Dans une première partie, on définit et on met en évidence le rôle paradigmatique du calcul (dans l'acception turingienne du terme). On discute ensuite de la possibilité de rendre compte de la perception (distinguée de la reconnaissance de forme) à l'intérieur de ce paradigme. Après avoir conclut négativement, on s'interroge sur la mutation anthropologique que révèle l'informatisation de la science et de la société.