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The Foundations of Mathematics, and other Logical Essays
Frank Plumpton RAMSEYSous la direction de Richard Bevan BRAITHWAITEÉditeur : Routledge and Kegan Paul - 1965
Les groupes comme Universaux
Jean-Marie SOURIAUSous la direction de Jean-Jacques SZCZECINIARZ, Joseph KOUNEIHER, Dominique FLAMENT, Philippe NABONNANDDans Géométrie au XXe siècle, 1930-2000. Histoire et horizons - 2005
Universals: An Opinionated Introduction
David Malet ARMSTRONGÉditeur : Westview Press - 1989
Les Universaux. Une introduction partisane : Suivi de : « Quatre disputes sur les propriétés » et « Les particuliers ont leurs propriétés par nécessité »
David Malet ARMSTRONGÉditeur : Éditions d’Ithaque - 2010
Metaphysics and Scientific Realism : Essays in Honour of David Malet Armstrong
Sous la direction de Francesco F. CALEMIÉditeur : De Gruyter - 2016
Mirage Realism Revisited
Matthew TUGBYSous la direction de Francesco F. CALEMIDans Metaphysics and Scientific Realism - 2016
In Defense of Transcendant Universals
Peter VAN INWAGENSous la direction de Francesco F. CALEMIDans Metaphysics and Scientific Realism - 2016
Armstrong and Tropes
Peter SIMONSSous la direction de Francesco F. CALEMIDans Metaphysics and Scientific Realism - 2016
Tropes : For and Against
Anna-Sofia MAURINSous la direction de Francesco F. CALEMIDans Metaphysics and Scientific Realism - 2016
Although not yet 27 years of age at the time of his death, Ramsey left contributions to mathematics, logic, and economics which were of the greatest value for contemporary philosophy. The present volume contains published and unpublished papers, ranging in date from 1923 to 1929, which show the development of his philosophic thought. – Published Papers : – I. «The Foundations of Mathematics», Proceedings of the London Mathematical Society, Ser. 2, Vol. 25, Part 5, pp. 338-384. Read 12th November. 1925; – II. «Mathematical Logic», The Mathematical Gazette, Vol. 13, N° 184, pp. 185-194. October, 1926. [A paper read before the British Association, Section A, Oxford, August, 1926]; — III. «On a Problem of Formal Logic», Proceedings of the London Mathematical Society, Ser. 2, Vol. 30, Part 4, pp. 338-384. Read 13th December, 1928; – IV. «Universals», Mind, N.S., Vol. 34, N° 136, pp. 401-417. October, 1925; – V. «Note on the Preceding Paper : Universals and the “Method of Analysis”», Aristotelian Society Supplementary Volume VI, pp. 17-26. July, 1926. [Symposium with H. W. B. Joseph (i) and R. B. Braithwaite (iii)]; – VI. «Facts and Propositions», Aristotelian Society Supplementary Volume VII, pp. 153-170. July, 1927. [Symposium with G. E. Moore (ii)]; – Appendix ; «Critical Notice of L. Wittgenstein’s Tractatus Logico-Philosophicus», Mind, N.S., Vol. 32, N° 128, pp. 465-478. October, 1923. – Unpublished Papers : – VII. «Truth and Probability», 1926; – VIII. «Further Considerations : A. Reasonable Degree of Belief; B. Statistics; C. Chance», 1928; – IX. «Last Papers : A. Theories; B. General Propositions and Causality; C. Probability and Partial Belief; D. Knowledge; E. Causal Qualities; F. Philosophy», 1929. M.-M. V.
