Cet article aborde les rapports de Claude Bernard au vitalisme d'une double manière : 1° en confrontant sa physiologie expérimentale à une conception transhistorique du vitalisme qui n'est ni plus ni moins qu'une métaphysique de la vie et 2° en montrant comment sa propre méthode se nourrit de textes s'inscrivant dans – ou renvoyant à – la querelle historique du vitalisme. F. F.