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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Objectivation
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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Monographie

    Essai sur la connaissance approchée

    Gaston BACHELARD
    Éditeur : Vrin - 1927


    Monographie

    Pascal. Contingence et probabilités

    Catherine CHEVALLEY
    Éditeur : Presses Universitaires de France - 1995


    Article

    Casual laws are objectifications of inductive schemes

    Wolfgang SPOHN

    Sous la direction de Jacques DUBUCS
    Dans Philosophy of probability - 1993


    Article

    Objet scientifique et objet esthétique chez Granger. Entre art et création

    Antonia SOULEZ

    Sous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENO
    Dans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010


    Monographie

    Signes, Formes, Gestes : Études sur les régimes symboliques des sciences

    Andrea CAVAZZINI
    Éditeur : Hermann - 2012


    Monographie

    La vocation et le métier de philosophe : Pour une sociologie de la philosophie dans la France contemporaine

    Louis PINTO
    Éditeur : Seuil - 2007


    MONOGRAPHIE

    Essai sur la connaissance approchée

    • Année : 1927
    • Éditeur : Vrin
    • Pages : 311
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 30-09-2015

    Résumé :

    Français

    Dans ce premier écrit qu’est sa thèse principale (thèse pour le doctorat, présentée devant la Faculté des lettres de l'Université de Paris, en 1927), Bachelard étudie le processus d’affinement de la connaissance scientifique. Le rôle de la connaissance approchée est défini dans les sciences expérimentales, où le degré de précision, confronté au contingent et à l’indivisible, atteint nécessairement une limite; ainsi que dans les sciences mathématiques qui, soumises à ce même « fractionnement épistémologique et ontologique », se prêtent néanmoins à une approximation illimitée, puisque l’infini mathématique permet de créer toujours de nouveaux êtres irrationnels assurant la continuité de l’indéfini des nombres rationnels. Par conséquent, on n'atteint jamais qu’un fait rectifié et provisoire. La connaissance de la réalité se vérifie progressivement à chacune de ses acquisitions, et cette rectification constitue la véritable réalité épistémologique, car elle exprime la pensée dans son dynamisme profond : «l’approximation, c’est l’objectivation inachevée, mais c’est l’objectivation prudente, féconde, vraiment rationnelle puisqu’elle est à la fois consciente de son insuffisance et de son progrès». En marge des débats du pragmatisme, les concepts de réalité et de vérité sont investis d’un sens nouveau par une philosophie de l’inexact. – Livre I : Connaissance et descrition; La rectification des concepts; Ordre et qualité; – Livre II : Les problèmes de la mesure expérimentale; Les ordres de grandeur : leur réalisme, leur utilité. Ontologie et épistémologie fractionnées; Les formules de dimensions; Les lois approchées et les divers problèmes de la simplification en physique; L’induction, la corrélation et la probabilité dans leur rapport avec la connaissance approchée; Connaissance et technique. La réalisation approchée; – Livre III : Intuition et réalisme en mathématiques; Les corps de nombres et l’explication mathématique; Les problèmes de l’approximation en mathématiques; La notion d’infini et l’approximation; – Livre IV : Objectivité et rectification. Rôle du détail dans l’objectif; Continuité épistémologique et vérification progressive; La vérification approchée; Rectification et réalité. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    Pascal. Contingence et probabilités

    • Pages : 128
    • Collection : Philosophies
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-13-046131-8
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 14-10-2015

    Résumé :

