Dans ce chapitre, Richard Karban s'intéresse à la capacité des plantes à se percevoir elles-mêmes et leur environnement, ainsi qu'à leur façon de réagir à ces informations. L'ensemble de ces signaux émis et reçus peuvent constituer ce que l'auteur, à l'appui de la linguistique, nomme un « langage ». Ce chapitre distingue deux sortes de communication, l'une pour la lumière et l'autre pour se défendre contre les risques d'attaques d'herbivores ou d'agents pathogènes. Cependant, l'existence singulière de la plante, qui, contrairement à l'animal, ne possède pas de système nerveux central, conduit à penser un style de communication différent de celui de l'animal.

G. H.

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ARTICLE

The Language of Plant Communication

(and How It Compares to Animal Communication)

  • Pages : 3 à 26
  •  
  • Edition : Originale
  • Ville : Minneapolis
  •  
  •  
  • Date de création : 12-07-2019
  • Dernière mise à jour : 12-07-2019

Résumé :

Français

Dans ce chapitre, Richard Karban s'intéresse à la capacité des plantes à se percevoir elles-mêmes et leur environnement, ainsi qu'à leur façon de réagir à ces informations. L'ensemble de ces signaux émis et reçus peuvent constituer ce que l'auteur, à l'appui de la linguistique, nomme un « langage ». Ce chapitre distingue deux sortes de communication, l'une pour la lumière et l'autre pour se défendre contre les risques d'attaques d'herbivores ou d'agents pathogènes. Cependant, l'existence singulière de la plante, qui, contrairement à l'animal, ne possède pas de système nerveux central, conduit à penser un style de communication différent de celui de l'animal.

G. H.

 

Résumé :

Français

Dans ce chapitre, Richard Karban s'intéresse à la capacité des plantes à se percevoir elles-mêmes et leur environnement, ainsi qu'à leur façon de réagir à ces informations. L'ensemble de ces signaux émis et reçus peuvent constituer ce que l'auteur, à l'appui de la linguistique, nomme un « langage ». Ce chapitre distingue deux sortes de communication, l'une pour la lumière et l'autre pour se défendre contre les risques d'attaques d'herbivores ou d'agents pathogènes. Cependant, l'existence singulière de la plante, qui, contrairement à l'animal, ne possède pas de système nerveux central, conduit à penser un style de communication différent de celui de l'animal.

G. H.

 
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