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Bergson et ses contemporains : le problème philosophique de l’homme entre vie et connaissance
Frédéric WORMSSous la direction de Frédéric WORMSDans Le Moment 1900 en philosophie - 2004
Guest editor’s introduction
Wolfram HINZENSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2006
Psychophysical dualism from the point of view of a working psychologist
Peter C. M. MOLENAARSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2006
La théorie des passions selon Louis de La Forge
Desmond M. CLARKESous la direction de Jean GAYON, Richard M. BURIANDans Conceptions de la science : hier, aujourd’hui, demain - 2007
Connaissance et croyance : pour une épistémologie dualiste
Gabriele USBERTISous la direction de Daniel ANDLER, Pierre JACOB, Joëlle PROUST, François RÉCANATI, Dan SPERBERDans Épistémologie et cognition - 1992
Réduction et émergence
Pascal LUDWIGSous la direction de Anouk BARBEROUSSE, Denis BONNAY, Mikaël COZICDans Précis de philosophie des sciences - 2011
Identité & Survie
David Kellogg LEWIS, Richard SWINBURNE, Derek PARFITSous la direction de Mathieu MULCEY, Stéphane DUNAND, Rémi CLOT-GOUDARD, Vanessa DI MARINOÉditeur : Éditions d’Ithaque - 2015
Without Abstract
Cognitive neuroscience constitutes the third phase of development of the field of cognitive psychophysiology since it was established about half a century ago. A critical historical overview is given of this development, focusing on recurring problems that keep frustrating great expectations. It is argued that psychology has to regain its independent status with respect to cognitive neuroscience and should take psychophysical dualism seriously. A constructive quantum physical model for psychophysical interaction is presented, based on a new stochastic interpretation of the quantum potential in the de Broglie–Bohm theory. This model can be applied to analyze cognitive information processing in psychological experiments. It is shown that the quantum potential shares several features with Duns Scotus’ notion of contingent causality.
La discussion des émotions humaines proposée par La Forge doit être comprise dans son contexte historique. En tant que théorie des passions, il s’agit avant tout d’une contribution à une question plus large : comment rendre compte de l’interaction corps-esprit dans le cadre du dualisme substantiel cartésien ?
La question centrale de la théorie de la connaissance est celle de savoir à quelles conditions une croyance mérite d’être qualifiée de connaissance. Le présent article plaide pour une conception dualiste dans laquelle la connaissance est factorisée en deux composantes : l’un des facteurs est le lien causal entre l’environnement et les croyances; l’autre facteur est constitué par les relations de justification rationnelle que les différentes croyances appartenant à un système s’apportent mutuellement. Sur le plan formel, ce point de vue dualiste se traduit par un dédoublement des constantes logiques, rendant possible la coexistence d’une interprétation classique (ou réaliste) et d’une interprétation intuitionniste (ou constructiviste) des propositions de la logique épistémique.
Le débat sur le réductionnisme est essentiellement lié au débat sur le physicalisme, c'est-à-dire à celui qui discute « la thèse selon laquelle toutes les entités qui existent dans le monde sont de nature physique » (p. 232). Or ces débats sont liés à une question plus fondamentale : celle de l'unité de la science. Il y a émergence lorsque des phénomènes complexes sont systématiquement fondés sur des phénomènes plus simples sans pouvoir pourtant s'y réduire. L'émergentisme n'étant pas identifiable au réductionnisme ou au dualisme, l'auteur clarifie les distinctions entre ces différentes positions de sorte à montrer que l'émergentisme est « une forme minimale de physicalisme, excluant le dualisme des substances » (p. 238), qui n'implique pas le réductionnisme.
