 8. La meccanica quantistica e la probabilità irriducibile. 8.1. La nascita della fisica quantistica. 8.1.1. L’origine dei quanti. 8.1.2. L’anomalia fondamentale: il dualismo onda-particella. 8.1.3. L’’istituzionalizzazione’ dell’anomalia e le formulazioni della meccanica quantistica. 8.2. Le anomalie della meccanica quantistica. 8.2.1. L’anomalia fondamentale e le sue implicazioni. 8.2.2. Seconda anomalia: il principio di indeterminazione. 8.2.3. Terza anomalia: gli stati di sovrapposizione. 8.2.4. Quarta anomalia: l’effetto ‘decisivo’ della misura. 8.3. Le interpretazioni della meccanica quantistica. 8.3.1. I Neorealisti e la Scuola di Copenaghen. 8.3.2. Il dialogo fra Bohr e Einstein. Gli aggiornamenti della teoria. Conclusioni, Bibliografia. M. F.
Cet ouvrage rassemble une série d’études d’Yvette Conry (1930-1992) – historienne et philosophe des sciences élève de Georges Canguilhem – sur les positions matérialistes, du XVIe au XIXe siècles, dans les sciences de la matière et du vivant, et sur les contextes idéologiques dans lesquelles elles sont historiquement enracinées. Il comporte : 1° une étude qui analyse l’évolution des grandes conceptions philosophiques de la matière (alchimique, mécaniste, chimique) entre le XVIe et le XVIIIe siècles ; 2° une étude sur la conception de la matière et l’atomisme de Giordano Bruno ; 3° une étude sur le statut de la matière dans la physique et la métaphysique cartésiennes ; 4° une étude sur le matérialisme de Hobbes ; 5° une étude sur les théories newtonienne, gassendiste et malebranchiste de la matière ; 6° une étude sur le matérialisme de La Mettrie ; 7° une étude sur le matérialisme allemand au XIXe siècle (Ludwig Büchner, la tradition de la thermodynamique et l’émergence du concept d’énergie) ; 8° une étude sur le renouveau du problème des rapports entre le corps et l’esprit à la lumière de la neuropathologie au XIXe siècle ; et enfin 9° une étude sur la philosophie de la nature et le matérialisme de Diderot. – Table des matières, pp. 279-280.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Sylvain Auroux : Philosophie : 1 vol. : École Normale Supérieure de Lyon : 2010 : 338 p.]. – Cet ouvrage soutient la thèse selon laquelle les probabilités, lorsqu’elles sont appliquées à un domaine de réalité, modifient son cadre ontologique. Après avoir présenté les éléments axiomatiques de la théorie des probabilités de Kolmogorov (chapitre 1), l’auteur examine les possibilités philosophiques ouvertes par une telle axiomatisation (chapitre 2). Dès lors, il interroge le sens ontologique des probabilités (de quoi parlent-elles ?) à partir du projet husserlien d’ontologie formelle phénoménologique (chapitre 3) pour en déterminer la teneur dans une partie de la science physique : la thermodynamique. Cette détermination s’opère en deux temps : d’une part à travers l’étude du concept d’entropie à l’échelle macroscopique (chapitre 4) ; d’autre part à travers l’étude de ce même concept à l’échelle microscopique (chapitre 5). – Conclusion, pp. 287-309 ; Appendice A : «Quelques réflexions sur le théorème de représentation de Stone», pp. 311-337 ; Appendice B : « L’intérêt phénoménologique de la théorie de la mesure », pp. 339-373 ; Bibliographie, pp. 375-382 ; Table des matières, pp. 383-385.
F. F.
Il volume costituisce un poderoso lavoro di ricostruzione dedicato al fisico teorico, storico e filosofo della scienza Pierre-Maurice-Marie Duhem (1861-1916) che è impegnato nel campo della Fisica chimica e della Termodinamica. Il volume è un’attenta e documentata disamina storico-critica di un vasto orizzonte di pensiero che abbraccia, in una inscindibile unità, gli aspetti propriamente scientifici e quelli storico-epistemologici dell’opera monumentale di Duhem. Un’ampia parte del volume è dedicata al contesto scientifico in cui si inserisce la riflessione di Duhem. In essa rientrano raffronti importanti: con Ernst Mach, con il convenzionalismo radicale, con il neotomismo, con Heinrich Hertz. Scienza, analisi logica della scienza ed evoluzione storica di questa nel volume di Maiocchi sono presentate nelle loro interrelazioni. Alla luce di questo intreccio è dato comprendere, nell’opera di Duhem, la complessità di categorie epistemologiche fondamentali. La nozione di oggettività, lo strumentalismo e il realismo, la storicità della scienza e la nozione di progresso, il continuismo teorico, il rapporto tra scienza e religione sono oggetto, in questo volume, di un’esplorazione ampia, critica e minuziosamente documentata. Tale esplorazione permette di sciogliere i dilemmi interpretativi ai quali è esposta la lettura dell’opera di Duhem, in particolare quelli inerenti al rapporto strumentalismo-realismo. Nell’ampia conclusione è affermato che l’incomunicabilità tra l’atomismo e l’energetica di Duhem non impedisce di riconoscere che la seconda “ha prodotto grandi risultati”, dal momento che “nel campo della termodinamica, dell’elasticità, della meccanica chimica le equazioni di Duhem costituiscono capitoli fondamentali”. L’Autore in essa inoltre si sofferma sulla metodologia ipotetico-deduttiva indicata da Duhem e la fisica quantistica. Un apparato bibliografico molto vasto e accurato correda infine questo volume. Presentazione di Gianni Micheli, Giulio Giorello, Mario Dal Pra, Giovanni Orlandi. -Introduzione. – I. Meccanicismo e metodo scientifico dopo Newton. – II. Le origini del convenzionalismo duhemiano. – III. L’epistemologia di Duhem. - IV. La storia della scienza. – V. Duhem nella cultura del suo tempo: alcuni raffronti. – Conclusione: Duhem dopo Duhem. Riferimenti bibliografici. M. F.
Le problème général de l’articulation des causes
matérielles et finales dans la biologie d’Aristote est ici abordé au prisme de
l’équilibre thermique des organismes : la génération, la permanence ou au
contraire la corruption d’une substance dépend en effet des propriétés
thermiques de la matière dont elle est composée. En s’appuyant notamment sur le
livre IV des Météorologiques et sur la
description qui y est donnée des phénomènes de coction (pepsis)
ou d’incoction (apepsia), Popa souligne le rôle
fondamental que joue la chaleur interne en régulant l’équilibre thermique des
corps naturels (à la fois en interne, mais aussi relativement au milieu
environnant) et en assurant une juste proportion d’humide et de sec. Le
processus de densification des corps qui résulte de la coction permet
finalement de confirmer le rôle d’unification des substances joué par la
chaleur interne, tant au niveau matériel que formel.
L. M.