Faisant suite à Universals and Scientific Realism (Cambridge; New York : Cambridge University Press, 1978), le présent ouvrage entend nuancer et compléter certaines des positions antérieurement défendues. Cette introduction aux débats contemporains sur le problème des universaux prend désormais en compte la possibilité de développer un type particulier de nominalisme modéré « comme un rival important et tout à fait plausible du réalisme modéré à l'égard des universaux : ce serait un nominalisme modéré parce qu'il admet des propriétés et des relations, mais un nominalisme quand même parce qu'il tient les propriétés et les relations pour des particuliers plutôt que pour des universaux » (Préface, p. 11). – Le texte est structuré en sept chapitres. Le premier (intitulé « Le problème ») propose une brève introduction au problème des universaux dans laquelle Armstrong critique les formes dites « extrêmes » du nominalisme : celles qui n’admettent pas de division objective entre des classes naturelles de particuliers et des classes de particuliers qui ne sont pas naturelles. Ce chapitre introductif est suivi de deux chapitres critiques portant chacun sur une version du nominalisme austère « modéré » : le nominalisme des classes naturelles primitives (chapitre 2) et le nominalisme de la ressemblance (chapitre 3). Les deux chapitres suivants sont consacrés à des variétés du réalisme des universaux : le chapitre 4 (« Les particuliers comme faisceaux d'universaux ») discute et critique la conception des particuliers comme faisceaux d’universaux, conception attribuée à Bertrand Russell ; dans le chapitre 5 (« Les universaux comme attributs »), Armstrong expose, après avoir critiqué une conception platonicienne du réalisme des universaux, sa propre conception des universaux comme manières d’être des particuliers. Le chapitre 6 (« Les tropes »), qui précède un Récapitulatif final (Chapitre 7), est consacré à la théorie des tropes, forme libérale du nominalisme, qu’Armstrong rejette. – En Annexes, sont proposés deux articles récents de l’auteur qui fournissent une réelle valeur ajoutée à l’édition en français par rapport à l’édition originale en anglais. Le premier de ces articles, « Quatre disputes sur les propriétés » (« Four Disputes about Properties ») a été prononcé en 2004 lors des Pufendorf Lectures (et a paru in Synthèse, 144, Springer, 2005, pp. 309-320). Il prend une perspective plus générale sur la métaphysique des propriétés et met l'accent sur le débat entre les conceptions catégoriques des propriétés et les conceptions des propriétés comme pouvoirs ou dispositions. – Le second article en annexe : « Les particuliers ont leurs propriétés par nécessité » («Particulars have their Properties by necessity») ; originellement intitulé « Predication and Necessity », a été prononcé en 2004 lors des Pufendorf Lectures (et a paru in A. Chakrabarti et P.F. Strawson (dir.), Universals, Concepts and Qualities: New Essays on the Meaning of Predicates, Ashgate, 2006). Il montre en quoi le réalisme d’Armstrong a évolué ces dernières années et présente une conception novatrice de l’instanciation des universaux par les particuliers comme identité partielle entre un universel et un particulier. M.-M. V.
On ne peut qu'acquiescer avec l'éditeur scientifique de l'ouvrage, Francesco F. Calemi, lorsqu'il soutient que David Malet Armstrong peut prétendre au titre du plus grand métaphysicien, et très certainement à celui du plus important philosophe australien, du XXème siècle. L'ouvrage propose un bilan critique des recherches sur le système philosophique de Armstrong. Constitué d'une introduction et de quinze essais, celui-ci offre une discussion serrée des thèses centrales de la philosophie naturaliste de Armstrong. Mettant en lumière leur caractère systématique, l'introduction réalise le tour de force de présenter la philosophie de Armstrong dans son caractère systématique, en mettant l'accent sur cinq principes centraux de sa philosophie. 1) Le réalisme des propriétés : les propriétés telles que la rougeur du bout de mon nez lorsqu'il fait froid sont tout aussi réelles que les objets qui instancient ces propriétés. 2) Les propriétés comme universaux : les propriétés sont des entités localisées en plusieurs endroits à la fois, contre l'autre grande option réaliste à propos des propriétés, le tropisme qui identifie chaque propriété à une instance particulière. 3) La conception immanentiste d'inspiration aristotélicienne des universaux : les propriétés sont localisées dans le monde concret en étant identiques à leurs instances concrètes, contrairement à la conception transcendante, d'inspiration platonicienne, qui distingue les propriétés de leurs instances, en localisant les premières dans un monde abstrait distinct du monde concret. 4) Le réalisme scientifique : seule la physique est légitime pour dresser une liste de ces propriétés. 