1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
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3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Vocabulaire technique et analytique de l'épistémologie
Robert NADEAUÉditeur : Presses Universitaires de France - 1999
Les Sciences et leurs langages
Sous la direction de Henri VÉRINEÉditeur : Éditions du CTHS - 2000
Scienza e tecnica : teoria ed esperienza nelle scienze della natura
Marco BUZZONIÉditeur : Studium - 1995
Terminologie et nomenclature en géologie : exemples et réflexions
Daniel PAJAUDSous la direction de Henri VÉRINEDans Les Sciences et leurs langages - 2000
Découvertes individuelles et terminologies spécialisées
Georges DEICHASous la direction de Henri VÉRINEDans Les Sciences et leurs langages - 2000
De la terminologie anatomique à la nomenclature anatomique française
Vincent DELMASSous la direction de Henri VÉRINEDans Les Sciences et leurs langages - 2000
La terminologie en grammaire : disparate et pesanteurs
Joëlle GARDES-TAMINESous la direction de Henri VÉRINEDans Les Sciences et leurs langages - 2000
La terminologie, clé et témoin des échanges de savoirs scientifiques : de la botanique arabo-persane aux thesaurus informatiques
Marion DEBOUTSous la direction de Henri VÉRINEDans Les Sciences et leurs langages - 2000
Les Outils de la réflexion : Épistémologie
François DAGOGNETÉditeur : Les Empêcheurs de penser en rond - 1999
L'ambition est ici de fournir une description rigoureuse de l'espace notionnel de l'épistémologie contemporaine. Cet ouvrage vise à répertorier les termes et expressions techniques les plus utilisés en philosophie des sciences. Il s’agit, selon l’auteur, d’un inventaire systématique de tous les concepts importants introduits au XXe siècle, couvrant les publications jugées les plus significatives et les plus importantes en langue française et anglaise, et «allant, en gros, de Pierre Duhem à Bas van Fraassen». On se rendra compte de l’ampleur du projet si l’on considère les quelques 3000 entrées étalées sur presque 800 pages. Outre une introduction précédant le lexique proprement dit et les références bibliographiques, l’ouvrage comporte un glossaire anglais-français, ainsi qu’un appendice portant sur les symboles logiques et ensemblistes. L’intérêt pratique d’une telle nomenclature étant manifeste, reste la question de son intérêt théorique que l’auteur aborde en introduction. Face aux constats usuels du développement accéléré et de la fragmentation des savoirs, la philosophie générale des sciences peut, nous dit l’auteur, exercer un rôle unificateur et favoriser l’interdisciplinarité, ne serait-ce qu’en sa qualité de cadre analytique de l’ensemble des discours scientifiques. Exhibant nombre de rapports entre les termes récurrents dans les ouvrages particulièrement représentatifs de la philosophie des sciences, le Vocabulaire technique et analytique de l’épistémologie met implicitement en relief la structure conceptuelle de ce métadiscours et en affine les contours. M.-M. V.
Actes des deux Congrès nationaux des Sociétés historiques et scientifiques, tenus respectivement à Amiens en 1994 (pour le 119e), et à Aix-en-Provence en 1995 (pour le 120e), avec pour thème commun «Les sciences et leurs langages». – L’exploration méthodique du monde nécessite une multitude de termes pour désigner les espèces et les objets rencontrés, mais aussi les fonctions et les mécanismes découverts. Or ces mots, qui devraient avoir une portée universelle pour assurer une large diffusion de la connaissance scientifique, subissent parfois des changements pouvant altérer radicalement leur sens initial. L’enrichissement des connaissances, la constitution de puissantes banques de données, la demande légitime d’une large diffusion de l’information exigent la mise en place de terminologies et de nomenclatures rigoureuses dans les sciences. – Après une Introduction de Marcel V. Locquin sur le glissement métaphorique “Du concept scientifique à la notion triviale”, les communications sont regroupées selon leur discipline en trois Parties : – I. «Sciences de la matière et mathématiques» : Germaine Aujac, “Astronomie et géographie grecques, un vocabulaire toujours actuel” ; André Le Bœuffle, “Cicéron, traducteur du vocabulaire astronomique grec” ; Simone Dumont, “Évolution de la nomenclature du système solaire …” ; Monique Gros, “Des nébuleuses à la nébuleuse du Crabe” ; Catherine Turon, “Rôle de nomenclature dans la préparation de la mission spatiale Hipparcos” ; Jean Bass, “Quelques remarques sur le vocabulaire mathématique” ; “Suzanne Débarbat, “La nomenclature du système métrique …” ; Daniel Pajaud et Jacqueline Lorenz, “Terminologie et nomenclature en géologie …” ; Georges Deicha, “Découvertes individuelles et terminologies spécialisées”. – II. «Sciences de la vie» : Bruno de Foucault et Renée Claisse, “La nomenclature des objets de la botanique et des sciences associées : approche structurale” ; Pierre Garnier, “Les noms populaires des plantes : diversité d’inspiration