1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
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1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
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1.3.4. La liste des résultats s’affiche :
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1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
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1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
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Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Science et éthique : Rapports de la science et de la Loi juive
Jacques GOLDBERGSous la direction de Michel CAZENAVEDans De la science à la philosophie : y a-t-il une unité de la connaissance ? - 2005
Théorie de la gravitation et relativité restreinte chez Kurt Gödel
Éric AUDUREAUSous la direction de Pierre KERSZBERGDans Kairos - 2005
Vuillemin on natural language : from myth to free philosophy
Katarzyna GAN-KRZYWOSZYNSKASous la direction de Dariusz LUKASIEWICZ, Roger POUIVETDans Scientific Knowledge and Common Knowledge - 2009
Les Structures de l'esprit : Lévi-Strauss et les mythes
Gildas SALMONÉditeur : Presses Universitaires de France - 2013
Die ewige Wiederkehr. Metamorphosen des Mythos von Kirke in der deutsch-argentinischen Literatur
Leopoldo DOMINGUEZSous la direction de Joanna GODLEWICZ-ADAMIEC, Dariusz KRAWCZYK, Małgorzata ŁUCZYŃSKA-HOŁDYS, Paweł PISZCZATOWSKI, Małgorzata SOKOŁOWICZDans Femmes et le Savoir / Women and Knowledge / Frauen und Wissen - 2020
La cosmologie de Gödel est célèbre pour son paradoxe du voyageur dans le passé. Mais, dans ses contributions à la théorie de la relativité, Gödel a surtout résolu une difficulté de la théorie relativiste de la gravitation sur laquelle Einstein avait buté en 1917. Cette refonte de la théorie de la gravitation s’inscrit dans un projet philosophique beaucoup plus large. Je décris à grands traits les liaisons principales entre ces trois aspects de l’œuvre du grand logicien. É. A.
According to Vuillemin, science requires in order to be possible : (1) a complete revolution in the use of linguistic signs, (2) theoretical determination, (3) theory of truth. As opposed to science, myth has no linguistic univocity, there is no biunivocal relation between signs and contents. – From myth to philosophy : the role of the axiomatic method; – Jule Vuillemin’s a priori classification of philosophical systems based on the classification of predications; – Predications correspond to the ontological principles.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Jocelyn Benoist : Philosophie : 2 vol. : Université Paris Panthéon-Sorbonne : 2009 : 671 p.]. – Suivant quel processus de transformation méthodologique est-on passé de la mythologie comparée du XIXe siècle à l'analyse transformationnelle propre à l'anthropologie structurale ? Quelles sont les disciplines dans lesquelles Claude Lévi-Strauss est allé puiser les éléments de sa méthode comparative et les principes de son analyse transformationnelle ? Quel type d'invariants psychologiques a dès lors pu révéler une forme de comparaison qui se donnait pour objectif de rendre intelligible la différence entre les cultures, fondant ainsi une théorie sémiologique de l'esprit ? Autrement dit : comment l'établissement d'un texte – qui est l'objet de la philologie – a-t-il pu devenir un instrument de mise au jour du fonctionnement de l'esprit humain ? Dans un premier temps, l'auteur cherche à comprendre les raisons pour lesquelles la méthode des transformations s'est développée dans l'étude des mythes en se séparant de la mythologie comparée de Max Müller et de l'anthropologie de Edward B. Tylor, tout en montrant l'importance des séries de mutations internes à la mythologie comparée et à l'étude philologique des légendes qui ont rendu possible l'invention d'une telle méthode : plus particulièrement la découverte par Georges Dumézil en 1938 de la structure trifonctionnelle propre à l'idéologie des peuples indo-européens, qui a modifié de façon radicale la manière de lire les mythes. Le mythe devant dès lors être traité comme une institution dans la mesure où il se révèle être un système de représentations sociales particulier. À travers le concept de structure, l'auteur montre : 1° comment Lévi-Strauss intègre les cultures à un ensemble de niveau supérieur qu'il définit comme un groupe de transformations et 2° comment il fait passer la comparaison dans l'ordre de la synchronie en traitant les systèmes symboliques comme des entités relatives et oppositives (Première partie : « La fin de la mythologie »). Dans un second temps, il montre comment le concept de transformation élaboré par Lévi-Strauss doit être compris à partir des opérations de condensation et de déplacement définies par Freud : le mythe n'étant intelligible qu'à partir des relations de transformations inversées qu'il entretient avec un autre texte. À travers le concept de groupe de transformations, l'auteur nous montre comment Lévi-Strauss opère le couplage de la méthode freudienne de recherche des substitutions opérées dans le rêve – dans les séries d'association d'idées via les opérations de condensation et de déplacement – avec le concept de paradigme hérité de Saussure, dans la mesure où les rapports paradigmatiques sont définis comme des rapports associatifs pouvant être fondés aussi bien sur le son que sur le sens (Deuxième partie : « Déplacement, condensation, transformation »). Un mythe est en effet toujours la traduction d'un autre mythe suivant un certain nombre de contraintes culturelles qui lui imposent des transformations: la circulation du mythe implique donc l'apparition de variantes dans des contextes socioculturels différents. Or l'apport de Lévi-Strauss est d'avoir montré que ces variantes ne dérivent pas de mutations aléatoires, mais de transformations systématiques des relations qui les structurent (opposition, inversion). Ces transformations définissent l'appartenance de ces variantes à un même groupe (dit de transformations). Forme et contenu du mythe, personnages et actions de deux variantes, se transforment dans le passage de l'une à l'autre en vertu d'une structure de groupe qui peut être formalisée par un objet mathématique (groupe de Klein). Cette structure abstraite révèle des opérations sous-jacentes identiques, à l'oeuvre dans la pensée symbolique (sauvage, inconsciente ou mythique) aussi bien que dans la pensée mathématique (rationnelle et scientifique). Mais contrairement aux groupes de transformations mathématiques, qui eux sont fermés, les groupes de transformations mythiques sont, comme le souligne l'auteur, « ouverts et imprévisibles » (Troisième partie : « Une théorie sémiologique de l'esprit »). – Conclusion, pp. 273-285 ; Index des noms propres, pp. 287-285.
F. F.
Dans sa première œuvre littéraire, Änderungsschneiderei Los Milagros (2008), l’écrivaine argentine Marfa C. Barbetta propose une nouvelle lecture du mythe de Circé et de ses différentes représentations littéraires ou artistiques. Le but de cet article est d’examiner les références intertextuelles du roman, faites à Homère et Julio Cortázar, en prenant en compte aussi les éléments autobiographiques que l’auteur y a introduits.
P. V.