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Théorie et simulation dans les modèles dynamiques non-linéaires
Giorgio TURCHETTISous la direction de Sara FRANCESCHELLI, Michel PATY, Tatiana ROQUEDans Chaos et systèmes dynamiques. Éléments pour une épistémologie des systèmes dynamiques - 2007
Simulations numériques et expérimentation
Anouk BARBEROUSSE, Sara FRANCESCHELLI, Cyrille IMBERTSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
The Philosophical Computer. Exploratory Essays in Philosophical Computer Modeling : With the Group for Logic & Formal Semantics
Patrick GRIM, Gary MAR, Paul ST. DENISÉditeur : The MIT Press - 1998
Pluralismes scientifiques : Enjeux épistémiques et métaphysiques
Stéphanie RUPHYÉditeur : Hermann - 2013
L’Observation scientifique : Aspects philosophiques et pratiques
Vincent ISRAEL-JOSTÉditeur : Classiques Garnier - 2015
Cet article est consacré à l’analyse des modalités de la simulation numérique en rapport au comportement théorique d’un système physique. Pour ce faire, il considère la dynamique non linéaire de l’accélération de faisceaux, modélisée en termes de mouvement de particules individuelles et d’effets collectifs. – 1, Introduction; – 2, Évolution temporelle; – 3, Erreurs d’arrondi; – 4, Le modèle d’accélérateur.
Les auteurs s’interrogent sur la caractérisation épistémologique de cette «couche médiatrice» qu’est la simulation, comprise entre le système à étudier et les résultats du processus de simulation, ces derniers étant susceptibles de s’intégrer dans un édifice théorique requérant des données d’expériences en vue de sa corroboration empirique. Est étudiée la question primordiale de la calibration non pas ici de l’instrument de mesure (comme dans les expériences «réelles»), mais dans le dispositif de simulation, dont on peut dire qu’il est un instrument de calcul.
Philosophical modeling is as old as philosophy itself; examples range from Plato's Cave and the Divided Line to Rawls's original position. What is new are the astounding computational resources now available for philosophical modeling. Although the computer cannot offer a substitute for philosophical research, it can offer an important new environment for philosophical research. – The authors present a series of exploratory examples of computer modeling, using a range of computational techniques to illuminate a variety of questions in philosophy and philosophical logic. Topics include self-reference and paradox in fuzzy logics, varieties of epistemic chaos, fractal images of formal systems, and cellular automata models in game theory. Examples in the last category include models for the evolution of generosity, possible causes and cures for discrimination, and the formal undecidability of patterns of social and biological interaction. The cross-platform CD-ROM provided with the book contains a variety of working examples, in color and often operating dynamically, embedded in a text that parallels that of the book. Source code of all major programs is included to facilitate further research. – Contents : Preface. Introduction. – 1. Chaos, Fractals, and the Semantics of Paradox; – 2. Notes on Epistemic Dynamics; – 3. Fractal Images of Formal Systems; – 4. The This Evolution of Generosity n a Hobbesian Model; – 5. Real-Valued Game Theory: Real Life, Cooperative Chaos, and Discrimination; – 6. Computation and Undecidability in the Spatialized Prisoners Dilemma. – Appendix A: Competitive Strategies Adequate for a Minsky Register Machine; – Appendix B: An Algebraic Treatment for Competitive Strategies. Afterword. Notes; Index.
