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ARTICLE

De l’idéalité du tout et des parties à la réalité du mouvant

  • Pages : 183 à 190
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  • URL : Lien externe
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  • Date de création : 04-01-2011
  • Dernière mise à jour : 04-01-2011

Résumé :

Français

Pour Bergson, nous pensons le plus souvent dans l’espace. C’est-à-dire que nous délimitons nos idées tout comme nous découpons artificiellement en solides les choses qui nous entourent. Tout un écran de formes et de symboles nous masque alors la vraie nature de la réalité. Or, les sciences physiques mais aussi les mathématiques, qui procèdent de la même manière, manquent la vivante continuité du réel. Pour saisir cette dernière, il faut fournir tout un effort d’intuition de la durée pure, ce qui n’est pas facile. D’autant que cette intuition, qui n’est pas comparable à l’intuition intellectuelle des philosophies classiques, est l’intuition toujours mouvante d’un absolu mouvant.

 

Résumé :

Français

Pour Bergson, nous pensons le plus souvent dans l’espace. C’est-à-dire que nous délimitons nos idées tout comme nous découpons artificiellement en solides les choses qui nous entourent. Tout un écran de formes et de symboles nous masque alors la vraie nature de la réalité. Or, les sciences physiques mais aussi les mathématiques, qui procèdent de la même manière, manquent la vivante continuité du réel. Pour saisir cette dernière, il faut fournir tout un effort d’intuition de la durée pure, ce qui n’est pas facile. D’autant que cette intuition, qui n’est pas comparable à l’intuition intellectuelle des philosophies classiques, est l’intuition toujours mouvante d’un absolu mouvant.

 
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