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THÈSE

Le vivant et l'indéterminé

Thèse de doctorat : Philosophie : Université de Poitiers : 2006, sous la direction de Jean-Louis Vieillard-Baron

  • Année : 2006
  • Pages : 314
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  • Support : Document imprimé
  • Ville : [s.l.]
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  • Date de création : 19-10-2012
  • Dernière mise à jour : 19-10-2012

Résumé :

Français

L'action intentionnelle contredit le déterminisme du fonctionnement biologique et nous ne comprenons pas comment l'intention agit sur le corps. La physique quantique résout la contradiction, et le cerveau s'avère nécessairement quantique. La genèse de l'intention peut être décrite comme une émergence, terme qui masque un indéterminisme fondamental. Ce double indéterminisme permet l'action intentionnelle. En conséquence, les résultats objectifs des actions intentionnelles ressemblent à ceux qui résultent de l'algorithme darwinien combinant variation et sélection. Une évolution phylogénétique, continuité inconcevable mais réelle, apparaît, qui va de l'organisme le plus simple à l'espèce humaine, du "comme si c'était intentionnel" à l'intentionnalité véritable. La seule solution pour la relation entre intention et corps exige une reconnaissance de la validité du monisme et du dualisme, ce qui n'est pas concevable, mais rappelle les conclusions de la physique quantique elle-même. – Bibliographie, pp. 296-303 ; Index.

 

Résumé :

Français

L'action intentionnelle contredit le déterminisme du fonctionnement biologique et nous ne comprenons pas comment l'intention agit sur le corps. La physique quantique résout la contradiction, et le cerveau s'avère nécessairement quantique. La genèse de l'intention peut être décrite comme une émergence, terme qui masque un indéterminisme fondamental. Ce double indéterminisme permet l'action intentionnelle. En conséquence, les résultats objectifs des actions intentionnelles ressemblent à ceux qui résultent de l'algorithme darwinien combinant variation et sélection. Une évolution phylogénétique, continuité inconcevable mais réelle, apparaît, qui va de l'organisme le plus simple à l'espèce humaine, du "comme si c'était intentionnel" à l'intentionnalité véritable. La seule solution pour la relation entre intention et corps exige une reconnaissance de la validité du monisme et du dualisme, ce qui n'est pas concevable, mais rappelle les conclusions de la physique quantique elle-même. – Bibliographie, pp. 296-303 ; Index.

 
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