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3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Le Hasard au cœur de la cellule. Probabilités, déterminisme, génétique
Sous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Marc SILBERSTEIN, Olivier GANDRILLON, Michel MORANGEÉditeur : Syllepse - 2009
Quand la chimie interroge l'origine du vivant
Laurent BOITEAUSous la direction de François PÉPINDans Les matérialismes et la chimie - 2012
Les structures de l'ADN
Claude HÉLÈNESous la direction de Catherine ALLAISDans La Recherche sur la génétique et l'hérédité - 1985
Théorie cellulaire et synthèse morphologique
François DUCHESNEAUSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, François DUCHESNEAU, Michel MORANGEDans Claude Bernard. La méthode de la physiologie - 2013
Définir la vie en biologie : trois problèmes
Gladys KOSTYRKASous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
Cellule et cellule souche : extension et définition
Laurent LOISON, Lucie LAPLANESous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
Depuis dix ans, il se produit une véritable révolution en biologie moléculaire dont toutes les conséquences n’ont pas encore été tirées. La biologie a toujours été dominée par des théories déterministes, voire finalistes. Pourtant, de nombreuses données expérimentales se sont accumulées, démontrant l’existence de phénomènes probabilistes (liés au hasard) dans l’expression des gènes et dans le développement des embryons. Cela bouleverse profondément notre vision classique qui est au contraire celle d’un vivant finement ordonné par l’information génétique. Ce livre pluridisciplinaire fait le point sur cette question. Il réunit des articles des meilleurs spécialistes français du sujet, biologistes ou philosophes de la biologie. Les biologistes décrivent les travaux les plus récents en biologie moléculaire démontrant les phénomènes aléatoires dans le fonctionnement de la cellule et leurs conséquences pour la compréhension de maladies comme le cancer. Les philosophes explicitent les concepts de probabilité et de déterminisme afin de situer tous les contresens à éviter dans leur application à la biologie. – Au-delà des seuls biologistes, Le Hasard au coeur de la cellule intéressera tous ceux qui veulent comprendre les enjeux de la recherche en biologie, notamment en ce qui concerne le déterminisme génétique qui fait l’objet de polémiques incessantes. M.-M. V.
Question philosophique et historique, l’origine de la vie est aussi fondamentale pour la chimie qui représente certainement l’échelle d’organisation où s’amorce la différence entre matière inanimée et matière vivante (cette dernière ne pouvant plus être simplement identifiée à la matière organique). Si le vivant échappe à toute définition exhaustive, ses caractéristiques chimiques et ses bases moléculaires représentent autant de pistes pour tenter de cerner son origine dans une approche scientifique où l’évolution chimique est l’hypothèse la plus solide. Cependant, en tant que phénomène historique l’apparition du vivant échappe en partie à la chimie, qui doit se contenter de proposer des scénarios faute de disposer d’archives exploitables ; surtout le temps de la chimie (science statistique) n’est pas le temps de l’histoire. Pour dépasser ce paradoxe apparent, et aussi pour savoir appréhender des aspects propres au vivant (complexité, dynamique, autoreproduction, auto-organisation, structures multi-échelles, etc.), la chimie doit en quelque sorte sortir d’elle-même et s’allier à d’autres sciences pour devenir chimie systémique, trouvant là une occasion de (re)devenir « histoire naturelle ». L. B.
Besides a philosophical and historical question, the origin of life is also a fundamental one for chemistry, as it is certainly the organisation level wherethe difference initiates beween inanimate and living matter (meanwhile the latter can no longer be simply identified to organic matter). Although life is beyondany exhausting definition, its chemical features and molecular bases provide as many insights to attempt to search for its origin within the scope of a scientific approach, where molecular evolution is the most consistent hypothesis. However, as an historical phenomenon the emergence of life partly eludes chemistry, the latter is only able to propose scenarios since archives are missing ; moreover, time is different in chemistry (statistical science) than in history. To overcome this apparent paradox, and to be able to catch features specific of life (e.g. complexity, dynamics, self-reproduction, self-organisation, multi-scale structures…), chemistry somehow needs to get out of itself and to cooperate with other scientific fields, so as to become ‘systems chemistry’, thus getting an opportunity to be (again) natural history. L. B.
Loin d'être figée, la molécule d'ADN est en réalité le siège de mouvements incessants qui lui font adopter localement des structures variables. Le présent article présente ces avatars de la double hélice comme autant de stratégies qui permettent à la cellule de régler avec le maximum d'efficacité l'activité des gènes. – [La Recherche, mai 1984].
Des rapports entretenus dans les années 1850 avec les diverses théories de l'école de physiologie allemande dirigée par Johannes Peter Müller jusqu'aux Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux végétaux et aux animaux (1878), en passant par les Leçons sur les propriétés des tissus vivants (1866), cet article étudie la tension qui anime, dans la constitution de la physiologie bernardienne, l'articulation entre deux systèmes de lois : ceux déterminant respectivement les processus de formation de l'organisme (théorie cellulaire) et ses fonctions opératoires (synthèse morphologique). F. F.
Cet article explore trois problèmes : 1° savoir dans quelle mesure les biologistes ont besoin d’une définition de la vie ; 2° celui de la pluralité des définitions dont le concept de vie fait l’objet ; 3° le problème du statut de certaines entités à la frontière de l’inerte et du vivant (spores, virus, prions) qui rendent difficile toute définition de la vie. Son objectif est aussi d’expliquer pourquoi il existe actuellement plusieurs définitions de la vie.
F. F.
À partir des trois caractéristiques définitoires du concept de cellule (unité de structure, unité de fonction, unité de reproduction), cet article vise à explorer les caractéristiques du concept de cellule souche et les débats méthodologique, définitionnel et ontologique qu’il suscite.
F. F.