Cet article étudie la formation des femmes-peintres à Paris au tournant du XIXe et XXe siècles. Basé sur les journaux écrits par deux femmes rêvant de devenir peintres professionnelles, Marie Bashkirtseff (1858-1884) et Aline Réveillaud de Lens (1881-1925), il présente les lieux de formation en peinture les plus importants de Paris : l’École des beaux-arts et l’Académie Julian.

P. V.

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“Monsieur Ingres ! Ora pro nobis !” La formation des femmes-peintres à Paris au tournant du siècle, l’École des beaux-arts et l’Académie Julian

  • Pages : 105 à 120
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  • Date de création : 08-07-2022
  • Dernière mise à jour : 08-07-2022

Résumé :

Français

Cet article étudie la formation des femmes-peintres à Paris au tournant du XIXe et XXe siècles. Basé sur les journaux écrits par deux femmes rêvant de devenir peintres professionnelles, Marie Bashkirtseff (1858-1884) et Aline Réveillaud de Lens (1881-1925), il présente les lieux de formation en peinture les plus importants de Paris : l’École des beaux-arts et l’Académie Julian.

P. V.

 

Résumé :

Français

Cet article étudie la formation des femmes-peintres à Paris au tournant du XIXe et XXe siècles. Basé sur les journaux écrits par deux femmes rêvant de devenir peintres professionnelles, Marie Bashkirtseff (1858-1884) et Aline Réveillaud de Lens (1881-1925), il présente les lieux de formation en peinture les plus importants de Paris : l’École des beaux-arts et l’Académie Julian.

P. V.

 
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