1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
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3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
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1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
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Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Moore’s utilitarianism
James Opie URMSONSous la direction de Alice AMBROSE, Morris LAZEROWITZDans G. E. Moore. Essays in retrospect - 1970
Action rationnelle et action morale. Le problème de Henry Sidgwick et des Modernes
Lukas K. SOSOESous la direction de Jean-Pierre DUPUY, Pierre LIVETDans Les Limites de la rationalité - 1997
Rationalisme, utilitarisme et anti-utilitarisme
Alain CAILLÉSous la direction de Louis-André GÉRARD-VARET, Jean-Claude PASSERONDans Le Modèle et l’enquête. Les usages du principe de rationalité dans les sciences sociales - 1995
Économie du bien-être et utilitarisme
Claude d’ ASPREMONTSous la direction de Louis-André GÉRARD-VARET, Jean-Claude PASSERONDans Le Modèle et l’enquête. Les usages du principe de rationalité dans les sciences sociales - 1995
Les destinées russes de l’énergétisme. I, Ostwald, Bogdavov,Malevitch
Leonid HELLERSous la direction de Michel PATY, Danièle GHESQUIER-POURCIN, Muriel GUEDJ, Gabriel GOHAUDans Énergie, science et philosophie au tournant des XIXe et XXe siècles - 2010
The purpose of this paper is to point out that Moore’s views contain a remarkable combination of act and rule utilitarianism. Moore holds that one could never be justified in telling a lie, not because he is an habitual rut of truth-telling. M.-M. V.
L’objet de ce travail renvoie à ce que Sidgwick appelle «dualisme de la raison pratique». Il s’agit d’en expliquer le concept et de souligner son statut dans l’éthique de Sidgwick. Sosoe montre ensuite que ce dualisme n’apparaît que parce que, dans son éthique, Sidgwick ne distingue pas clairement entre la rationalité pratique et la rationalité morale, mais établit plutôt une équation entre action rationnelle et rationalité morale. Le programme sidgwickien de la fondation de la rationalité pratique réduit sa théorie utilitariste à n’être qu’une théorie de l’action rationnelle qui, du point de vue d’une tentative de systématisation de nos raisons d’agir, entre en conflit avec l’égoïsme rationnel. Aussi l’utilitarisme de Sidgwick, selon la thèse fondamentale de Sosoe, se démarque-t-il très sensiblement de celui de Bentham et de Mill, en vertu de ladite réduction qui en fait plus une théorie générale de la rationalité pratique qu’une théorie morale proprement dite.
«Dans quelle mesure le destin des sciences sociales est-il lié à celui du principe de raison ? Dans quelle mesure, autrement dit, leur accès à cette scientificité qu’elles proclament si fort rechercher, implique-t-il qu’elles fassent l’hypothèse que l’action humaine et sociale obéit, du moins pour sa part la plus significative, à une causalité rationnelle ?». Le couplage d’une ambition théorique purement abstraite, fondée sur le fantasme de la calculabilité de l’action, et d’un message normatif coulé dans le même fantasme, a un nom et occupe une place éminente dans l’histoire de la pensée occidentale : l’utilitarisme. – Utilitarisme et modernité; – Les trois registres de l’utilitarisme (pratique et théorique; philosophique ou normatif; interactionniste).
La question de la cohérence possible des choix collectifs, telle que la pose Arrow, englobe un double point de vue, politique et économique. Le présent article rappelle que cette question a reçu une réponse complète à l’origine de la science économique, dans la philosophie morale du XVIIIe siècle : c’est la doctrine utilitariste de Hutcheson et Bentham, remise en question par Pareto avec le concept d’optimum collectif, concept conduisant lui-même à une nouvelle doctrine utilitaire désignée sous le nom de welfarism. – I. De l’utilitarisme classique au «welfarism»; – II. Le théorème de Arrow et l’utilitarisme; – III. Ordres de préférence collectifs et théorie de la justice de Rawl; – IV. Indices d’inégalité et ordres de préférence collectifs; – V. Conclusions. – Appendice : Démonstration du théorème de comparaison du leximin et de l’utilitarisme.
Ce premier volet traite plus particulièrement d’Ostwald et de son rôle d’inspirateur pour les premiers ouvrages de Bogdanov, l’un des fondateurs du Proletkult (culture du prolétariat) et de la Tektologie (science de l’organisation).