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Remarques sur la probabilité des inductions : Thèse complémentaire pour le doctorat ès lettres - Faculté des lettres de l’Université de Paris
René POIRIERÉditeur : Vrin - 1931
Lois, exceptions et dispositions
Max KISTLERSous la direction de Max KISTLER, Bruno GNASSOUNOUDans Les Dispositions en philosophie et en sciences - 2006
La réduction, l’émergence, l’unité de la science et les niveaux de réalité
Max KISTLERSous la direction de François ATHANÉ, Marc SILBERSTEIN, Édouard GUINETDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2007
Les systèmes complexes obéissent-ils à des lois ?
Paul BOURGINESous la direction de Paul BOURGINE, David CHAVALARIAS, Claude COHEN-BOULAKIADans Déterminismes et complexités : du physique à l’éthique. Autour d’Henri Atlan - 2008
Lois universelles et histoire de l’Univers
Marc LACHIÈZE-REYSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
Les lois de l'esprit : Julien Benda ou la raison
Pascal ENGELÉditeur : Éditions d’Ithaque - 2012
Histoire et structure
Robert FRANCKSous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
Les symétries comme guide heuristique
Elena CASTELLANISous la direction de Soazig LE BIHANDans Précis de philosophie de la physique - 2013
Physics and Necessity : Rationalist Pursuits from the Cartesian Past to the Quantum Present
Olivier DARRIGOLÉditeur : Oxford University Press - 2014
Le problème de l’induction présente un double aspect : – définir le cadre formel dans lequel s’associent et se composent des inductions élémentaires de probabilité donnée, et qui est celui de toute argumentation portant sur des données simplement probables, – justifier, au moins pour certains types d’inductions élémentaires, ou du moins spécifier la probabilité qu’il convient de leur conférer. Ce problème répond à une intention profonde de l’esprit qui consiste à essayer d’atteindre, à l’intérieur même de la connaissance conjecturale, un élément solide et définitif. Si l’expérience condamne souvent les hypothèses scientifiques, si elle ne les justifie jamais d’une manière absolue, il faut alors tenter de délimiter rationnellement et de mesurer de manière précise l’incertitude qui subsiste dans l’élément conjecturel lui-même de notre connaissance. Pour ce faire, une méthode, au moins théorique, doit être indiquée pour accroître indéfiniment la probabilité de nos inductions et nous approcher progressivement de la certitude absolue. – Chap. I, «De la probabilité en général»; II, «De la classification concrète des inductions»; III, «Des inductions portant sur l’objectivité d’une grandeur»; IV, «Des inductions portant sur les lois»; – V, «Les inductions de causalité concrètes»; VI, «Les inductions de corrélation»; VII, «Conclusion». M.-M. V.
Le concept de réduction permet de poser la question de l’unité des sciences. Nous admettons ici la doctrine du physicalisme selon laquelle tous les phénomènes réels sont déterminés par les états de choses physiques. Il s’agit de savoir si cette détermination ontologique s’accompagne de la possibilité en principe de connaître l’ensemble des phénomènes, en déduisant par exemple les états de choses et lois biologiques ou psychologiques, à partir des états de choses et lois physiques. Le réductionnisme affirme – et l’émergentisme nie – cette possibilité. L’article retrace les étapes essentielles du débat sur la réduction entre théories scientifiques, de la conception classique de l’empirisme logique formulée par Nagel jusqu’au modèle de la réduction fonctionnelle de Kim. Il est suggéré que ces modèles se focalisent sur des aspects différents mais complémentaires de la réduction : le modèle de Nagel vise le rapport entre états de choses macroscopiques et microscopiques, alors que la réduction fonctionnelle vise l’articulation entre la caractérisation fonctionnelle d’un état de choses, en termes de ses causes et effets, et sa conception structurale. Dans un modèle complet de la réduction, la réduction macro-micro apparaît comme une étape qui fait suite à la réduction fonctionnelle. J’introduis un concept d’émergence ontologique qui rend compte de l’intuition que certains phénomènes macroscopiques sont qualitativement différents des phénomènes microscopiques qui les déterminent.