5) La théorie des états de choses : les propriétés et les particuliers qui instancient ces propriétés sont liés en des états de choses. Un état de choses est l'instanciation d'une propriété par un particulier, ou l'instanciation d'une relation entre deux particuliers. Les états de choses sont plus que la somme des particuliers et des propriétés, cependant, permettant d'expliquer l'instanciation comme l'existence même des états de choses. Combinant ces diverses thèses, le système d'Armstrong assimile la réalité à une hiérarchie d'états de choses, les états de choses inférieurs composant des états de choses d'ordre supérieur, l'état de choses maximal étant la totalité du monde, le cosmos. Le naturalisme d'Armstrong peut alors s'énoncer comme la thèse selon laquelle la réalité n'est rien d'autre que cette collection d'états de choses naturels et vient expliquer les autres grandes catégories (causalité, modalité, lois de la nature) à l'aide de la notion d'état de choses. Les cinq premiers essais, « Mirage Realism Revisited » de Matthew Tugby (pp. 13-29), « Ostrich Nominalism or Ostrich Platonism » de Francesco F. Calemi (pp. 31-49), « In Defense of Transcendant Universals » de Peter van Inwagen (pp. 51-70), «Armstrong and Tropes» de Peter Simons (pp. 71-83) et « Tropes: For and Against » d'Anna-Sofia Maurin (pp. 85-103) s'attachent à un ensemble de questions sur la nature des propriétés : ces dernières sont-elles des universaux ou des tropes (i.e. des propriétés particulières) ? Armstrong avait-il raison de défendre la théorie des universaux étant donné ses hypothèses de départ ? Le problème de la multi-localisation (comment une même propriété peut-elle être à différents endroits) est-il un vrai problème ? Les deux essais « Facts: An Essay in Aporetics » de William F. Vallicella (pp. 105-131) et « Armstrong's Hidden Substantialism » de Javier Cumpa (pp. 133-138) discutent l'ontologie des états de choses (i.e. des faits) qui décrit un monde naturel constitué d'états de choses. Les états de choses existent-ils ? Quels rapports entretiennent-ils avec la notion de substance ? Avec son essai « Persisting Particulars and their Properties » (pp. 139-160), Kristie Miller s'intéresse aux théories de la persistance temporelle et critique, à la suite d'Armstrong, l'endurantisme. Les trois essais « Armstrong on Dispositions and Laws of Nature » de Stephen Mumford (pp. 161-175), « Recombination for Combinatorialists » d'Andrea Borghini (pp. 177-192) et « Who's Afraid of Non-Existent Manifestations? » de Michele Paolini Paoletti (pp. 193-206) discutent de la notion de possibilité naturelle, selon diverses perspectives, en examinant la notion de propriété dispositionnelle et le principe de recombinaison. Les essais « Armstrong on Truthmaking and Realism » de Tuomas E. Tahko (pp. 207-218) et « From Translation to Truthmakers » de D. H. Mellor (pp. 219-231) portent sur le principe de vérifaction, principe selon lequel les énoncés sont rendus vrais par des morceaux du monde, les vérifacteurs, en rapport avec le réalisme et la philosophie de l'esprit. Les deux derniers chapitres « Armstrong's Supervenience and Ontological Dependence » de Francesco Orilia (pp. 233-251) et « Naturalism as a Background Metaphysics » de Paolo Valore (pp. 253-259) discutent respectivement l'ontologie de la relation de survenance et des entités survenantes et le caractère a priori de la thèse d'Armstrong selon laquelle il n'existe rien d'autre que l'espace-temps et les entités localisées en son sein. – Contents, v-viii ; Introduction de Francesco F. Calemi, pp. 1-11 (incluant une bibliographie p. 11) ; Index, pp. 261-262.
B.L.B.
L'auteur propose un réexamen de la discussion, dans les années 1970, entre Armstrong et Devitt à propos des universaux dans le cadre du réalisme immanent d'Armstrong. Devitt critiqua à l'époque Armstrong, soutenant que le problème de la multi-localisation des propriétés est un mirage - sapant ainsi la justification principale du réalisme immanent. Tugby soutient notamment qu'Armstrong ne devrait pas prendre trop au sérieux le problème de la multi-localisation. B.L.B.
Selon van Inwagen, le problème de la multi-localisation est un faux problème. Lorsqu'on demande en vertu de quoi deux choses distinctes sont blanches, on peut proposer une réponse en termes de causes efficientes ou de causes formelles. Une troisième possibilité est de proposer une réponse en terme d'analyse ontologique, comme le fait Armstrong. Selon van Inwagen, ceci est absurde. Van Inwagen critique l'utilisation faite par Armstrong de la méthode de l'inférence à la meilleure explication (méthode qui vise à sélectionner une explication parmi plusieurs explications possibles à l'aide de critères tels que l'économie théorique ou le pouvoir explicatif) et avance une forme de réalisme platonicien modéré. B.L.B.
Dans cet essai, Peter Simons soutient que la théorie des tropes se tient dans une situation dialectique au moins aussi bonne que le réalisme immanent adopté par Armstrong. Il examine ensuite le statut des tropes comme relations (par opposition aux tropes plus classiques, appréhendés comme des propriétés) et soutient que ces tropes relationnels génèrent cependant des difficultés pour le théoricien des tropes. B.L.B.
David Armstrong est le champion de la théorie des universaux immanents, à la fois contre le nominalisme, les universaux transcendants et les tropes. Cependant, Armstrong éprouve de la sympathie pour la théorie des tropes jusqu'à admettre que ces derniers sont d'excellents substituts aux universaux immanents. Dans cet essai, l'auteure examine les raisons qui poussent Armstrong à préférer le réalisme immanent à la théorie des tropes, parvenant à la conclusion selon laquelle ce dernier aurait dû être un théoricien des tropes. B.L.B.