    Français

    Chez Pascal, l’objet mathématique ou physique est pensé non comme une idéalisation de l’objet naturel qui en révélerait l’essence, mais comme relation et rapport. La Nature n’obéit pas à des lois universelles et nécessaires, elle est un processus soumis à des fluctuations. La connaissance est un savoir qui n’est ni certain, ni neutre et indépendant de son objet, mais intrinsèquement incomplet et relatif à ses propres conditions d’énonciation. Sur ces trois points, Pascal s’oppose directement au cartésianisme. Pourtant, sa critique de ce qui s’instaure chez Descartes n’est ni simplement sceptique ni réductible au primat accordé à l’apologétique. Face à la position cartésienne, l’œuvre de Pascal constitue non seulement une alternative cohérente dans le domaine de la théorie de la connaissance, mais aussi une tentative globale pour penser ensemble la contingence et la probabilité mathématique. L’objet de ce livre sera donc de montrer par quels chemins l’épistémologie anticartésienne de Pascal l’a amené à donner la première «formulation philosophique» (selon les termes de Cassirer) du probabilisme. – Introduction : «La Nature sans la Nécessité». – I. «Questions cartésiennes» : De la Géométrie à la Mathesis universalis; Le problème de la certitude de la physique géométrique; La fondation métaphysique contre la contingence. – II. «Contre Descartes» : Incomplétude de la connaissance; Contingence de la connaissance; Le refus de la fondation métaphysique. – III. «La possibilité de la connaissance» : Procédés d’objectivation; Calculer l’incertain : la «Géométrie du hasard»; Interdépendance de l’objet et de la méthode : le fragment 418, 100. – IV. «Les effets de l’anticartésianisme». – Conclusion : «Nature et probabilité». – Annexe : Lettre à Fermat du 29 juillet 1654. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    Casual laws are objectifications of inductive schemes

    • Pages : 223 à 255
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Mots-clés :

    Résumé :

     

    ARTICLE

    Objet scientifique et objet esthétique chez Granger. Entre art et création

    • Pages : 257 à 279
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Sur le style et la pensée de la création dans la science comme en art, Antonia Soulez se propose de montrer ici que les écrits épistémologiques de Granger révèlent une pensée «hantée» par l’art, à partir de l’idée d’une généalogie du symbolisme.

     

    MONOGRAPHIE

    Signes, Formes, Gestes

    Études sur les régimes symboliques des sciences

    • Pages : 238
    • Collection : Visions des sciences
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-2-7056-8379-5
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 10-10-2013
    • Dernière mise à jour : 01-06-2021

    Résumé :

    Français

    La science contemporaine a réellement besoin d’une réflexion philosophique dans la mesure où elle est actuellement, comme « technoscience », dans une situation où elle manifeste une disjonction entre son inscription sociale et le sens de cette inscription (cf. Avant-propos de l’auteur). Ce livre est une étude de philosophie des sciences qui vise à décrire le sens de l’esprit scientifique en prenant pour objet la Théorie (comme forme de pensée) et les modes de subjectivation qu’elle implique. L’auteur commence par dresser une généalogie du concept de représentation dans sa double acception: 1° comme objet mental correspondant à un état interne (Vorstellung) ; 2° comme substitut d’un objet physique externe auquel renvoie l’état interne en question (Vertretung). Cette généalogie a ainsi pour objectif de mettre au jour l’impact du paradigme représentationnel dans les sciences (cognitivisme), et les limites arbitraires qu’il leur impose. Dès lors, l’auteur présente la généalogie du paradigme théorétique fondé sur l’écriture symbolique et rendant possible la mise en commun du savoir apodictique, par le déploiement d’un espace d’inscription de nature formelle, condition d’une pensée rationnelle élargie, ouverte au non-être et à l’infini. Les critères de clarté, d’évidence et de rigueur, ne peuvent plus dès lors être situés dans un sujet psychologique, un monde ordinaire ou des objets tangibles manipulables, mais dans une pratique théorique immanente à un système opératoire qui lui donne sens: « La connaissance, une fois qu’on l’interprète en termes d’efficacité des formes symboliques, ne peut plus correspondre à la représentation d’un objet » (p. 107) – le sujet de la science étant le Nous transcendantal incarné dans l’enchaînement des structures eidétiques sédimentées. Il s’agit alors de chercher à saisir la géométrie comme manière de penser dont le rôle est essentiel dans la production de la théorie en tant que telle. – Chap. 1 : « Connaissance et représentation » ; chap. 2 : « Symboles, écritures, figures » ; chap. 3 : « Symbolisme et infini » ; chap. 4: « Géométrie et pensée » ; Bibliographie, pp. 195-199 ; Annexes, pp. 201-232 ; Annexe I : « Vivant et symétrie » ; Annexe II: « Georges Canguilhem : archéologie des concepts et philosophie de la nature » ; Annexe III : « Images et objectivation théorique dans la théorie de l’évolution » ; Table des matières, pp. 233-235 ; Reconnaissances, pp. 237-238.

