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Y a-t-il de la non-linéarité en sémantique ?
François GAUDINSous la direction de Lucien SÈVE, Janine GUESPIN-MICHELDans Émergence, complexité et dialectique : sur les systèmes dynamiques non linéaires - 2005
Le réalisme scientifique et la métaphysique des sciences
Michael ESFELDSous la direction de Anouk BARBEROUSSE, Denis BONNAY, Mikaël COZICDans Précis de philosophie des sciences - 2011
Une relativité bien particulière : précédée de "Les équations fondamentales de la physique"
Sander BAISÉditeur : Gallimard - 2012
Les réalismes épistémologiques de Gaston Bachelard : Thèse de doctorat : Philosophie : Université de Nantes : 2010, sous la direction d'André Stanguennec
Michel-Élie MARTIN
Notice: Undefined offset: 0 in /var/www/SipsDeploye/SIPS/abecedaire/fonctions.php on line 407
Notice: Trying to access array offset on value of type null in /var/www/SipsDeploye/SIPS/abecedaire/fonctions.php on line 407
Éditeur : - 2010
Les chimistes et l'hétérogène
Jean-Pierre LLOREDSous la direction de François PÉPINDans Les matérialismes et la chimie - 2012
De l'utilité des objets dans la philosophie de la nature
Guillaume DURANDSous la direction de Michel WEBER, Guillaume DURANDDans Les principes de la connaissance naturelle d’Alfred North Whitehead - 2007
La bifurcation du sujet dans le paradigme scientifique whiteheadien
Luca GAETASous la direction de Michel WEBER, Guillaume DURANDDans Les principes de la connaissance naturelle d’Alfred North Whitehead - 2007
Le Principe de relativité et ses applications en physique
Alfred North WHITEHEADÉditeur : Chromatika - 2012
Leçons sur la première philosophie de Russell
Jules VUILLEMINÉditeur : Armand Colin - 1968
Les sciences du langage et de la communication
Daniel BOUGNOUXSous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
L'Empreinte du monde : Essai sur les formes logiques et métaphysiques
Jean-Marie CHEVALIERÉditeur : Éditions d’Ithaque - 2013
La nature modale des structures physiques selon le réalisme structural ontologique
Michael ESFELDSous la direction de Soazig LE BIHANDans Précis de philosophie de la physique - 2013
1. Les unités; 2. Les relations; 3. Seuils et sauts; 4. De la dialectique.
L'objet de ce chapitre est d'expliciter les conditions épistémologiques à partir desquelles il est possible de construire une métaphysique des sciences, c'est-à-dire une conception cohérente et complète de la nature qui ne soit pas une théorie spéculative, mais une théorie englobante fondée sur les connaissances que nous apportent les théories scientifiques actuelles : une métaphysique fondée sur un réalisme scientifique. C'est pourquoi l'auteur commence par analyser les deux objections principales auxquelles est confronté un tel projet : 1° celle de la sous-détermination de la théorie par l'expérience ; 2° celle de l'incommensurabilité des concepts entre théories non unifiées. Si les théories physiques fondamentales fournissent la base d'un tel projet, c'est dans la mesure où elles sont universelles, à la différence des théories propres aux sciences spéciales, qui ne s'appliquent qu'à des catégories particulières d'êtres ou à des domaines restreints de la réalité. Dès lors, le chapitre se focalise sur une double distinction : 1° la distinction entre propriétés intrinsèques et relations ; 2° celle entre propriétés catégoriques et propriétés causales, afin de montrer que les théories physiques fondamentales contemporaines (comme la mécanique quantique par exemple) fondent la métaphysique des sciences sur un réalisme structural, c'est-à-dire sur une position qui fixe la limite de la connaissance scientifique au niveau des relations entre les objets sans statuer sur l'existence de propriétés intrinsèques.
