Cet article analyse l’importance des écoles primaires dans l’espace urbain français au XVIIe siècle et présente les débuts de l’éducation des filles pauvres. Après un rapide survol de l’historiographie du sujet, il décrit les grandes lignes du développement de la scolarisation des filles en France moderne et donne l’exemple des écoles caritatives lyonnaises qui semblent constituer une sorte d’archétype de l’éducation des filles de l’Ancien Régime.
P. V.