1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
Vous avez la possibilité de faire défiler cette liste de références bibliographiques
1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
1.3.1. Cliquez sur le bouton accueil :
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1.3.5. Une fois que vous avez sélectionné un résultat, la notice associée à cette référence bibliographique s’affiche et vous pouvez la consulter :
1.3.6. Pour afficher ou masquer le détail des métadonnées de la référence appuyer sur + ou sur – :
1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
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Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
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Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Tractatus logico-philosophicus
Ludwig WITTGENSTEINÉditeur : Gallimard - 1972
La Règle, le compas et le divan : plaisirs et passions mathématiques
Nicolas BOULEAUÉditeur : Seuil - 2002
La réception du Cercle de Vienne aux congrès de 1935 et 1937 à Paris ou le “style-Neurath”
Antonia SOULEZSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
Une pragmatique
Arley R. MORENOSous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Le lien de la pensée formelle à la science
Antoine RUSCIOSous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Objet scientifique et objet esthétique chez Granger. Entre art et création
Antonia SOULEZSous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Compte rendu de : "Louis Couturat, L'Algèbre de la logique (Traduction du français avec un texte complémentaire par I. Slešinskij, Mathesis, Odessa 1909)"
Paul EHRENFESTSous la direction de Gerhard HEINZMANN, Michel BASTITDans Philosophia Scientiae. Travaux d'histoire et de philosophie des sciences - 2011
Première traduction anglaise : New York; London : Harcourt, Brace & company; Kegan Paul, Trench, Trubner and Co., 1922, avec une introduction de Bertrand Russell, collection «International library of psychology, philosophy and scientific method». Texte et traduction en regard. Ces textes avaient déjà été publiés dans les Annalen der Naturphilosophie en 1921. La première édition française propose conjointement la traduction du Tractatus et celle des Investigations philosophiques : Paris, Gallimard, 1961, Coll. «Bibliothèque des idées». La présente édition, au format de poche, reprend le seul Tractatus. – Écrit sur des carnets de campagne pendant la Première Guerre mondiale, le Tractatus «mérite certainement, par son ampleur, son étendue et sa profondeur, d’être considéré comme un événement important dans le monde philosophique. Débutant à partir des principes du symbolisme et des rapports qui sont nécessaires entre les mots et les choses dans tout langage, il applique le résultat de ses recherches aux différents domaines de la philosophie traditionnelle, montrant dans chaque cas comment la philosophie traditionnelle et les solutions traditionnelles naissent de l’ignorance des principes du symbolisme et du mauvais usage de la langue» (B. Russell, Introd.). – La structure logique des propositions et la nature de l’inférence logique sont d’abord traitées. Puis sont successivement analysées les questions relatives à la théorie de la Connaissance, aux principes de la Physique, à l’Éthique et enfin à la Mystique. M.-M. V.
Comment apparaît le sens mathématique ? Une approche est ici tentée à partir d’un faisceau de questionnements croisés, tels que le rôle de l’inconscient dans la découverte, le problème du langage ordinaire, le statut de l’amateur en science, un parallèle avec la création architecturale, les étranges recherches poétiques de Saussure, la fonction de l’exil (Cauchy), un voyage à Akademgorok, la masculinité de la science ... L’ambition philosophique n’est pas de relativiser la science, mais de dégager, à partir du cas des mathématiques, moins pur qu’on ne le dit, ses ancrages dans la psychologie du sujet et la socialité du langage, – Trois thèmes philosophiques transversaux sont à l’œuvre dans les huit études composant l’ouvrage, – 1. l’interprétation : puisque les mathématiciens ne conduisent pas leur pensée par la combinatoire logique des formules, mais par ce qu’il convient d’appeler le sens, se pose la question de l’origine de cette compréhension; – 2. le symbolique : constitutif des mathématiques aujourd’hui, pourquoi les Grecs s’en passaient-ils pour conduire leurs déductions rigoureuses ? C’est la trilogie lacanienne imaginaire-réel-symbolique qui sert ici de support à la discussion; – 3. le plaisir : moteur de l’activité mathématique et révélateur d’un trait psychologique conditionnant la créativité mathématique et scientifique en général, à savoir la confiance dans la démarche et le langage de la discipline.
– Préalables; – Le Cercle de Vienne au congrès de 1935 à Paris; – Le Cercle de Vienne au congrès Descartes de 1937 à Paris; – Les raisons des réticences françaises : 1, l’allergie au symbolisme; 2, la “nouvelle logique” (Carnap, 1931); 3, l’objection d’une “philologie scientifique” au lieu d’une théorie de l’unité de la science (Cavaillès); 4, l’esprit des Lumières sociales, ou le style neurathien d’une synopsis; – En conclusion : Neurath et Couturat.
Les actes d’application des mots recoivent un éclaircissement remarquable par les catégories épistémiques que Granger propose, dans la mesure où on les voit comme des actes d’un travail de production d’œuvres, tout en écartant la dimension thérapeutique et éthique qu’ils portent chez Wittgenstein. Ces catégories peuvent aider à mieux comprendre et à développer les résultats de la pratique thérapeute du point de vue transcendantal, dans la direction de ce que l’auteur appelle ici une pragmatique philosophique.
Bien que la notion de pensée formelle soit centrale dans la pensée de G.-G. Granger, on ne trouve, dans son œuvre publiée, aucun texte qui soit explicitement consacré à son analyse. Cet article entend présenter trois des aspects parmi les plus importants de cette notion. Le premier aspect pourrait être résumé ainsi : il n’y a pas de «forme» de la pensée formelle, qui configurerait en droit chacune de ses réalisations. Le deuxième aspect concerne les rapports sui generis que la pensée formelle entretient avec le symbolisme (en particulier avec un symbolisme dit «formel»). Le troisième aspect porte sur les modalités de mise en œuvre «concrète» du travail de la pensée formelle : il s’agit ici des conditions de ce que Granger appelle la «dialectique de la pensée formelle».
Sur le style et la pensée de la création dans la science comme en art, Antonia Soulez se propose de montrer ici que les écrits épistémologiques de Granger révèlent une pensée «hantée» par l’art, à partir de l’idée d’une généalogie du symbolisme.