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3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Les Idéalités mathématiques. Recherches épistémologiques sur le développement de la théorie des fonctions de variables réelles
Jean-Toussaint DESANTIÉditeur : Seuil - 1968
La Pensée hiérarchique et l'évolution : Les Complexes discursifs. 1
Patrick TORTÉditeur : Aubier (Montaigne) - 1983
Naturalizing the Human or Humanizing Nature: Science, Nature and the Supernatural
David MCARTHURSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2004
Pourquoi ne fait-on pas de montres en caoutchouc ? Genres et limites de l’explication fonctionnelle
Philippe HUNEMANSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Des régimes de preuve en langue et discours
Georges VIGNAUXSous la direction de Jean-Jacques SZCZECINIARZ, Jean SALLANTINDans Le Concept de preuve à la lumière de l'intelligence artificielle - 1999
La sociologie en cause. La situation de la sociologie française académique contemporaine au miroir de “l’affaire Teissier”
Gérald HOUDEVILLESous la direction de Gérard CHAZALDans Valeur des sciences - 2008
Une pragmatique
Arley R. MORENOSous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Les lieux de rhétorique dans les sciences
Fernand HALLYNDans Méthode et histoire - 2013
Si la mathématique n’est ni «du Ciel» ni «de la Terre», il importe de chercher le lieu où elle réside. Il devient alors nécessaire de s’installer au cœur des textes mathématiques eux-mêmes, pour mettre en lumière la nature du discours qui les constitue. Ce discours enchaîne des idéalités explicites; mais, par-delà l’explicite, et le soutenant, vit un système de relations non exprimées dont la présence et les connexions entraînent et dirigent les gestes du mathématicien créateur. Apprendre à déchiffrer ces connexions, dégager la structure du domaine où elles s’engendrent, constitue alors une démarche préalable à une épistémologie valide des mathématiques. On s’efforce, à ce moment, d’écouter un autre discours que celui de la mathématique écrite, de tisser un autre espace que celui où s’enchaînent les opérations immédiatement perceptibles. – Consacré à l’analyse du mode d’existence de quelques théories mathématiques, le présent ouvrage utilise un matériau bien connu et déjà ancien constitué par le corps de doctrine désigné sous le nom de «théorie des fonctions de variables réelles», pour exposer les premiers résultats auxquels conduit une telle recherche. – Section I, Préliminaires; – Section II, Noyaux opératoires (Le concept de nombre réel; Le concept d’ensemble de points); – Section III, Statut d’objet et conscience d’objet (Le champ réflexif immanent aux positions d’objet; Structure intentionnelle de l’objet; Objet-théorie et médiations d’horizon); – Conclusions de la Section III. M.-M. V.
[Recueil de conférences prononcées au Séminaire d'histoire des sciences de l'École Normale Supérieure d'Abidjan, 1980-1982]. – Ce livre, premier volume expressément consacré à l'illustration de l'Analyse des Complexes Discursifs (ACD), est à l'origine de la relecture contemporaine des grands textes darwiniens, et en particulier des textes anthropologiques de Darwin, à la lumière du concept de l'effet réversif de l'évolution, processus décrit par lui en 1871 comme renversement progressif de l'hégémonie des comportements d'élimination au cours du progrès de la civilisation, par le biais de la sélection des instincts sociaux et de l'accroissement conjoint des capacités rationnelles et morales. L'importance de ce concept est aujourd'hui reconnue. Ses conséquences ont été de rendre illégitime toute annexion de la théorie darwinienne par les multiples figures passées et présentes des «sociologies biologiques» à orientations «social-darwinistes» ou eugénistes. Début de l'explication historico-critique de la confusion entretenue pendant plus d'un siècle entre Darwin et Spencer. M.-M. V.
The present paper challenges the narrow scientistic conception of Nature that underlies current projects of naturalization involving, say, evaluative or intentional discourse. It is more plausible to hold that science provides only a partial characterization of the natural world. The author considers McDowell's articulation of a more liberal naturalism, one which recognizes autonomous normative facts about reasons, meanings and values, as genuine constituents of Nature on a more liberal conception of it. Several critics have claimed that this account is vitiated by the threat of supernaturalism. Responsiveness to normative facts is, it is argued, a phenomenological datum that we have good reason to take at face value. The paper traces the source of the supernaturalist objection to a misreading of McDowell's perceptual analogy with respect to value and a related failing to clearly distinguish physical and logical notions of an object.
Que peut-on affirmer de la portée des explications fonctionnelles concernant les parties d’un tout ? Autrement dit, est-ce qu’on peut de manière générale affirmer que les parties d’un tout dont on a identifié la fonction ont elles-mêmes des fonctions ? L’auteur distingue d’abord plusieurs stratégies d’explication qui ont recours au discours fonctionnel. Puis il examine selon chacune de ces stratégies le statut du rapport de la partie au tout, et la portée des énoncés fonctionnels sur les parties. La distinction entre les stratégies explicatives permettra de dissoudre certains malentendus concernant la portée de l’explication fonctionnelle des parties d’un tout.
La thèse centrale ici est que le langage sert à la construction et à l’énonciation d’un processus de catégorisation qui positionne le locuteur et les choses face au monde. L’auteur s’appuie essentiellement sur la conception catégorielle d’Aristote. – Ontologie et représentation du monde; – Des rapports entre langage et ontologie; – Engagement du sujet et ontologie de la preuve; – Le langage et la preuve testimoniale; – Le «système langue» et les jeux de la dénomination; – Valeurs relationnelles et dynamiques cognitives; – Les opérations de la preuve en langue et discours.
Cet article entend montrer comment la sociologie contemporaine constitue une bonne illustration de ce qu’un discours n’a de chance d’être un discours de science qu’à la condition, notamment, que soit pris en charge par ses représentants un travail spécifique qui vise à le réaffirmer sans cesse. «L’affaire Teissier», et la polémique développée au sujet de sa thèse au printemps 2001, sont ici traitées au titre de l’une de ces manifestations de tension autour des activités sociologiques telles qu’elles existent à l’heure actuelle dans le monde académique français.
Les actes d’application des mots recoivent un éclaircissement remarquable par les catégories épistémiques que Granger propose, dans la mesure où on les voit comme des actes d’un travail de production d’œuvres, tout en écartant la dimension thérapeutique et éthique qu’ils portent chez Wittgenstein. Ces catégories peuvent aider à mieux comprendre et à développer les résultats de la pratique thérapeute du point de vue transcendantal, dans la direction de ce que l’auteur appelle ici une pragmatique philosophique.
Cet article étudie deux modèles d’appréhension de la fonction rhétorique dans les discours scientifiques : 1° celui de la rhétorique de l’argumentation développé par Chaïm Perelman dans son Traité de l’argumentation (Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 1992, 5e édition) ; 2° celui de la métaphore comme terreau des hypothèses scientifiques novatrices, développé par Hans Blumenberg dans ses Paradigmes pour une métaphorologie (Paris, Vrin, 2006 pour la traduction française). L’article conclut sur une étude de cas : le schème rhétorique de l’énumération dans la pensée cosmologique à la Renaissance (chez Copernic, Galilée et Kepler).
F. F.