Ce chapitre prolonge le
précédent en reprenant les analyses de Judith Butler à la lumière du concept de
« vulnérabilité ». L’autrice montre comment le souci des autres est
constitutif d’une fragilité et d’une dépendance autour desquelles s’articule
puissamment le souci de soi, c’est-à-dire l’exigence éthico-naturelle de
persévérer dans son être (Spinoza, Éthique,
III, 6).
V. B.