Les lois de la physique sont postulées invariantes par changements de référentiels de temps et d’espace. Elles peuvent engendrer toutes sortes de matériaux physiques complexes. On peut conjecturer que ces matériaux, à leur tour et dans les conditions physiques où ils existent, obéissent à des lois physiques invariantes dans le temps et l’espace. La question que pose cet article est de savoir si l’on peut postuler a priori qu’il en va de même pour les systèmes adaptatifs complexes. – Vers une science des systèmes complexes; – Reconstructions stochastiques : prédire en probabilité; – Reconstructions phénoménologiques et théorie de l’apprentissage statistique (Reconstruction d’informations manquantes et catégorisations symboliques; Reconstruction des dynamiques symboliques et mécanique computationnelle; Reconstruction des dynamiques multi-échelles et leur universalisation); – Vers une épistémologie formelle des systèmes adaptatifs complexes.
La cosmologie comme étude de l’Univers est ici interrogée historiquement, l’auteur suggérant que la véritable notion d’Univers ne remonte qu’au XVIIe siècle, avec Newton, et que c’est elle qui justifie en premier lieu la cosmologie scientifique, et même la physique en tant que discipline scientifique.
Pourquoi le rationalisme serait-il dépassé ? Que veut dire être rationaliste en philosophie et quel rationalisme défendit Julien Benda ? Trois grandes postures caractérisent le rationalisme, qui permettent d'en faire le portrait doctrinal : une position métaphysique réaliste, une position épistémologique transcendantale et une position éthique normativiste, toutes trois incarnées par une exigence intellectualiste. Refonder un rationalisme contemporain implique donc de se donner comme tâche préalable l'analyse du domaine des raisons dans toutes ses dimensions (épistémique, éthique, esthétique, etc.) et comme fin dernière le dégagement de la structure cohérente dans laquelle elles s'articulent (Raison). Contre le credo antirationaliste – traversant selon l'auteur la grande tradition française dominante en philosophie, essentiellement d'inspiration volontariste, intuitionniste et idéaliste – ce livre, en réhabilitant la défense du rationalisme au coeur des écrits de Julien Benda, réaffirme la positivité des lois de l'esprit et la nécessité d'un plaidoyer de ses valeurs en vue de la formulation d'un rationalisme contemporain. – Index nominum, pp. 347-353 ; Table des matières, p. 355.
F. F.
Dans la mesure où l'histoire étudie la vie sociale dans tous ses aspects, les différentes disciplines des sciences sociales ne doivent pas en faire l'économie. Cet article étudie le gain d'intelligibilité que procure l'étude de l'histoire au sein des sciences sociales, notamment grâce à la réflexion menée par Fernand Braudel. – Bibliographie, pp. 355-356.
F. F.
Pierre Curie (1859-1906) fut le premier physicien à prendre en compte le rôle de la symétrie et de ses brisures dans l'étude des phénomènes physiques. La symétrie est une propriété mathématique qui trouve son corrélat physique dans la propriété d'invariance. On parle de symétrie au sens large dès lors qu'il y a invariance d'un phénomène ou d'une loi par rapport à un groupe de transformations : la symétrie d'un gaz renvoie par exemple à l'invariance des équations décrivant le comportement physique des atomes dont il est composé. Inversement, on parle de brisure de symétrie lorsque le groupe de symétrie initial est réduit à l'un de ses sous-groupes : par exemple la brisure de symétrie d'un gaz, après son refroidissement, engendre une symétrie plus restreinte des structures cristallines qu'elle crée. L'objectif de cet article est ainsi de montrer qu'il est possible de généraliser l'analyse de Curie (historiquement limitée aux cas des symétries des phénomènes physiques) aux cas des symétries des lois physiques.
