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COLLECTIF

L’Empirisme logique à la limite. Schlick, le langage et l’expérience

  • Pages : 178
  • Collection : CNRS Philosophie
  •  
  • Support : Document imprimé
  • Edition : Original
  • Ville : Paris
  •  
  • ISBN : 2-271-06428-7
  •  
  • Date de création : 04-01-2011
  • Dernière mise à jour : 17-10-2015

Résumé :

Français

Issu d’un Colloque organisé en mars 2004 au Collège de France, cet ouvrage est le premier consacré à Moritz Schlick en français. Fondateur du Cercle de Vienne, Moritz Schlick défend une version extrême de l’idée, soutenue par le structuralisme logique, que le langage décrit la forme de notre expérience, mais que le contenu de celle-ci reste inexprimable : niant que les intuitions entrent dans la connaissance, il rejette le kantisme et met en péril les bases de son propre empirisme. – L’analyse se développe selon trois niveaux, correspondant aux trois parties de l’ouvrage, – l’examen des rapports entre la pensée de Schlick et la tradition kantienne (Kant, le néo-kantisme et le “kantisme analytique” de Sellars); – la confrontation de cette pensée à l’empirisme classique et à une autre variante de l’empirisme logique (Carnap); – le débat sur la thèse de l’inexprimabilité du contenu, au travers notamment d’une confrontation avec les idées de Wittgenstein, qui fut longtemps l’un des interlocuteurs privilégiés de Schlick. M.-M. V.

 

Résumé :

Français

Issu d’un Colloque organisé en mars 2004 au Collège de France, cet ouvrage est le premier consacré à Moritz Schlick en français. Fondateur du Cercle de Vienne, Moritz Schlick défend une version extrême de l’idée, soutenue par le structuralisme logique, que le langage décrit la forme de notre expérience, mais que le contenu de celle-ci reste inexprimable : niant que les intuitions entrent dans la connaissance, il rejette le kantisme et met en péril les bases de son propre empirisme. – L’analyse se développe selon trois niveaux, correspondant aux trois parties de l’ouvrage, – l’examen des rapports entre la pensée de Schlick et la tradition kantienne (Kant, le néo-kantisme et le “kantisme analytique” de Sellars); – la confrontation de cette pensée à l’empirisme classique et à une autre variante de l’empirisme logique (Carnap); – le débat sur la thèse de l’inexprimabilité du contenu, au travers notamment d’une confrontation avec les idées de Wittgenstein, qui fut longtemps l’un des interlocuteurs privilégiés de Schlick. M.-M. V.

 

Articles :

pages 17 à 28

Schlick et le kantisme

BONNET Christian

pages 29 à 49

Espace(s) intuitif(s) et espace physique. Schlick et les néokantiens face au problème de l’Esthétique transcendantale

DE CALAN Ronan

pages 51 à 69

Comment être kantien et empiriste ? Schlick et Sellars lecteurs de Kant

GRELLARD Florent

pages 73 à 85

Schlick et le problème du nouveau. Empirisme ou réalisme ?

BENOIST Jocelyn

pages 87 à 108

Le structuralisme logique en question : Schlick vs Carnap

CHAPUIS-SCHMITZ Delphine

pages 111 à 135

Inexprimabilité du contenu et langage privé. Schlick au prisme de Wittgenstein

ROSAT Jean-Jacques

pages 137 à 162

La “thèse de l’inexprimabilité du contenu” a-t-elle été réfutée ?

BOUVERESSE Jacques

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