Partant du constat que, pour les théoriciens de la connaissance et les épistémologues critiques, les thèses poppériennes et leur interprétation ne font pas l’unanimité, l’article interroge précisément d’où viennent ces divergences, et quels sont réellement les points de la philosophie des sciences poppérienne qui fondent les critiques des philosophes et hommes de sciences et, en particulier, la critique d’Angèle Kremer-Marietti.