Plutôt que de proposer une philosophie de la biologie, l’auteur parle ici d’une épistémologie des pratiques biologiques, pour aborder quelques-uns des grands thèmes de Marjorie Grene, en particulier la question de la relation entre «le connaissant» et «le connu», relation interprétée comme faisant référence à la «pratique scientifique», avec la relation complémentaire entre le connaissant et l’inconnu.