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      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Monographie

    Du soleil à l'homme. L’organisation énergétique des structures vivantes

    Henri LABORIT
    Éditeur : Masson - 1963


    Article

    Systèmes dynamiques non linéaires et concept d’émergence

    Camille RIPOLL

    Sous la direction de Lucien SÈVE, Janine GUESPIN-MICHEL
    Dans Émergence, complexité et dialectique : sur les systèmes dynamiques non linéaires - 2005


    Article

    Plan d’organisation et population dans les sociétés d’insectes

    Jean-Louis DENEUBOURG, Jesus MILLOR, Guy THERAULAZ, Claire DETRAIN

    Sous la direction de Ilya PRIGOGINE, Jacques REVEL
    Dans L’Homme devant l’incertain - 2001


    Article

    Apprentissage organisationnel et cohérence : l’importance économique de la notion de réseau

    Patrick COHENDET

    Sous la direction de Bénédicte REYNAUD
    Dans Les Limites de la rationalité - 1997


    Monographie

    Expliquer la vie : De l'âme à la molécule

    André PICHOT
    Éditeur : Éditions Quae - 2011


    Monographie

    Autonomie et connaissance

    Francisco J. VARELA
    Éditeur : Seuil - 1989


    Monographie

    Matières et matérialismes : Études d’histoire et de philosophie des sciences

    Yvette CONRY
    Éditeur : L’Harmattan - 2013


    Collectif

    Intelligence de la complexité : Épistémologie et pragmatique

    Sous la direction de Jean-Louis LE MOIGNE, Edgar MORIN
    Éditeur : Hermann - 2013


    Article

    Centrale nucléaire : notre nouvelle "tour de Babel" ?

    Julie JEBEILE

    Sous la direction de Stéphanie RUPHY, Alexandre GUAY
    Dans Science, philosophie, société - 2017


    MONOGRAPHIE

    Du soleil à l'homme. L’organisation énergétique des structures vivantes

    • Année : 1963
    • Éditeur : Masson
    • Pages : 160
    • Collection : Évolution des sciences
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 28-09-2015

    Résumé :

    Français

    L’objet de cet ouvrage est de montrer comment, avec les faits actuellement acquis par la science et les grandes lois qui en décrivent les relations, il paraît possible de fournir un aspect dynamique du Phénomène Vie, à condition de ne pas s’enfermer dans une spécialisation aveuglante. Toute vie sur terre résulte de l’état d’excitation provoqué par les photons solaires rencontrant certaines molécules terrestres. L’auteur envisage donc comment les premières molécules vivantes ont pu apparaître, comment elles ont conduit à l’assimilation chlorophylienne, comment celle-ci a commandé l’apparition des processus oxydatifs et l’évolution des formes animales, des êtres unicellulaires jusqu’à l’homme. L’accent est mis sur le déterminisme autorégulé qui, à partir des composés phosphorés riches en énergie et des phospho-pyridines nucléotides, a gouverné, par sa «dialectique», l’apparition successive des différents degrés d’organisation de la matière vivante et le transfert de l’énergie solaire à travers elle. Un chapitre est consacré à la signification des processus physio-pathologiques individuels dans le contexte évolutif et l’environnement. L’auteur montre par quel mécanisme, aussi bien en physiologie qu’en physiopathologie, c’est l’énergie solaire liée à la molécule d’hydrogène qui fournit l’énergie nécessaire au maintien des structures moléculaires complexes ainsi qu’à celui des structures rencontrées aux paliers d’organisation suivants. Il propose ensuite une interprétation biologique de la prise de conscience humaine, qui le conduit à la recherche d’un code biologique du comportement individuel et de celui des groupes humains. Il tente alors, sur ces bases, une description biologique du mécanisme de la création artistique et de la découverte scientifique. Postulant qu’il est possible d’appliquer les grands schémas d’organisation complexifiante abordés jusque là, au degré d’organisation suivant, il tente de poser les bases d’une sociologie biologique. Dans le dernier chapitre, Henri Laborit fournit une des clés de son édifice, en indiquant comment les mathématiques modernes et en particulier la théorie des ensembles l’ont aidé à une telle construction. La distinction nécessaire entre le Réel et le Connu, la notion d’«intersectat» qu’il propose et définit, lui paraissent être le phénomène se trouvant à la base de la structuration des molécules vivantes, comme de celles des organisations plus complexes. Ceci l’amène à introduire la notion d’espace-temps en biologie et, à sa lumière, à envisager la signification et le mécanisme du vieillissement et de la mort. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    Systèmes dynamiques non linéaires et concept d’émergence

