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MONOGRAPHIE

La Méthode scientifique en philosophie : notre connaissance du monde extérieur

  • Année : 2002
  • Éditeur : Payot
  • Pages : 290
  • Collection : Petite Bibliothèque Payot
  •  
  • Support : Document imprimé
  • Edition : Traduction de l’anglais
  • Ville : Paris
  •  
  • ISBN : 2-228-89529-6
  •  
  • Date de création : 04-01-2011
  • Dernière mise à jour : 17-10-2015

Résumé :

Français

Conférences données sous les auspices des Lowell Lectures à Boston (mars-avril 1914). – La méthode analytico-logique en philosophie, selon Russell, se doit d’obéir à une «rigueur vraiment scientifique». Elle consistera à justifier celles de nos croyances dérivées qui peuvent l’être, en mettant au jour les déductions logiques sur lesquelles elles reposent. Sa tâche négative consistera à faire naître le doute, et à évaluer le degré de probabilité de celles qui ne sont pas susceptibles de pareilles élucidations. Russell donne deux exemples d’application de cette méthode, –1/ à l’espace de la géométrie, et 2/ à l’espace de la physique. Très proche de l’école néo-réaliste américaine, ce système trouve sa véritable envergure dans un dépassement de la crise d’hégélianisme qui a secoué l’Angleterre depuis les années 1870, pour renouer avec la grande tradition philosophique anglaise, celle de Locke, Berkeley et Hume. – I. La philosophie officielle; II. L’Essence de la Philosophie : la logique; III. Notre connaissance du Monde extérieur; IV. Monde physique et monde sensible; V. La théorie du continu; VI. Historique du Problème de l’infini; VII. La théorie positive de l’infini; VIII. La notion de cause : application au problème de la liberté. M.-M. V.

 

Résumé :

Français

Conférences données sous les auspices des Lowell Lectures à Boston (mars-avril 1914). – La méthode analytico-logique en philosophie, selon Russell, se doit d’obéir à une «rigueur vraiment scientifique». Elle consistera à justifier celles de nos croyances dérivées qui peuvent l’être, en mettant au jour les déductions logiques sur lesquelles elles reposent. Sa tâche négative consistera à faire naître le doute, et à évaluer le degré de probabilité de celles qui ne sont pas susceptibles de pareilles élucidations. Russell donne deux exemples d’application de cette méthode, –1/ à l’espace de la géométrie, et 2/ à l’espace de la physique. Très proche de l’école néo-réaliste américaine, ce système trouve sa véritable envergure dans un dépassement de la crise d’hégélianisme qui a secoué l’Angleterre depuis les années 1870, pour renouer avec la grande tradition philosophique anglaise, celle de Locke, Berkeley et Hume. – I. La philosophie officielle; II. L’Essence de la Philosophie : la logique; III. Notre connaissance du Monde extérieur; IV. Monde physique et monde sensible; V. La théorie du continu; VI. Historique du Problème de l’infini; VII. La théorie positive de l’infini; VIII. La notion de cause : application au problème de la liberté. M.-M. V.

 
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