L'auteur analyse la position de Spencer face au problème des origines de la vie dans les éditions successives des Principes de biologie et les textes qui lui sont adjoints progressivement. Il montre comment l'avènement de la théorie de l'évolution dans la seconde moitié du XIXe siècle implique une reformulation du problème en question qui favorise le développement de l'abiogenèse évolutive, contre la théorie des générations spontanées.
F. F.