    • Pages : 213 à 227
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    1. Un concept conteste; 2. Des choses et des processus; 3. Qualités singulières des systèmes; 4. Bifurcation, auto-organisation et émergence; 5. L’aléatoire, les rétroactions et l’historicité; 6. Hiérarchie ou interdépendance des niveaux d’organisation; 7. Une dialectique foisonnante.

     

    ARTICLE

    Plan d’organisation et population dans les sociétés d’insectes

    • Pages : 141 à 155
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

     

    ARTICLE

    Apprentissage organisationnel et cohérence : l’importance économique de la notion de réseau

    • Pages : 73 à 98
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Cette contribution s’efforce de caractériser les phénomènes propres à l’utilisation du concept de réseau, en situant leurs conditions précises d’émergence. Ensemble de relations entre des entités, le réseau a une puissance opératoire, en ce qu’il permet de rendre compte de phénomènes collectifs : diffusion par percolation dans le collectif (le seuil de percolation est celui à partir duquel «un élément quelconque du système peut être atteint par n’importe quel autre élément»); lock in dû aux externalités de réseau; valeur du ticket d’entrée dans le réseau; apprentissage de la firme.

     

    MONOGRAPHIE

    Expliquer la vie

    De l'âme à la molécule

    • Pages : 1213
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Versailles
    •  
    • ISBN : 978-2-7592-1662-8
    •  
    • Date de création : 30-11-2011
    • Dernière mise à jour : 08-05-2021

    Résumé :

    Français

    Suite à l’Histoire de la notion de vie, qui avait pour objectif de présenter les grandes théories qui ont traversé l’histoire de la biologie, l’ouvrage suivant se donne pour objet l’évolution de leurs principes explicatifs, c’est-à-dire la dynamique qui permet de les relier les unes aux autres. Quelle est la nature des lois qui régissent les êtres vivants ? Quelles relations entretiennent-elles avec les lois de la physique ? L’ouvrage est articulé en quatre parties thématiques structurées par quatre grands problèmes interdépendants dont l’auteur montre qu’ils coexistent ensemble d’une façon plus ou moins prégnante tout au long de l’histoire de la biologie : 1° celui de la spécificité des lois biologiques ; 2° celui des principes d’organisation de l’être vivant ; 3° celui de leur temporalité ; enfin 4° le problème de l’unité élémentaire à partir de laquelle se construit l’explication biologique. Dans un premier temps, l’auteur s’attache à décrire la construction progressive des principes explicatifs de la science en général, d’Aristote à Descartes: il expose donc la préhistoire de la biologie en tant que telle, c’est-à-dire l’évolution de la théorie du vivant d’une pseudo biologie d’inspiration animiste à une protobiologie dont les principes d’explication sont ceux de la physique naissante, mécanique galiléo-cartésienne puis physique newtonienne (Chap.1 : « Animisme et mécanisme »). L’émergence de la chimie au XVIIIe siècle infléchit dès lors la réflexion en direction du problème de l’organisation interne des êtres vivants : l’être vivant est-il une machine mécanique ou une machine chimique ? (Chap. 2 : « Mécanisme et chimie ») Il faut attendre le XIXe siècle, c’est-à-dire la pensée d’une évolution des espèces et l’idée d’hérédité, pour que le phénomène du temps soit pris en considération dans l’étude des êtres vivants (Chap. 3 : « Forme et temps »). Dès lors le lent développement de la théorie cellulaire - depuis ses premiers balbutiements dans la Micrographia de Hooke jusqu’aux critiques de Haeckel et la découverte des molécules - va progressivement déplacer l’application des principes d’explication d’une échelle macroscopique à une échelle microscopique, et transformer la chimie biologique en biologie moléculaire (Chap. 4 : « Cellules et molécules »). – Notes ; Bibliographie, pp. 1147-1208 ; Sommaire, pp. 1209-1213.

