1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
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1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
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3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
L’Empirisme logique à la limite. Schlick, le langage et l’expérience
Sous la direction de Jean-Jacques ROSAT, Jacques BOUVERESSE, Delphine CHAPUIS-SCHMITZÉditeur : CNRS Éditions - 2006
Le contenu de la perception est-il conceptuel ?
Pascal ENGELSous la direction de Jacques BOUVERESSEDans Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives - 2003
Comment être kantien et empiriste ? Schlick et Sellars lecteurs de Kant
Florent GRELLARDSous la direction de Jean-Jacques ROSAT, Jacques BOUVERESSE, Delphine CHAPUIS-SCHMITZDans L’Empirisme logique à la limite. Schlick, le langage et l’expérience - 2006
Popper entre la science et les scientifiques
Baudouin JURDANTSous la direction de Renée BOUVERESSE-QUILLIOTDans Karl Popper et la science d’aujourd’hui - 1989
Mathématiques et rationalité dans l’œuvre de Jean Cavaillès
Gilles-Gaston GRANGERSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
Forme et contenu : Une introduction à la pensée philosophique
Moritz SCHLICKSous la direction de Jean-Jacques ROSAT, Delphine CHAPUIS-SCHMITZÉditeur : Agone - 2003
Issu d’un Colloque organisé en mars 2004 au Collège de France, cet ouvrage est le premier consacré à Moritz Schlick en français. Fondateur du Cercle de Vienne, Moritz Schlick défend une version extrême de l’idée, soutenue par le structuralisme logique, que le langage décrit la forme de notre expérience, mais que le contenu de celle-ci reste inexprimable : niant que les intuitions entrent dans la connaissance, il rejette le kantisme et met en péril les bases de son propre empirisme. – L’analyse se développe selon trois niveaux, correspondant aux trois parties de l’ouvrage, – l’examen des rapports entre la pensée de Schlick et la tradition kantienne (Kant, le néo-kantisme et le “kantisme analytique” de Sellars); – la confrontation de cette pensée à l’empirisme classique et à une autre variante de l’empirisme logique (Carnap); – le débat sur la thèse de l’inexprimabilité du contenu, au travers notamment d’une confrontation avec les idées de Wittgenstein, qui fut longtemps l’un des interlocuteurs privilégiés de Schlick. M.-M. V.
I. Les situations de référence; II. Les raisons d’une certaine préférence : Le thème de la falsification; Falsifiabilité et démarcation; L’absence d’enthousiasme pour les sciences sociales; L’importance du contenu et l’idée de progrès; Le silence de Popper sur le contexte social de la science; La “société ouverte”; Le parti pris de la clarté; III. L’ambiguité des conséquences.
Cet article esquisse le contenu et la portée de la contribution de Cavaillès au problème fondamental du sens de la rationalité en mathématiques, «en prenant également en considération les esquisses qu’il a fournies pour une interprétation plus générale que son destin tragique l’empêcha probablement de développer». – Contexte philosophique; – Mathématiques et rationalité; – Forme et contenu; – Histoire et dialectique; – Conscience et concept.
Forme et contenu est issu d'un cycle de trois conférences prononcées à Londres en 1932 par le chef de file du Cercle de Vienne. Proposer une méthode philosophique nouvelle ayant pris acte des bouleversements de la science moderne (la logique de Frege et Russell, les mathématiques de Hilbert, la physique d'Einstein, la mécanique quantique), c'est développer un empirisme approprié à celle-ci en répondant à la question de la nature du rapport des théories scientifiques aux données de l'expérience, autrement dit au problème de l'articulation entre la forme et le contenu. Si les mathématiques sont entièrement réductibles à la logique, les principes qui rendent possible toute connaissance scientifique sont des lois logiques. La connaissance est donc toujours réductible à des structures : elle est engendrée suivant un mouvement hypothético-déductif ; elle est produite par la congruence entre le système des hypothèses scientifiques et l'enchaînement des faits que celles-ci prédisent à titre de conséquences déductives. Pour Schlick, toute connaissance concerne donc exclusivement la forme, et non le contenu. Or, sous l'influence du Tractatus de Wittgenstein, Schlick a été conduit à faire du problème de la connaissance (qui était l'objet de sa Théorie générale de la connaissance) un cas particulier d'un problème plus général : celui de l'expression à travers le langage. Le caractère formel de la connaissance découle donc de la nature du langage. C'est pourquoi Forme et contenu traite successivement de la nature de l'expression (première conférence), de la nature de la connaissance (deuxième conférence) et de sa validité (troisième conférence). – Notes, pp. 175-178 ; Index des noms propres, p. 179 ; Table des matières, pp. 181-182.
F. F.