The author aims to show that the movement of reflection understood as a present return to the foundations of the contemporary city (in the thought of J. Rawls, for example), cannot, in essence, do any more than repeat the questions and remodel (or reactualize) the replies already formulated, notably by Locke, Montesquieu, Rousseau and Kant.
L’auteur veut montrer que le mouvement de la réflexion entendue comme retour présent sur les fondements de la cité actuelle (par exemple chez J. Rawls) ne peut, pour l’essentiel, que répéter les questions et modaliser (ou réactualiser) les réponses qui furent déjà formulées, notamment par Locke, Montesquieu, Rousseau et Kant.