    F. F.

     

    MONOGRAPHIE

    Autonomie et connaissance

    • Année : 1989
    • Éditeur : Seuil
    • Pages : 254
    • Collection : La Couleur des idées
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Traduction de l'américain
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-02-010030-4
    •  
    • Date de création : 14-01-2012
    • Dernière mise à jour : 22-04-2015

    Résumé :

    Français

    Quels sont les mécanismes du vivant, aux niveaux de la cellule, de l'organisme, des écosystèmes ? En quoi le paradigme de l'autonomie renouvelle-t-il notre façon de concevoir les activités cognitives des êtres vivants ? L'Auteur prend acte du fait que l'autopoièse, modèle d'analyse des systèmes vivants qu'il a mis au point avec son collègue Humberto Maturana, entre en conflit avec le modèle standard. L'ouvrage identifie deux points de vue duaux, nommés respectivement l'autonomie et la commande, et qui sont rattachés à des traditions représentées respectivement par Norbert Wiener et par John von Neumann. Le modèle de la commande est, selon Varela, un point de vue extérieur sur des systèmes traités comme des boîtes noires, et interagissant avec leur milieu ambiant sur le modèle d'entrées-sorties. L'autonomie, quant à elle, ne présuppose pas un point de vue global unique, non plus qu'une définition pré-établie. Le système établit et maintient par lui-même les moyens de sa propre définition. Il interagit avec le milieu ambiant en subissant des perturbations qui le forcent à évoluer. Varela montre qu'à l'intérieur des systèmes vivants (de la cellule à l'individu), on peut identifier des sous-systèmes complexes auxquels le modèle s'applique tout aussi bien. L'analyse est illustrée par deux exemples : le système nerveux et le système immunitaire. – Annexe : Comportement propre : autoréférence et coopérativité; Bibliographie; Index.

     

    MONOGRAPHIE

    Matières et matérialismes

    Études d’histoire et de philosophie des sciences

    • Pages : 280
    • Collection : Commentaires philosophiques
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-2-336-30231-7
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 09-09-2013
    • Dernière mise à jour : 01-06-2021

    Résumé :

    Français

    Cet ouvrage rassemble une série d’études d’Yvette Conry (1930-1992) – historienne et philosophe des sciences élève de Georges Canguilhem – sur les positions matérialistes, du XVIe au XIXe siècles, dans les sciences de la matière et du vivant, et sur les contextes idéologiques dans lesquelles elles sont historiquement enracinées. Il comporte : 1° une étude qui analyse l’évolution des grandes conceptions philosophiques de la matière (alchimique, mécaniste, chimique) entre le XVIe et le XVIIIe siècles ; 2° une étude sur la conception de la matière et l’atomisme de Giordano Bruno ; 3° une étude sur le statut de la matière dans la physique et la métaphysique cartésiennes ; 4° une étude sur le matérialisme de Hobbes ; 5° une étude sur les théories newtonienne, gassendiste et malebranchiste de la matière ; 6° une étude sur le matérialisme de La Mettrie ; 7° une étude sur le matérialisme allemand au XIXe siècle (Ludwig Büchner, la tradition de la thermodynamique et l’émergence du concept d’énergie) ; 8° une étude sur le renouveau du problème des rapports entre le corps et l’esprit à la lumière de la neuropathologie au XIXe siècle ; et enfin 9° une étude sur la philosophie de la nature et le matérialisme de Diderot. – Table des matières, pp. 279-280.