F. F.
Dans cet ouvrage, Olivier Darrigol propose un panorama des approches rationalistes de la physique, de la naissance de la mécanique classique au XVIIe siècle jusqu’aux développements récents de la mécanique quantique. L’auteur s’intéresse ainsi à la possibilité de déterminer les lois de la physique au moyen de la seule raison. Il s’agit d’interroger la nécessité des lois de la physique en analysant différents arguments et constructions rationnelles qui ont été proposés au cours de l’histoire de la physique. L’auteur s’attache ainsi à montrer «la fertilité et la beauté d’un rationalisme modéré » (p. xii) en physique. Pour cela, l’auteur aborde différents domaines tels que la mécanique classique, la théorie de la relativité, ou encore la mécanique quantique. Ce livre est divisé en neuf chapitres qui suivent l’ordre chronologique des arguments rationalistes avancés au cours de l’histoire. Le chapitre 1 est consacré à la naissance de la mécanique classique. L’auteur examine différentes approches rationalistes proposées par exemples par Descartes, Huygens, Leibniz, ou encore D’Alembert. L’auteur aborde notamment la question de la nécessité des lois de conservation et celles de l’équilibre. Dans le chapitre 2, qui porte aussi sur la mécanique classique, l’auteur examine la nécessité de certaines lois de cette science en reformulant de manière contemporaine certains arguments historiques qui n’ont pas été jugés suffisamment convaincants. Il s’intéresse successivement aux lois de la mécanique pour des systèmes de solides connectés, aux lois de la mécanique moléculaire, à celles de la mécanique des milieux continus ainsi qu’aux lois des collisions. Le chapitre 3 est consacré à la question de la réduction mécanique, c’est-à-dire à la thèse selon laquelle les phénomènes physiques sont réductibles à des processus mécaniques. Pour cela, l’auteur s’intéresse en particulier aux principes de la conservation et de la conversion de l’énergie, ainsi qu’au principe de moindre action, avant d’examiner les cas de la thermodynamique et de la mécanique statistique. Le chapitre 4 porte sur la géométrie, dont la nécessité des lois est une question qui se pose non seulement en philosophie des mathématiques, mais aussi en philosophie de la physique dans la mesure où elle est une théorie de l’espace et du déplacement des objets. Dans ce chapitre, l’auteur s’intéresse à la question des fondements de la géométrie et, en particulier, à la conception développée par Helmholtz. Dans le chapitre 5, l’auteur prolonge cette analyse en examinant le concept d’espace-temps. L’auteur analyse principalement les arguments rationalistes dans le cadre de la théorie de la relativité et examine, notamment, les conceptions de l’espace-temps de Weyl et Eddington, avant d’étudier une approche fondée sur les idées de Helmholtz. Le chapitre 6 est consacré à la question de l’applicabilité des mathématiques dans les sciences physiques. L’auteur examine ici la question de la nécessaire mathématisation de la physique du point de vue de l’histoire des sciences, en examinant différentes approches du XVIIe siècle jusqu’au début du XXe siècle. Il s’intéresse principalement aux concepts de nombre et de grandeur chez des auteurs tels que Kant, Helmholtz ou Poincaré. Le chapitre 7 traite ensuite des théories classiques des champs et, en particulier, de la théorie électromagnétique. Le but principal de ce chapitre est de mettre en évidence les contraintes imposées par un principe, qui apparaît implicitement chez Faraday, sur le choix des théories des champs dans un cadre relativiste. Le chapitre 8 est consacré à la mécanique quantique. Dans ce long chapitre, il s’agit d’examiner si les lois de la mécanique quantique obéissent à d’autres formes de nécessité par rapport à celles examinées précédemment dans le cadre des théories physiques classiques, qu’elles soient relativistes ou pas. L’auteur analyse, par exemple, les différents formalismes et formulations de la mécanique quantique, ou encore la logique quantique. Dans le neuvième et dernier chapitre, l’auteur défend une conception des théories physiques qui permet d’éviter certaines objections que l’on peut adresser aux arguments de nécessité examinés jusqu’ici. Cette conception repose principalement sur les concepts de schèmes interprétatifs et de modules, qui sont introduits dans le but de rendre compte de l’articulation entre les lois théoriques et leur application. – Preface, pp. v-xii ; Contents, pp. xiii-xiv ; Conventions and Notations, p. xv ; Chap. 1 : “Rationalism in the history of mechanics” ; Chap. 2 : “The necessity of classical mechanics” ; Chap. 3 : “From mechanical reduction to general principles” ; Chap. 4 : “Geometry” ; Chap. 5 : “Spacetime” ; Chap. 6 : “Numbers and math” ; Chap. 7 : “Classical field theories” ; Chap. 8 : “Quantum mechanics” ; Chap. 9 : “Necessity, theories, and modules” ; Abbreviations, p. 369 ; Bibliography, pp. 371-390 ; Index, pp. 391-400.
