La question posée ici est de savoir si la critique meyersonienne du positivisme, conçue à son origine contre Comte et Mach, est pertinente aussi par rapport au néopositivisme du Cercle de Vienne. S’appuyant sur la thèse d’Albert E. Blumberg, soutenue à Vienne en 1930 sous la direction de Schlick, l’auteur montre que l’un des points principaux de désaccord entre Meyerson et les viennois se porte sur le principe d’identité.