    F. F.

     

    COLLECTIF

    Intelligence de la complexité

    Épistémologie et pragmatique

    • Pages : 458
    • Collection : Cerisy Archives
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : 2e édition
    • Ville : Paris
    •  
    • Institution : Centre Culturel International de Cerisy
    • ISBN : 978-2-7056-8713-7
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 06-11-2013
    • Dernière mise à jour : 01-06-2021

    Résumé :

    Français

    Comment relier la connaissance et l’action dans un monde complexe ? Telle est la question au centre de ces Actes du colloque de Cerisy sur l’intelligence de la complexité, qui s’est tenu du 23 au 30 juin 2005. Cet ouvrage regroupe l’intégralité des exposés, tables rondes, ateliers, échanges et discussions (résumés ou parfois intégralement transcrits) qui y ont eu lieu. Il est divisé en quatre grandes parties. La première, introduite par Jean-Louis Lemoigne, porte sur l’intelligence de la complexité en tant que telle : 1° la distinction entre complexité restreinte et complexité générale (Edgar Morin) ; 2° la modélisation de la complexité (Boris Saulnier et Giuseppe Longo) ; 3° la mesure de la complexité (Mioara Mugur-Schächter) ; 3° les cindyniques ou sciences des dangers (Georges-Yves Kervern) ; 4° l’approche énactive de la modélisation des systèmes complexes (Jacques Tisseau et Marc Parenthoën) ; 5° la dialectique des rapports complexes entre représentation et réalité (Évelyne Andreewsky). La seconde regroupe des interventions sur la complexité en cosmologie (Hervé Barreau), la complexité des rapports du vivant au social (Emmanuel A. Nunez), le féminisme complexe (Ana Sánchez), les systèmes familiaux (Jacques Miermont). Une troisième partie rassemble des interventions sur les rapports entre complexité et gouvernance : 1° la transcription des interventions et des échanges d’une table ronde sur le peuplement des espaces ruraux (animée par Edith Heurgon et Alfred Pétron) ; 2° une synthèse sur la complexité des rapports de l’homme à son territoire (Pascal Roggero) ; 3° une analyse des figures du décideur, du politique et du juge (Michel Rouger); 4° la synthèse d’un atelier sur la médiation sociale (Bruno Tardieu) ; 5° l’analyse d’expériences relatives à l’organisation apprenante (Marie-José Avenier) ; 6° une présentation du projet «anthropolitique» d’Edgar Morin (Pierre F. Gonod) ; 7° l’analyse de la notion de dispositif collectif (Jacques Brossier et Marc Benoit) ; 8° une étude de cas d’actions en situations complexes (Michel Adam). Une quatrième partie envisage les enjeux épistémologiques (Jean-Louis Le Moigne et Philippe Boudon) et pédagogiques (Claude Cremet et Françoise Odin) des sciences de la conception. Enfin une cinquième et dernière partie traite du problème de la complexité à l’ère de la mondialisation (Guilherme d’Oliveira Martins, Hervé Barreau, Georges-Yves Kervern, Jean-Louis Le Moigne, Edgar Morin). – Avertissement, pp. 1-20 ; Ouverture, pp. 5-9 ; Notes et bibliographies en fin de communications ; Les auteurs, pp. 451-454 ; Les participants, pp. 455 ; Table des matières, pp. 457-458.

    F. F.

     

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    ARTICLE

    Centrale nucléaire : notre nouvelle "tour de Babel" ?

    • Pages : 143 à 157
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    •  
    •  
    • Date de création : 21-12-2017
    • Dernière mise à jour : 21-12-2017

    Résumé :

    Français

    Partant du rapport sur l’accident de la centrale de Fukushima (qui met en évidence le contrôle épistémique imparfait sur la centrale du groupe d’employés de l’opérateur et de l’organisme de contrôle, ainsi que son inertie dans la prise de décision et l’action), cet article soutient que de tels manquements sont inévitables dans un système aussi complexe qu’une centrale nucléaire. Il étudie en particulier le groupe des ingénieurs chargés de la conception d’une centrale. À la suite de la « théorie des accidents normaux », et contre la « théorie des organisations à haute fiabilité », l’article soutient que les erreurs individuelles inévitables, le cloisonnement scientifique des individus et la non-conservation du savoir-faire accumulé dans le temps empêchent un collectif d’atteindre un contrôle épistémique optimal sur une machine nucléaire. Il attribue l’origine de ces problèmes à l’organisation des ressources humaines, basée sur une division du travail et une répartition du savoir. Ph. S.