D'après Armstrong, les lois de la nature sont des relations de nécessitation de second-ordre entre des propriétés de premier ordre (des universaux) purement qualitatives. Stephen Mumford compare cette théorie à une ontologie de propriétés dispositionnelles (des propriétés primitives ayant des pouvoirs causaux) et défend cette dernière, soutenant que les dispositions sont bien réelles. Il argue notamment qu'il existe des potentialités non-actuelles.
B.L.B.