F. F.
Comment peut-on décrire une croissance exponentielle, le mouvement d'un corps soumis à une force, la cohésion de la matière, un phénomène électromagnétique ou encore l'évolution d'un système thermodynamique ou hydrodynamique ? Quels sont les outils mathématiques nous permettant de comprendre les propriétés fondamentales des particules élémentaires, leurs interactions, ou le passage de la physique microscopique à la physique macroscopique, la relativité de l'espace et du temps ? En présentant dans un premier temps de façon aussi complète que possible les équations fondamentales de la physique (équations dynamiques de Newton, loi de force de Lorentz, équations de Maxwell, lois de la thermodynamique, équation de Boltzmann, de Schrödinger, de Dirac, etc.), dans un deuxième temps le fonctionnement des théories de la relativité restreinte et générale d'Einstein, l'auteur nous enseigne les théories scientifiques qui ont transformé notre compréhension de la nature. Ce livre, originellement publié en deux ouvrages aux Éditions DésIris, regroupe la traduction de deux textes du physicien théoricien néerlandais Sander Bais : The Equations. Icons of Knowledge (Amsterdam University Press, 2005 ; Éditions DésIris, 2007, pour l'édition française) et Very Special Relativity. An Illustrated Guide (Amsterdam University Press, 2007 ; Éditions DésIris, 2010, pour l'édition française). Il contient : Les équations fondamentales de la physique, pp. 11-142 ; I. La boîte à outils tautologique ; II. Monter et descendre ; III. Mécanique et gravitation ; IV. La force électromagnétique ; V. Une loi de conservation locale ; VI. L'électrodynamique ; VII. Ondes électromagnétiques ; VIII. Les solitons ; IX. La thermodynamique ; X. La théorie cinétique ; XI. L'hydrodynamique ; XII. La relativité restreinte ; XIII. Relativité générale ; XIV. Mécanique quantique ; XV. L'électron relativiste ; XVI. L'interaction forte ; XVII. L'interaction électro-faible ; XVIII. Théorie des cordes ; Épilogue : Retour vers le futur. Une perspective finale. – Une relativité bien particulière, pp. 143-258 ; Préface de Gerard't Hooft, pp. 147-148 ; Introduction, pp. 151-153 ; I. Principes de base ; II. La relativité de la simultanéité ; III. La causalité ; IV. Dilatation et contractions ; V. Un interlude géométrique ; VI. Énergie et quantité de mouvement ; VII. Les lois de conservation ; VIII. Au-delà de la relativité restreinte ; Épilogue, pp. 255-258. – Remerciements, pp. 261-262 ; Bibliographie, pp. 263-264 ; Index, pp. 265-268 ; Table des matières, pp. 269-272.
F. F.
Par la diversité des réalismes qu'elle distingue et hiérarchise, l'épistémologie de Gaston Bachelard peut être caractérisée comme un réalisme de la technique scientifique, car elle montre que le réel scientifique est atteint au terme d'une double procédure de construction rationnelle et de production technique. La puissance ontogénique de ce réalisme en fait un réalisme des relations, puisqu'elle montre que le réel scientifique est ce qui instancie une rationalité mathématique, dont la structure est fondamentalement relationnelle. À cette ontogénie de l'objet correspond une ontogénie du sujet rationaliste de la science, dont l'auteur étudie les rapports dialectiques, tant à l'échelle individuelle (réalisme du rythme) qu'à l'échelle collective (réalisme psychosocial). En exhibant les articulations qui les relient, cette thèse montre que les réalismes épistémologiques de Bachelard confèrent une portée ontologique aux sciences physiques et chimiques contemporaines. – Bibliographie, pp. 211-219.
Ce texte explore la façon dont les chimistes contemporains mettent en oeuvre l’hétérogénéité des corps chimiques en vue de produire sélectivement de nouveaux composés ayant des caractérisations inédites. La première partie insiste sur la démarche d’individuation d’un corps chimique et sa définition en termes d’opérations, c’est-à-dire d’actes chimiques. La deuxième partie s’intéresse plus particulièrement à l’émergence de caractérisations inédites selon les circonstances. Ce faisant, l’émergence en chimie est caractérisée comme un problème d’articulation entre ce que nous connaissons d’un corps chimique (molécule ou matériau) en tant qu’entité, ce qu’il contient et le milieu dans lequel il se situe et se répand, et sur lequel il agit. La troisième partie évoque cette dépendance de la caractérisation des corps à des interactions. Tout en se référant aux travaux de Diderot, du second Wittgenstein ou de Dagognet, l'auteur souligne le rôle des interfaces en lien avec l’étude des caractérisations émergentes. Il prolonge cette réflexion en explorant, dans une quatrième partie, comment les chimistes contemporains démultiplient l’hétérogénéité de la matière en utilisant de nouveaux instruments et procédés à une échelle d’action toujours plus réduite, avant de terminer sur la façon dont les modèles quantiques sont utilisés par les chimistes pour expliquer et prévoir la réactivité chimique. J.-P. L.
