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ARTICLE

Deux positions de l’historien face aux sciences

  • Pages : 443 à 452
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  • Date de création : 04-01-2011
  • Dernière mise à jour : 18-02-2015

Résumé :

Français

Cet article présente et compare deux ouvrages correspondant à deux approches de l'histoire des sciences. – Le premier, Electrodynamics from Ampère to Einstein de Olivier Darrigol (Oxford, Oxford University Press, 2000, 532 p.) expose les grands faits de l'histoire de l'électrodynamique au XIXe siècle. L'A. le présente comme « une somme incontournable » (p. 452) parcourue notamment par le thème de la « communication entre les traditions scientifiques » (p. 451). – Le second, Heinrich Hertz. L'administration de la preuve de Michel Atten et Dominique Pestre (Paris, PUF, coll. « Philosophies », 2002, 128 p.) traite d'une seule expérience de Hertz en tant qu'elle constitue une « réflexion philosophique sur l'administration et la réception de la preuve dans les sciences physiques » (p. 443). L'A. explique entre autres qu'une telle démarche veut « raconter une histoire, telle qu'elle fut perçue, vécue » (p. 444) par souci de fidélité et parce que la science est « avant tout une activité humaine » (p. 445).

 

Résumé :

Français

Cet article présente et compare deux ouvrages correspondant à deux approches de l'histoire des sciences. – Le premier, Electrodynamics from Ampère to Einstein de Olivier Darrigol (Oxford, Oxford University Press, 2000, 532 p.) expose les grands faits de l'histoire de l'électrodynamique au XIXe siècle. L'A. le présente comme « une somme incontournable » (p. 452) parcourue notamment par le thème de la « communication entre les traditions scientifiques » (p. 451). – Le second, Heinrich Hertz. L'administration de la preuve de Michel Atten et Dominique Pestre (Paris, PUF, coll. « Philosophies », 2002, 128 p.) traite d'une seule expérience de Hertz en tant qu'elle constitue une « réflexion philosophique sur l'administration et la réception de la preuve dans les sciences physiques » (p. 443). L'A. explique entre autres qu'une telle démarche veut « raconter une histoire, telle qu'elle fut perçue, vécue » (p. 444) par souci de fidélité et parce que la science est « avant tout une activité humaine » (p. 445).

 
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