« La durabilité comme symbiose : qu’est-ce que cela nécessiterait ? »

Chapitre d'ouvrage

« La durabilité comme symbiose : qu’est-ce que cela nécessiterait ? »


Auteur :
  • Pages : 131 à 142
  • Support : Document imprimé
  • Langue : Français
  • ISBN : 978-2-84867-596-1
  • Date de création : 21/12/2017
  • Dernière mise à jour : 21/12/2017

Aucune information sur les auteurs de paratexte n'a été enregistrée pour ce document

Aucune élément de paratexte n'a été enregistré pour ce document

Résumé 

Français

Cet article soutient que la (haute) technologie, ainsi que l’ingéniosité humaine, sont nécessaires pour réaliser la symbiose mutualiste préconisée par Leopold entre l’Homme et le système terrestre. Il présente la symbiose mutualiste comme un état thermodynamique dans lequel des organismes partagent une énergie libre pour se soutenir mutuellement et survivre. Le mutualisme se caractérise principalement par la modulation d’un flux d’énergie externe qui renvoie l’énergie libre dans le système biotique hôte. Un mode de vie durable pour l’Homme sur Terre sera forcément symbiotique, et nécessitera une haute technologie. L’exemple de la remise en état des sols montre qu’une agriculture symbiotique est possible, pour peu qu’elle soit hautement technologique. La créativité humaine (et non le retour à des conditions de vie austères) peut résoudre le problème du taux de retour énergétique et de la qualité de l’énergie nécessaires à une culture technologique non basée sur la seule énergie fossile. Ph. S.

Mots-clés