This text explores how current chemists selectively implement the heterogeneity of the chemical bodies in order to produce new bodies displaying novel characterizations. The first part insists on the step of individuation of a chemical body and on its definition in terms of operations and chemical acts. The second part of the chapter mainly focused on the emergence of new characterizations depending on the circumstances involved. In so doing, emergence is immediately characterized in chemistry as a problem of articulation between what we know of a chemical body (molecule or material) as an entity, its ingredients or parts, and the medium in which the entity is located and upon which it acts. The third part stresses the dependence of the characterization of the bodies on interactions. While referring to Diderot, the later Wittgenstein or Dagognet, the author underlines the role of the interfaces as regards the study of the emergent characterizations. In a fourth part, he shows how contemporary chemists increase the heterogeneity of matter by using new instruments and processes at an increasingly finer-grained scale of intervention, before concluding by studying how the quantum models are used by chemists in order to explain and envisage chemical reactivity. J.-P. L.
Une philosophie de la nature peut-elle se passer d'une pensée des objets ? Cet article montre qu'une philosophie événementielle comme celle de Whitehead est suffisante pour rendre intelligible le passage de la nature. – Notes, pp. 76-78. F. F.
Cet article discute la notion de sujet de la connaissance dans les premiers ouvrages épistémologiques de Whitehead : à savoir les Principles of Natural Knowledge (1919) et The Concept of Nature (1920). – Notes, p. 136. F. F.
Cet ouvrage présente la première traduction française de The Principle of Relativity, with applications to Physical Science d'Alfred North Whitehead, publié pour la première fois à Londres et New York en 1922. La présente traduction est basée sur la seconde édition de l'ouvrage, de 1925. Seule la première partie a été traduite, car c'est en elle que l'on trouve toute la réflexion philosophique de Whitehead et l'épistémologie sous-jacente à sa conception de la théorie de la relativité. Contrairement à Einstein, Whitehead conçoit l'espace-temps comme un ensemble de systèmes temporels stratifiés desquels dérivent le mouvement et le repos, où les événements sont premiers par rapport à la matière, les structures géométriques premières par rapport aux objets physiques, le parallélisme temporel étant condition de possibilité de la congruence spatiale. Whitehead expose ainsi l'épistémologie ''continuiste'' en arrière-plan de sa théorie de la relativité où « l'espace-temps de notre perception est conçu comme continûment uniforme avec l'espace-temps plus précis des objets scientifiques ». On y trouve aussi un exposé des principes généraux de ses philosophies de la nature et de la connaissance au fondement de sa conception alternative de la théorie de la relativité. La présente édition comporte une traduction de la totalité de la table analytique des matières de l'ouvrage établie par Whitehead dans l'édition originale. – Sommaire, p. v ; Présentation du traducteur, p. vii-xxii ; Table analytique complète des matières, pp. 101-106 ; Oeuvres de Whitehead et références bibliographiques, pp. 107-111 ; Table générale des matières, pp. 113-114.
F. F.
Ce livre, publié en 1968, introduit à une philosophie qui était alors presque entièrement ignorée en France : celle du mathématicien, logicien et philosophe Bertrand Russell. Il a été rédigé par son auteur sur la base de leçons données au Collège de France au sein de sa Chaire de Philosophie de la connaissance (qu'il occupa de 1962 à 1990), et porte sur la première philosophie de Russell, c'est-à-dire essentiellement sur les Principles of Mathematics (1903). Les Principles résultent d'un double effort : exprimer techniquement l'idée de mathématique universelle dans un symbolisme approprié et en tirer toutes les conséquences philosophiques. Les leçons de Jules Vuillemin, qui expliquent la teneur et la nouveauté des Principles, sont divisées en deux sections : la première porte sur la logique symbolique développée par Russell (calcul propositionnel, calcul des classes, calcul des relations) ; la seconde sur les principes qui organisent sa métaphysique de la connaissance (relations externes, réalisme, logicisme, parallélisme logico-grammatical). – Bibliographie, pp. 339-344 ; Index des auteurs, pp. 345-347 ; Index des matières, pp. 349-354 ; Table des matières, pp. 355-359.
