Dans ce dernier chapitre, l’auteur suggère une méthode possible pour argumenter en faveur du caractère objectif des probabilités, sans pour autant s’engager dans aucune position d’ordre métaphysique quant à la nature fondamentalement déterministe ou indéterministe du processus intracellulaire d’expression génétique. Sera ici privilégiée une notion d’objectivité prenant en compte le caractère inévitablement partiel des modèles que nous construisons des phénomènes réels, notion donc plus appropriée dans un cadre scientifique.