F. F.
Ce livre rassemble quatre articles : deux de Derek Parfit, un de David Lewis et un de Richard Swinburne, sur le thème de l’identité. Plus précisément, ces articles répondent moins à la question ontologique de l’identité (qu’est-ce qu’une personne ? quels sont les critères qui permettent de distinguer les personnes ? à quelles conditions en est-on une ?), qu’à une autre question : qu’est-ce qu’être la même personne à travers le temps ? Les traducteurs (R. Clot-Goudard, V. Di Marino, S. Dunand et M. Mulcey) donnent une présentation de ces articles de la page V à la page XIX, en précisant tout d’abord la question posée grâce à la distinction entre identité synchronique et identité diachronique : seule la deuxième, la persistance de la personne dans le temps, est abordée dans les articles. Ils rappellent ensuite l’origine de ces questions : l’opposition classique de Locke à la saisie anthropologique, juridique et morale de la notion de personne, et sa mise en avant du critère de la conscience indépendamment de tout engagement ontologique. Enfin, après avoir indiqué deux problèmes majeurs concernant le critère mémoriel (celui de la discontinuité mémorielle et celui de la circularité entre mémoire et identité), les traducteurs présentent les positions respectives de Parfit, Lewis et Swinburne, ainsi que leurs relations entre elles : le réductionnisme des deux premiers et l’attachement à l’identité des deux derniers. Le premier article de Parfit est intitulé « L’identité personnelle » et se focalise sur deux questions : la nature de l’identité personnelle et son importance. Le but est de relativiser l’importance de l’identité en insistant sur des cas tout à fait particuliers, par exemple le cas d’un homme qui se diviserait. Il apparaît que l’important est la relation de la personne à chacune des personnes résultantes : elle peut être décrite sans faire référence à l’identité ; c’est une relation qui connaît des degrés. Le deuxième article de Parfit est intitulé « L’insignifiance de l’identité » et commence par décrire les grandes positions en cours : le réductionnisme identiste, le réductionnisme constitutif et le réductionnisme éliminatif. Le but est de montrer qu’à la question de l’identité (« cette personne future sera-t-elle moi ? ») il n’y a pas toujours de réponse, voire que ce genre de question est trivial et ne concerne en réalité que notre langage. La deuxième partie de l’article défend un « réductionnisme de l’importance » : ce qui importe n’est pas l’identité personnelle mais certaines autres relations. Le troisième article, intitulé « Survie et identité », est de David Lewis et discute directement les articles précédents de Parfit. Le but est de montrer que l’identité importe tout autant que les relations décrites par Parfit, notamment la relation de connectivité entre mon état mental présent et les états mentaux qui lui succéderont, autrement dit : qu’il n’y a pas à faire jouer ces relations contre l’identité. Pour montrer l’importance d’un concept d'identité remanié, Lewis examine précisément les cas de fission d’une personne, de fusion de personnes, de longévité extrême. Le quatrième article, intitulé « L’identité personnelle : la théorie dualiste », est celui de Swinburne. Il commence par une longue description des théories habituelles : le critère corporel de l’identité personnel (Aristote), le critère mémoriel (Locke), les difficultés de ce dernier, ainsi que l’alternative entre conception simple et conception complexe de l’identité. Swinburne défend alors sa conception simple de l’identité qui est une théorie dualiste. P. F.
This book gathers four papers about identity, the two first written by Derek Parfit, the others by David Lewis and Richard Swinburne. More precisely they answer less to the ontological question of identity (What is a person? What are the criteria enabling to distinguish persons? What are the conditions to be a person?) than to another question: what is to be the same person through time? The translators (R. Clot-Goudard, V. Di Marino, S. Dunand et M. Mulcey) present the papers from page V to page XIX, precising first the question raised by means of a distinction between synchronic identity and diachronic identity: only the second, the persistence in time, is considered in the papers. They remind then the origin of these questions: Locke’s classical opposition to the anthropological, juridical and moral understanding of the concept of person, and his highlighting of the criteria of consciousness, independently of any ontological commitment. Finally, after having point out two majors problems as regards to the criteria of memory (memory’s discontinuity and circularity between memory and identity), the translators present Parfit’s, Lewis’ and Swinburne’s positions, and their relations: the reductionism of the two first and the conservation of identity in the two last. Parfit’s first papers is untitled “Personal Identity” and focus on two questions: the nature of personal identity and its importance. The aim is to put the importance of identity into perspective, concentrating on quite particular cases, for instance the case of a man who would divide himself. It appears that what is important is the relation of the person to each resulting person of the division. This relation can be described without reference to identity and is a degree-relation. Parfit’s second paper is untitled “The Unimportance of Identity” and begins with a description of the most important views about identity: the “identist” reductionism, the constitutive reductionism and the eliminativist reductionism. The aim is to show that to the identity question (“Will this future person be me?”) there is not always an answer, an even that this kind of question is trivial and is related only with our language, with our way to describe things. The second part of the paper defends a “reductionism of importance”: what matters is not personal identity but another relations. The third paper, untitled “Survival and Identity”, has been written by Lewis and discusses directly Parfit’s papers. The aim is to show that identity matters as well as the relations described by Parfit, particularly the relation of connectivity between my present mental state and mental states that will succeed to it. In order to show it Lewis considers precisely the cases of fission, fusion and extreme longevity. The third paper, untitled “Personal Identity: The Dualist Theory”, has been written by Richard Swinburne. It begins with a long description of current theories: the bodily criteria of personal identity (Aristotle), the memory criteria (Locke), the difficulties of this last theory, the difference between simple view and complex view of identity. Swinburne defends then his simple view of identity, which is a dualist theory. P. F.