F. F.
Cet article retrace l'histoire moderne des approches du langage, de la coupure saussurrienne à la théorie communicationnelle. Dans une première parie, l'auteur étudie les implications de la coupure saussurienne, celle-ci ayant rendu possible la naissance d'une nouvelle science : la linguistique. Dans une seconde partie, il analyse le devenir structural de cette science, dont la conséquence ultime a été la formation d'un modèle unifiant des sciences humaines : la sémiologie. Enfin, une troisième et une quatrième parties se focalisent sur une tradition parallèle à la tradition saussurienne de l'approche du langage, d'inspiration essentiellement anglo-saxonne : la sémio-pragmatique, ayant pris naissance dans l'oeuvre de C. S. Peirce, où la sémiose constitue le maillon d'une chaîne actionnelle. L'article se termine ainsi sur le tournant linguistique des années 1960, la pragmatique et l'émergence des sciences de la communication. Bibliographie, pp. 200-201.
F. F.
La logique est-elle une voie d'accès à la nature des choses ? Pour l'auteur, la réponse à cette question est positive. Cependant, elle exige un détour par la sémiotique de Peirce, dont les objets permettent de faire le lien entre les formes logiques et les formes métaphysiques. La forme, objet de la logique, fournit selon l'auteur le concept pont permettant de penser le lien entre les modalités de représentation de l'être (catégories sémiotiques) et les formes de sa présentation (catégories ontologiques). La thèse défendue dans cet ouvrage étant que les formes logiques représentent une voie d'accès aux formes métaphysiques, c'est-à-dire aux structures fondamentales de l'être. Par conséquent, les modes d'être se présentant dans leur forme logique peuvent être identifiés aux catégories du réel. Les formes logiques (formes propositionnelles et formes d'inférences) sont donc des faits logiques. Les faits logiques, en tant que relations, peuvent alors être représentés par des diagrammes : le diagramme étant l'incarnation iconique d'une forme (chapitre 1). Les lois logiques sont donc des lois formelles, c'est-à-dire : non pas des lois de la nature, mais « les lois des lois de la nature » (chapitre 2). Ces lois sont normatives, ce sont donc des règles qui prescrivent les principes du raisonnement valide. Trois formes inférentielles définissent les opérations de l'esprit comme passages d'une ou plusieurs idées à une autre idée : la déduction (des deux prémisses à la conclusion), l'induction (de la conclusion à la première prémisse) et l'abduction (de la première prémisse et de la conclusion à la deuxième prémisse). La sémiotique, comme logique des opérations de l'esprit effectuées sur des signes, est donc toujours triadique. La « physiologie des formes », ou science générale des signes, rend ainsi possible l'accès épistémique aux formes grâce aux diagrammes, représentations spatiales des relations formelles permettant une exhibition de leurs structures (chapitre 3) : « ainsi, les expérimentations sur les diagrammes sont comme des questions posées à la nature concernant les relations formelles » (p. 102). La logique, entendue dès lors comme une sémiotique généralisée, exige l'édification d'une philosophie de la grammaire dont l'objectif est de montrer que tout raisonnement est réductible au fonctionnement d'un signe, c'est-à-dire au rapport dynamique entre une représentation et ce à quoi elle se rapporte (chapitre 4). L'appréhension subjective des formes du réel, pour ne pas tomber dans le psychologisme, exige un détour par la phanéroscopie, science des formes constituantes (phanérons) de toute expérience (ce qui apparaît à la conscience), que cette expérience soit imaginaire, abstraite ou concrète (chapitre 5). Le chapitre 6 consiste dès lors à savoir si ces formes constituantes données au terme de l'enquête phanéroscopique peuvent être redécouvertes dans la nature, pour confirmer ou infirmer la thèse de l'ouvrage, c'est-à-dire savoir si les formes logiques conduisent effectivement aux formes essentielles du monde, c'est-à-dire aux structures fondamentales de l'être. – Conclusion : « Des formes aux normes », pp. 179-184 ; Bibliographie, pp. 185-191.
F. F.
Le réalisme structural ontologique est un courant de la métaphysique des sciences contemporaines initié par Steven French et James Ladyman, qui pose une prévalence des structures physiques sur les objets. Pour l'auteur de cet article, partisan d'une forme de réalisme structural ontologique, les structures physiques sont des structures causales. Son objectif est de montrer comment une telle ontologie des structures causales permet de construire une conception du monde à la fois réaliste, complète et cohérente, comprenant tous les domaines de la science empirique.
F. F.