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MONOGRAPHIE

Pensée, symbole et représentation. Logique et psychologie chez Frege et Husserl

Résumé :

Français

Confrontant les pensées de Frege et de Husserl à propos du psychologisme, l’ouvrage pose la question de savoir comment ces deux penseurs ont pu à la fois lutter contre l’influence grandissante de ce courant et parvenir à une telle incompréhension mutuelle. La différence de perspective sur les sciences mathématiques est à l’origine de leur opposition sur le statut de la logique et de son rapport à la pensée. S’ils s’accordent pour reconnaître que l’arithmétique implique le recours à la pensée, Frege parvient à une logique symbolique, et Husserl à une logique transcendantale, deux perspectives qui supposent des idées très différentes de ce que signifie «penser». À terme, c’est une divergence plus profonde sur le rapport de la pensée à la nécessité et à la liberté qu’il s’agira d’explorer. – Introduction : «Problèmes de fondements»; – Chap. 1, «La langue caractéristique pour penser»; – Chap. 2, «Les fondements du calcul : l’arithmétique et l’algèbre»; – Chap. 3, «De l’incomplétude de la représentation à la complétude de la pensée»; – Chap. 4, «Les lois logiques comme fondement de la pensée»; – Chap. 5, «L’arithmétique dans les limites de la représentation»; – Chap. 6, «Le symbolique et l’idéal»; – Chap. 7, «Idéalisation et idéalisme. La pensée peut-elle être neutre ?»; – Chap. 8, «Logique mathématique universelle comme fondement de la pensée»; – Chap. 9, «Des fondements de la logique». – Conclusion : «De la représentation à la pensée». M.-M. V.

 

Résumé :

Français

Confrontant les pensées de Frege et de Husserl à propos du psychologisme, l’ouvrage pose la question de savoir comment ces deux penseurs ont pu à la fois lutter contre l’influence grandissante de ce courant et parvenir à une telle incompréhension mutuelle. La différence de perspective sur les sciences mathématiques est à l’origine de leur opposition sur le statut de la logique et de son rapport à la pensée. S’ils s’accordent pour reconnaître que l’arithmétique implique le recours à la pensée, Frege parvient à une logique symbolique, et Husserl à une logique transcendantale, deux perspectives qui supposent des idées très différentes de ce que signifie «penser». À terme, c’est une divergence plus profonde sur le rapport de la pensée à la nécessité et à la liberté qu’il s’agira d’explorer. – Introduction : «Problèmes de fondements»; – Chap. 1, «La langue caractéristique pour penser»; – Chap. 2, «Les fondements du calcul : l’arithmétique et l’algèbre»; – Chap. 3, «De l’incomplétude de la représentation à la complétude de la pensée»; – Chap. 4, «Les lois logiques comme fondement de la pensée»; – Chap. 5, «L’arithmétique dans les limites de la représentation»; – Chap. 6, «Le symbolique et l’idéal»; – Chap. 7, «Idéalisation et idéalisme. La pensée peut-elle être neutre ?»; – Chap. 8, «Logique mathématique universelle comme fondement de la pensée»; – Chap. 9, «Des fondements de la logique». – Conclusion : «De la représentation à la pensée». M.-M. V.

 
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