V. A.
In this book, Oliver Darrigol investigates the rationalist approaches of physics since the rise of classical mechanics in the 17th century to the recent developments of quantum mechanics. He tackles the possibility to derive the laws of physics by reasoning only, and discusses the question of the necessity of the laws of physics. Therefore, the author sheds light on “the beauty and the fertility of a moderate rationalism”(p. xii) in physics. For this purpose, he examines several physical theories like classical mechanics, general relativity, and quantum mechanics. This book is divided into nine chapters that correspond to the chronology of necessity arguments in the history of physics. Chapter 1 deals with the history of classical mechanics. The author discusses several rationalist approaches with authors like Descartes, Huygens, Leibniz or d’Alembert. He focuses particularly on the question of the necessity of the laws of conservation and the laws of equilibrium. Chapter 2, which is again about classical mechanics, provides new derivations of the laws of equilibrium and motion for some mechanical systems. Such proofs may thus overcome some objections that are addressed against several historical derivations. Chapter 3 deals with mechanical reductionism. The author focuses on the principle of energy conservation and the principle of least action, before investigating the cases of thermodynamics and statistical mechanics. Chapter 4 is devoted to the foundations of geometry and the question of the necessity of physical geometry. In particular, the author focuses particularly on Helmholtz’s conception of geometry based on measurement with rigid bodies. In Chapter 5, the author extends this discussion in examining the concept of spacetime and the rationalist arguments within general relativity. In particular, he discusses Weyl’s and Eddington’s approaches of spacetime before studying an approach based on Helmoltz’s ideas. Chapter 6 tackles the question of the applicability of mathematics in physics. The author investigates the mathematization of physics from an historical point of view. He examines the conceptions of number and magnitude during the 17th, 18th and 19th centuries with authors like Kant, Helmholtz or Poincaré. Chapter 7 pertains to classical field theories and, in particular, to electromagnetic theory. The author investigates mainly the consequences of a principle developed by Faraday on the choice of relativistic field theories. Chapter 8 is a long chapter devoted to quantum mechanics, in which the author focuses on the necessity at stake in quantum mechanics. For this purpose, he examines different formulations of quantum mechanics as well as quantum logic. In the last chapter, the author defends a new conception of physical theories that avoids some objections against necessity arguments. This approach is based on the concepts of interpretive schemes and modules, which are introduced in order to link the theoretical laws with their applications. – Preface, pp. v-xii ; Contents, pp. xiii-xiv ; Conventions and Notations, p. xv ; Chap. 1 : “Rationalism in the history of mechanics” ; Chap. 2 : “The necessity of classical mechanics” ; Chap. 3 : “From mechanical reduction to general principles” ; Chap. 4 : “Geometry” ; Chap. 5 : “Spacetime” ; Chap. 6 : “Numbers and math” ; Chap. 7 : “Classical field theories” ; Chap. 8 : “Quantum mechanics” ; Chap. 9 : “Necessity, theories, and modules” ; Abbreviations, 369 ; Bibliography, 371-390 ; Index, 391-400.
V. A.