Logo Sips
Accueil

Abécédaire

Recherche

Intranet

Contact

Système d'information en philosophie des sciences

Logo Sips
ImprimerEnvoyer le lien

ARTICLE

La violence dans le cerveau

Une critique de la contribution des neurosciences sociales au droit criminel

  • Pages : 155 à 188
  •  
  • Support : Document imprimé
  • Edition : Originale
  •  
  • Institution : Université du Maryland
  •  
  • Date de création : 08-11-2013
  • Dernière mise à jour : 22-04-2015

Résumé :

Français

La question abordée dans cet article est la suivante: peut-on apporter une réponse purement physiologique à la question de savoir ce qui fait que, dans des circonstances identiques, un individu commettra des crimes violents quand un autre ne le fera pas? L'auteur revient sur la prétention des recherches en droit et neurosciences à apporter une réponse qui passe par l'identification des bases biologiques de la criminalité. Dans une première partie, sont présentés les arguments censés démontrer une relation causale entre conduite violente et dysfonctionnement du cerveau. Dans une deuxième partie, est analysée la thèse de l'inscription de la violence criminelle dans le cerveau. Enfin, après que cette thèse ait été critiquée, des objections sont faites au réductionnisme propre à ces neurosciences. P. F.

 

Résumé :

Français

La question abordée dans cet article est la suivante: peut-on apporter une réponse purement physiologique à la question de savoir ce qui fait que, dans des circonstances identiques, un individu commettra des crimes violents quand un autre ne le fera pas? L'auteur revient sur la prétention des recherches en droit et neurosciences à apporter une réponse qui passe par l'identification des bases biologiques de la criminalité. Dans une première partie, sont présentés les arguments censés démontrer une relation causale entre conduite violente et dysfonctionnement du cerveau. Dans une deuxième partie, est analysée la thèse de l'inscription de la violence criminelle dans le cerveau. Enfin, après que cette thèse ait été critiquée, des objections sont faites au réductionnisme propre à ces neurosciences. P. F.

 
Haut de pageRetour à la page précédente