    F. F.

     

    MONOGRAPHIE

    La vocation et le métier de philosophe

    Pour une sociologie de la philosophie dans la France contemporaine

    • Année : 2007
    • Éditeur : Seuil
    • Pages : 307
    • Collection : Liber
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : 1re édition
    • Ville : Paris
    •  
    • Institution : EHESS
    • ISBN : 978-2-02-096339-8
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 23-01-2015
    • Dernière mise à jour : 19-05-2015

    Résumé :

    Français

    Ce livre propose une sociologie de la philosophie, c’est-à-dire du métier de philosophe, dans la France contemporaine. L’introduction sert à la défense d’une forme de « réalisme sociologique » appliqué à la philosophie, dans le sillage de Pierre Bourdieu : non seulement il ne s’agit pas de réduire la philosophie à sa réalité sociale, mais en plus la sociologie de la philosophie serait elle-même une activité philosophique. La première partie porte sur la définition, en France, de la philosophie comme discipline, en la rapportant dans un premier chapitre à la doctrine qui en exprime les valeurs et la fonction, ainsi qu’à la réalité sociologique de ceux qui l’enseignent. Dans un deuxième chapitre, c’est l’exercice de la dissertation qui est examiné aussi bien selon les types de sujets, le rapport aux sciences, l’esprit de l’exercice. La deuxième partie, beaucoup plus longue, porte sur les structures et figures du champ philosophique français de 1970 à 2000. Ce sont les frontières du champ philosophique qui sont l’objet du chapitre 3, à travers l’analyse de l’émission des titres scolaires, du journalisme philosophique et de la création du Collège de philosophie. Dans le chapitre 4, l’auteur décrit d’abord la configuration générale du champ universitaire et des critères d’excellence intellectuelle qui lui sont liée, puis ses différentes tensions entre le pôle rationaliste et le pôle spiritualiste au début du 20e siècle, ou entre deux cultures philosophiques représentées par Derrida et Bouveresse, les tensions provoquées par le cas Heidegger, l’affaire Sokal et Bricmont, ou encore les tentatives de refonte des programmes. Le cinquième chapitre est une étude de différentes positions académiques à partir de la publication par le journal Le Monde d’une série de douze leçons de philosophie en 1982. – Notes en fin d'ouvrage. P. F.

    Anglais

    This book proposes a sociology of philosophy, that is to say a sociology of the profession of philosopher in France. The introduction aims at the defence of a form of “sociological realism” applied to philosophy, in Bourdieu’s way: not only the aim is not to reduce philosophy to its social reality but this sociology of philosophy is in itself a philosophical activity. The first part is about the definition, in France, of philosophy as a discipline. In a first chapter, it is related to the doctrine that expresses its values and functions, and also to the sociological reality of those who teach philosophy. In a second chapter, the exercise of dissertation is considered according to the different kinds of themes, the relation to sciences, the spirit of the exercise. The second part, which is the longest, is about the structures and figures of the French philosophical field from 1970 to 2000. The object of the chapter three is the frontiers of the philosophical field, through the analysis of the emission of scholarly titles, of philosophical journalism and of the creation of the “Collège de Philosophie”. In the chapter four, the author describes first the general configuration of the university field and the criteria of intellectual excellence, then its different tensions between the rationalist pole and the spiritualist pole at the beginning of the 20th, between two philosophical cultures represented by Derrida and Bouveresse, the tensions provocated by Heidegger’s case and Sokal and Bricmont’s case, or the attempt to reform the teaching’s programs for philosophy in high schools. The chapter five is a study of different academic positions on the basis of the publication by Le Monde of a series of twelve philosophy lessons in 1982. – Notes at the end of the book. P. F.