1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
Vous avez la possibilité de faire défiler cette liste de références bibliographiques
1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
1.3.1. Cliquez sur le bouton accueil :
1.3.2. Vous avez la possibilité de choisir un critère parmi les critères suivants :
1.3.3. Cliquez sur le bouton OK ou sur la touche ENTER de votre clavier pour lancer la recherche
1.3.4. La liste des résultats s’affiche :
Vous avez la possibilité de faire défiler et de cliquer sur un résultat de requête
1.3.5. Une fois que vous avez sélectionné un résultat, la notice associée à cette référence bibliographique s’affiche et vous pouvez la consulter :
1.3.6. Pour afficher ou masquer le détail des métadonnées de la référence appuyer sur + ou sur – :
1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Production de l’apparence symbolique
José Arthur GIANNOTTISous la direction de Roshdi RASHED, Pierre PELLEGRINDans Philosophie des mathématiques et théorie de la connaissance. L’Œuvre de Jules Vuillemin - 2005
La Symbolicité chez Angèle Kremer-Marietti
Rhida AZOUZSous la direction de Abdelkader BACHTADans Épistémologie et philosophie des sciences - 2010
Style et contenus formels chez Gilles-Gaston Granger
Hourya SINACEURSous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Compte rendu de : "Louis Couturat, L'Algèbre de la logique (Traduction du français avec un texte complémentaire par I. Slešinskij, Mathesis, Odessa 1909)"
Paul EHRENFESTSous la direction de Gerhard HEINZMANN, Michel BASTITDans Philosophia Scientiae. Travaux d'histoire et de philosophie des sciences - 2011
La nostalgie de l’individuel : Essai sur le rationalisme pratique de Gilles Gaston Granger
Philippe LACOURÉditeur : Vrin - 2012
Justice digitale : Révolution graphique et rupture anthropologique
Jean LASSÈGUE, Antoine GARAPONDÉditeur : Presses Universitaires de France - 2018
Cet article entend montrer que la réflexion d’Angèle Kremer-Marietti est une réflexion sur la raison à travers l’analyse du rapport du langage avec le «symbolique» (qui s’apparente à la loi et s’enracine dans l’action) et la «symbolicité» (qui exprime la volonté créatrice de l’homme).
En soumettant les œuvres scientifiques à une analyse stylistique, G.-G. Granger a ouvert pour l’épistémologie des sciences un champ neuf, où les historiens ont puisé à leur tour l’inspiration d’un nouveau regard sur l’histoire des sciences. Cet article fait la généalogie de la naissance de cette approche stylistique et tente de répondre à la question de la préservation possible de l’unité sémantique de la notion de style, quel que soit le champ et la pratique auxquels on l’applique comme outil de caractérisation.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de François Clementz : Philosophie : 1 vol. : Université d’Aix-Marseille : 2006 : 797 p.]. – Première étude systématique de l’œuvre de l’épistémologue français Gilles Gaston Granger (1921-), cet ouvrage vise à dégager l’unité et la singularité du rationalisme qu’elle véhicule. Une première partie (chapitres 1 et 2) présente : 1° sa philosophie de l’action, qui est à la fois un existentialisme original et une philosophie intégrant la spéculation formelle comme un moment de l’activité pratique puis 2° son rationalisme en tant que tel, qui articule science, histoire et philosophie à travers une pensée des œuvres que l’auteur appelle une « poïématique ». Une seconde partie (chapitres 3 et 4) présente le projet d’une critique de la raison symbolique (étude comparative des systèmes symboliques), que l’auteur identifie à une épistémologie réflexive, herméneutique et opératoire (philosophie pratique productrice de sens). Une troisième partie (chapitres 5 et 6) revient sur le problème central de l’œuvre de Granger : celui de la rationalité et des modalités de la connaissance de l’individuel en tant que connaissance philosophique. – Abréviations, pp. 7-8 ; Bibliographie, pp. 235-247 ; Index des noms propres, pp. 249-251 ; Index des concepts, pp. 253-254 ; Table des matières, pp. 255-257.
F. F.
Cet ouvrage vise à montrer la nécessité d’une évolution continue de la justice en accord avec les innovations technologiques contemporaines, en tenant compte de ce que le numérique peut lui apporter, sans pour autant renoncer à un usage critique. Les auteurs perçoivent la révolution numérique comme une révolution symbolique, en tant que transmutation des significations sociales. De cette manière, le numérique est introduit jusqu’au cœur même de la loi, c’est-à-dire dans la production de la norme. Cette révolution symbolique implique également une révolution graphique dans la mesure où le numérique est lié à l’écriture mathématique, qui, dépourvue de propriétés linguistiques, réduit l’importance de la parole, et donc des éléments qui lui sont inhérents. Par conséquent, dans ce nouveau paradigme, la prétention d’un nouveau régime de normativité à travers la justice numérique transforme non seulement le modus operandi du droit, mais le droit lui-même, en ayant des effets en termes épistémologiques, juridiques et anthropologiques. La première partie cherche à montrer ce qu’est la justice digitale à travers une odyssée de l’histoire de l’écriture dans laquelle l’écriture informatique s’insère sous forme de codage, par le biais du traitement automatique de l’information, qui tire son origine de la formalisation mathématique comprise comme séparation entre la forme symbolique pourvue de sens et le formel syntaxique dépourvu de sens. Corrélativement, la deuxième partie vise à mettre en évidence les potentialités de la justice numérique en tant que nouvelle manière de produire du sens. En émettant la décision judiciaire à partir de la neutralité des algorithmes basés sur la recompilation et l’analyse de données massives relatives à l’affaire traitée, la justice contemporaine se transforme en justice prédictive. Finalement, la dernière partie cherche à montrer les opportunités du numérique dont la justice peut tirer profit afin de se moderniser, sans perdre le côté humain qui lui est propre, c’est-à-dire sans oublier que l’inaccessibilité totale de la décision juridique appartient précisément au domaine légal. De cette façon, guidé par les points de vue d’un juriste et d’un épistémologue, cet ouvrage a pour objectif de clarifier tant l’importance de l’introduction de la dimension numérique dans le panorama juridique et donc dans l’individu et les relations sociales, que la nécessité de la recherche d’un équilibre entre l’organisation classique de la justice et sa numérisation.
E. L. N.