La Vitesse de l’ombre. Aux limites de la science

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Monographie

  • Année : 2006
  • Éditeur : Seuil
  • Pages : 266
  • Collection : Science ouverte
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  • Support : Document imprimé
  • Format : 22 cm.
  • Langues : Français
  • Édition : Original
  • Ville : Paris
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  • ISBN : 2-02-088166-7
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  • Date de création : 04-01-2011
  • Dernière mise à jour : 13-10-2015

Résumé

Français

Recueil de textes (révisés et souvent augmentés) parus dans diverses revues, des ouvrages collectifs ou des actes de colloques. – Ces essais esquissent une «critique de science». Non pas une critique de la science où elle serait d’emblée mise en accusation, mais plutôt un question- nement sur ses tenants et aboutissants, qui aide à en comprendre, sans les séparer, les contenus, la nature et les enjeux. La question vers laquelle convergent les textes de ce livre concernera donc surtout la crise du projet des Lumières et «la sombre perspective d’une technoscience qui ne délivrerait plus que d’obscures clartés». Mieux comprendre l’activité scientifique, c’est d’abord en explorer les limites : quelles sont les lignes de démarcation entre science et idéologie, entre connaissance et croyance, entre raison et mythe, entre progrès et régression ? – «Les Lumières et les ombres de la science. Entre obscurantisme et aveuglement», Le Bottin des Lumières, Nancy, 2005; – «À toutes vitesses. Des vitesses de la lumière à celles de l’ombre», Le Nouvel Observateur, n° HS «Génération vitesse», mars-avril 2001, p. 86-87, et Ciel & Espace, n° 430, mars 2006, p. 53-54; – «Les x couleurs de l’arc-en-ciel ou Le mystère de l’indigo», Cahiers Art-Sciences, n° 4, 1997, p. 13-27; – «La nature prise à la lettre suivi de Lois de la nature», Alliage, n° 37-38, hiver 1998-printemps 1999, p. 71-82; – «La science de l’Enfer et l’envers de la science. De Galilée au prix IgNobel», Colloque «La science et ses représentations», Bruxelles, mai 2003; – «La légende dorée de la physique moderne. Un folklore révélateur», Colloque «Science, Imaginaire, Éthique», Univ. du Québec à Montréal, nov. 2003; – «Rhapsodie einsteinienne. Deux ou trois choses que je sais d’Albert», Inédit, excepté quelques sections parues comme chroniques dans La Recherche, 2005; – «La méprise et le mépris. Impostures intellectuelles ou inculture scientifique ?», Alliage, n° 35-36, 1998, p. 27-42; – «Des limites de la physique. L’univers du savoir est-il encore en expansion ?», Le Monde, 15 août 2000; – «Le partage de l’ignorance. Production et transmission de la connaissance», Quaderni, n° 46, 2001-2002, p. 95-103, et contribution inédite aux Premières Journées Hubert Curien, Nancy, nov. 2005; – «De la connaissance comme une. Prendre la science dans le bon sens ?», Sciences et Avenir, HS n° 132, «Le bon sens et la science», oct.-nov. 2002, p. 58-63; – «La science est-elle universelle ? Une diversité sans relativité», Alliage, n° 55-56, 2005, p. 104-114; – «La nouvelle Méduse ou La science en son miroir», TLE, n° 15, 1997, p. 7-22; – «Les Muses de la science. Un oracle utopique», La Revue du Musée national des techniques, n° 32, 2001. M.-M. V.