Existe-t-il différentes sortes d’objets qui ne sont scientifiquement connaissables que de différentes manières ? Quelles relations peut-on alors établir entre les théories des différentes sciences ? L’existence de plusieurs représentations incompatibles d’un même phénomène est-elle dès lors l’expression d’une imperfection épistémique ? Tels sont les trois grands problèmes affrontés dans cet ouvrage, qui porte sur le thème de l’unité et de la pluralité dans les sciences. Dans un premier temps (chapitre 1) l’auteure revient sur le programme (porté par le Cercle de Vienne) d’une science unitaire fondée sur l’unité linguistique, puis sur le pluralisme des reconstructions rationnelles de Rudolph Carnap, et enfin, sur le problème de l’unité méthodologique de la logique de la justification en philosophie des sciences, afin de proposer une position pluraliste nouvelle – le « pluralisme feuilleté » – fondée sur le concept de «style de raisonnement scientifique» (introduit par Ian Hacking). Après avoir traité le problème de la cartographie des champs scientifiques, de l’unité ou de la pluralité des langages, méthodes et objets scientifiques, l’auteure s’attaque à celui des relations interthéoriques entre les différentes sciences, ainsi qu’au problème métaphysique de l’ordre et du désordre mondains, sous-jacent à la thématique de l’unité et de la pluralité des sciences (chapitre 2) : 1° en examinant les arguments antiréductionnistes (de Jerry Fodor, Philip Kitcher, John Dupré et Nancy Cartwright) et en mettant au jour leurs fondements métaphysiques ; 2° en proposant une analyse critique du pluralisme nomologique (i.e. l’antiréductionnisme horizontal de Nancy Cartwright) ainsi que de l’approche structuraliste (i.e. le réductionnisme vertical de Carlos-Ulises Moulines), tous deux conduisant à des thèses métaphysiques relatives à l’ordre et au désordre mondains. Dès lors elle propose deux types d’interconnexions non réductives entre théories scientifiques: l’analogie et l’unification synthétique. Le problème affronté dans le dernier chapitre est celui de la pluralité des représentations d’un phénomène par plusieurs sciences (chapitre 3). Après avoir présenté l’état du débat actuel entre monistes et pluralistes sur la question des représentations scientifiques et son enjeu central (celui de la compatibilité entre pluralisme représentationnel et engagement réaliste) elle illustre la pertinence et les enjeux de la thèse pluraliste grâce à l’analyse de deux types de systèmes de représentations: d’une part les modèles de simulations numériques en cosmologie ; d’autre part les systèmes de classification des étoiles en astrophysique. Elle est ainsi conduite à défendre une interprétation pragmatique de la stabilité des taxinomies stellaires et une interprétation réaliste de la notion d’espèce naturelle dans les sciences physiques. - Fig.1: «Illustration comparative des problématiques principales des chapitres 2 et 3», p. 16 ; Fig.2: «Illustration de la dépendance au chemin du Millenium Run», p. 193 ; Conclusion, pp. 251-259 ; Références bibliographiques, pp. 261-276 ; Table des matières, pp. 277-278.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Jean Gayon : Philosophie : 1 vol. : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : 2011 : 359 p.]. – De quelles expérimentations scientifiques, réalisées au moyen de quels instruments, peut-on dire qu’elles relèvent de l’observation ? L’objectif de cet ouvrage est de contribuer à une refonte du concept d’observation à partir d’études de cas issues des pratiques contemporaines de l’investigation empirique, comme l’imagerie biomédicale par exemple. La thèse défendue par l’auteur est que les énoncés d’observation jouissent d’un privilège épistémique. L’ouvrage est divisé en deux grandes parties : une première, de nature épistémologique, philosophique, historique et critique ; une seconde, de nature empirique, fondée sur des résultats d’enquêtes menées sur des pratiques d’investigations scientifiques d’ordre observationnel. La première partie commence par une présentation détaillée de la conception de l’observation développée par l’empirisme logique au début des années 1930 (partie 1, chapitre 1) puis enchaîne sur un examen critique de cette conception à la lumière des critiques formulées dans les années 1950 par des philosophes post-positivistes comme Norwood Russell Hanson ou Wilfrid Sellars (partie 1, chapitre 2). Enfin, l’auteur propose une conception nouvelle de l’observation – qu’il nomme « empirisme itératif » – dans laquelle l’autorité épistémique de l’observation est présentée comme le résultat d’un processus dynamique d’interaction entre le sujet connaissant, l’expérience, et les moyens à la fois conceptuels, matériels et épistémologiques dont disposent les scientifiques au travail. Le résultat de ce processus dynamique aboutit, dans les meilleurs cas, à une stabilisation de l’investigation empirique. Dans la seconde partie, l’auteur donne la chair au squelette théorique de cet empirisme itératif. En s’appuyant sur les travaux de Jim Bogen, James Woodward et Allan Franklin, il s’agit pour lui de construire un concept d’observation dérivé du concept d’expérience médiate, lui-même fondé sur des données qu’il s’agit d’analyser à partir d’un cadre interprétatif pertinent (partie 2, chapitre 1), d’un équipement instrumental robuste et précis (partie 2, chapitre 2) et d’un traitement mathématique opéré informatiquement à partir du format numérique de manipulation de ces données (partie 2, chapitre 3). Cette seconde partie se termine sur la présentation détaillée d’une étude de cas : l’application de la tomographie d’émission monophotonique (TEMP) au petit animal (partie 2, chapitre 4). – Préface de Stéphanie Ruphy, pp. 7-10 ; Introduction, pp. 11-18 ; Première partie : « Conceptions philosophiques de l’observation », pp. 21-118 ; Deuxième partie : « Les pratiques contemporaines de l’observation », pp. 121-248 ; Conclusion, pp. 249-253 ; Illustrations, pp. 255-266 ; Bibliographie, pp. 267-273 ; Index, pp. 275-276 ; Table des illustrations, pp. 277-279 ; Table des matières, pp. 281-284.
F. F.