L'objectif de cet article est double : il s'agit d'une part de montrer que la métaphysique de Gödel et la cosmologie de Whitehead peuvent être identifiées à des monadologies, c'est-à-dire à des théories de la science articulant la dynamique intérieure d'entités primitives et irréductibles (monades pour Gödel, entités actuelles pour Whitehead) et le système intégral de leurs relations mutuelles (univers) ; d'autre part que leurs interprétations de la théorie de la relativité sont liées à leurs monadologies. – Références bibliographiques, p. 51 ; Notes, pp. 52-53.
F. F.