Cet ouvrage aborde la question de la philosophie de la biologie sous l’angle des problématiques que la biologie contemporaine adresse au philosophe. Comment la science du vivant se transforme-t-elle? Sur quels modèles spécifiques se fonde-t-elle? Peut-elle s’émanciper des modèles des sciences physiques? L’analyse est conduite selon les grands thèmes qui traversent l’épistémologie de la biologie : la notion problématique d’espèce (Partie I. On y trouvera une analyse du concept d’espèce ainsi qu’un questionnement de sa taxinomie), la question des modèles biologiques (Partie II : Téléologie, lois fonctionnelles, causalité biologique, la modélisation de l’organisation vitale), les interrogations de la génétique (Partie III : Génétique mendélienne et génétique moléculaire, l’antiréductionnisme de Hull, les limites des modèles réductionnistes raffinés, l’intégration des théories génétiques), la question de la structure des théories biologiques (Partie IV : Structure selon l’approche syntaxique ou selon l’approche sémantique), puis enfin l’analyse de la théorie synthétique de l’évolution et son profil épistémologique (Partie V : Le modèle central de la sélection naturelle, le problème de l’unité de sélection, la sélection au niveau de l’espèce). M.-M. V.
Cet ouvrage aborde la question de la philosophie de la biologie sous l’angle des problématiques que la biologie contemporaine adresse au philosophe. Comment la science du vivant se transforme-t-elle? Sur quels modèles spécifiques se fonde-t-elle? Peut-elle s’émanciper des modèles des sciences physiques? L’analyse est conduite selon les grands thèmes qui traversent l’épistémologie de la biologie : la notion problématique d’espèce (Partie I. On y trouvera une analyse du concept d’espèce ainsi qu’un questionnement de sa taxinomie), la question des modèles biologiques (Partie II : Téléologie, lois fonctionnelles, causalité biologique, la modélisation de l’organisation vitale), les interrogations de la génétique (Partie III : Génétique mendélienne et génétique moléculaire, l’antiréductionnisme de Hull, les limites des modèles réductionnistes raffinés, l’intégration des théories génétiques), la question de la structure des théories biologiques (Partie IV : Structure selon l’approche syntaxique ou selon l’approche sémantique), puis enfin l’analyse de la théorie synthétique de l’évolution et son profil épistémologique (Partie V : Le modèle central de la sélection naturelle, le problème de l’unité de sélection, la sélection au niveau de l’espèce). M.-M. V.