selon les langues” ; Jean-Loup D’Hondt, “Aux sources de l’invention taxinomique …” ; Remi Coutin, “Le vocabulaire des entomologistes” ; Renée Bange et Christian Bange, “Le vocabulaire des sciences de la vie …” ; Renée Bange et Christian Bange, “Élaboration des concepts et évolution du vocabulaire de la physiologie animale” ; Vincent Delmas, Robert Barone et Roger Saban, “De la terminologie anatomique à la nomenclature anatomique française” ; Jean-Christophe Abramovici, “La science face à l’obscène : dire le sexe sous les Lumières” ; Bertha M. Gutiérrez Rodilla, “Les nomenclatures médicales en Espagne”. – III. «Sciences humaines» : Joëlle Gardes-Tamine, “La terminologie en grammaire …” ; Marion Debout, “La terminologie, clé et témoin des échanges de savoirs scientifiques …” ; Martine Groult, “L’interdisciplinarité des sciences par le langage dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert” ; Ad Hermans et Caroline de Schaetzen, “Évolution du lexique des langues spécialisées” ; Frédéric Tachot, “Naissance et sens d’un jargon …” ; Michel Tanase, “Dérive ou débandade terminologique en sciences humaines” ; Philippe Thoiron, “La traduction des termes scientifiques …” ; Maria Grazia Vacchina, “Langage scientifique : traduire, sans trahir, les auteurs latins et grecs” ; Henri Vérine, “Les expressions scientifiques à nom propre”. – Liste des AA. ; – Bibliogr. et résumés en fin d’articles. M.-M. V.
L’A. difende una concezione operazionistica e realistica della conoscenza scientifica, che muove dalla tesi della natura tecnica di questa stessa conoscenza. Per risolvere l’antinomia cui conduce la tesi della theory ladenness viene delineato un “operazionismo tecnico”, secondo il quale il criterio distintivo (anche se non esclusivo) della verità d’una ipotesi empirica consiste nella sua traducibilità tecnica. Le ipotesi empiriche non devono in linea di principio includere alcun contenuto che non sia riconducibile alla progettazione, alla costruzione e all’uso di apparati tecnici. Muovendo da queste premesse viene affrontato soprattutto il problema della natura dei termini – e degli enti – teorici e la tesi dell’ incommensurabilità. Per quanto concerne il problema dei termini teorici, tutti i concetti sono “carichi di teoria”, ma tutti debbono essere in linea di principio riconducibili ad applicazioni tecnico-operative. Per quanto riguarda invece il problema dell’ incommensurabilità, è concesso ai teorici dell’ incommensurabilità che in una rivoluzione scientifica mutano sia i significati di certi termini sia i loro riferimenti, ma viene negato che cio` comprometta la possibilità di un autentico progresso scientifico, entro un processo di cui si sottolinea la natura ermeneutica. M. F.
Cet ouvrage constitue – après Savoir et pouvoir en médecine (Paris, Les Empêcheurs de penser en rond, 1998) – le second volume des écrits de François Dagognet. Véritable boîte à outils, l'ouvrage se divise en quatre compartiments. Qu'est-ce que l'épistémologie ? Telle est la question au centre de la première section de l'ouvrage, dans laquelle l'auteur traite successivement de ses trois figures (1° l'épistémologie comme recherche des conditions de possibilité du savoir, 2° l'épistémologie comme effort de mise au jour des obstacles épistémologiques, 3° l'épistémologie comme travail de dégagement a posteriori d'une méthode de découverte), de deux de ses problèmes majeurs (ceux de la preuve et de la mesure), de la transposition analogique de ses méthodes (l'interdépendance entre les disciplines du savoir) et enfin d'un exemple paradigmatique – l'épistémologie de la biomédecine – dans la mesure où cette dernière a servi à l'auteur de modèle pour dégager ce qu'il appelle « la triade épistémologique », soit les conditions techno-logiques de possibilité du savoir, objet de la seconde section de l'ouvrage. Ces dispositifs techno-logiques intellectuels sont : le graphe, le mot et la classe. La troisième section étudie les rapports entre épistémologie et ontologie, i.e. entre nos catégories de pensée et les architectures matérielles. C'est pourquoi elle rassemble des articles sur la question du corps et des corps, sur l'ontologie matérielle (i.e. la vraie compréhension d'un corps ou d'un être), l'ontologie formelle (i.e. la systématique qui relie ces corps), le schème arborescent (i.e. la forme de cette systématique selon l'auteur), la positivité des supports et des matériaux dans la constitution et la transformation des ontologies. La quatrième et dernière section propose un examen critique de l'image de la science telle qu'elle est vue dans nos sociétés ainsi que les éléments d'une pédagogie pour un partage démocratique de ses découvertes et de ses résultats, la didactique constituant selon l'auteur « l'un des rameaux les plus prometteurs d'une épistémologie soucieuse de transmettre la scientificité ». – Sommaire, pp. 7-8 ; I. Le champ épistémologique ; II. La triade épistémologique ; III. Une épistémologie ontologisante ; IV. Une épistémologie sociologisante.
F. F.