La détresse existentielle s’appréhende de manière empirique. Face à la fin des identités sociales et des rôles sociaux endossés au cours de l’existence, se pose la question de « bien mourir ». Accorder une importance plus grande au présent, à son corps, réfléchir à ce qui peut donner encore sens et unité à sa vie, voilà ce qui se joue dans ce moment de désarroi et de finitude.
S. A.