L’A. rend ici compte des rapports entre G. Simondon et G. Canguilhem, lequel montra en quoi les théories mécanistes de l’organisme (particulièrement celle de Descartes) furent construites sur une faute logique, laquelle explique la vie par la technique tandis qu’il faut d’abord étudier le vivant pour comprendre la technique. L’A. reproche en ce sens à G. S. d’être resté trop cartésien et de voir l’origine de l’objet technique dans une représentation scientifique au lieu d’en faire une émanation du vivant.