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Les Notions de métaphore et d’analogie dans les épistémologies des modèles et des simulations
Franck VARENNEÉditeur : Pétra - 2006
Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes : Modèles, simulations, systèmes
Sous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREÉditeur : Syllepse - 2008
Introduction. Modèles, simulations, systèmes
Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTRESous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
Que peut expliquer un modèle complexe et peut-on le comprendre ?
Pierre-Alain BRAILLARDSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
Modèles et simulations : pluriformaliser, simuler, remathématiser
Franck VARENNESous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
Impact de l’organisation du marché. Comparaison de la négociation de gré à gré et des enchères descendantes
Alan KIRMAN, Sonia MOULETSous la direction de Gérard WEISBUCH, Hervé P. ZWIRNDans Qu’appelle-t-on aujourd’hui les sciences de la complexité ? Langages, réseaux, marchés, territoires - 2010
Fonds structurels européens et interactions régionales
Bernard ELISSALDE, Patrice LANGLOIS, Dominique GOYATSous la direction de Gérard WEISBUCH, Hervé P. ZWIRNDans Qu’appelle-t-on aujourd’hui les sciences de la complexité ? Langages, réseaux, marchés, territoires - 2010
Principe de charité et sciences de l'homme
Denis BONNAY, Mikaël COZICSous la direction de Thierry MARTINDans Les sciences humaines sont-elles des sciences? - 2011
La complexité et les phénomènes : Nouvelles ouvertures entre science et philosophie
Fausto FRAISOPIÉditeur : Hermann - 2012
La Vicariance : Le cerveau créateur de mondes
Alain BERTHOZÉditeur : Odile Jacob - 2013
Imagination et invention (1965-1966)
Gilbert SIMONDONSous la direction de Nathalie SIMONDONÉditeur : Presses Universitaires de France - 2014
La collection «Acta stoïca» est dédiée à la publication des textes émanant de STOÏCA, équipe de recherche en sciences humaines et sociales de l’INSA (Institut National des Sciences Appliquées) de Lyon. Son objectif, pluridisciplinaire, est de penser l’usage des théories, des modèles, des concepts, de leur organisation et de leur récit dans le cadre des modifications de la cartographie des savoirs résultant des sciences de l’ingénieur et des méthodes de conception. – Après l’Introduction d’A.-F. Schmid sur «La situation de l’épistémologie, la question des modèles et de la simulation», on trouve la communication de Franck Varenne, «Les notions de métaphore et d’analogie dans les épistémologies des modèles et des simulations». Les épistémologues commencent à s’intéresser à la modélisation dans les sciences dès le début des années 1960. Les figures de style que sont la métaphore et l’analogie ont été souvent employées pour décrire la fonction des modèles. Aujourd’hui, l’instrument d’investigation qu’est le modèle ne donne plus toujours lieu à ce genre de rapprochement direct avec les pratiques linguistiques. Pourtant, les interprétations pragmatistes les plus contemporaines ne semblent pas assez adaptées pour faire comprendre précisément les simulations informatiques, les multi-modèles et leurs fonctions quasi-empiriques. Pour concevoir ces nouvelles fonctions propres aux modèles de simulation, l’auteur propose notamment l’idée d’un «computationalisme» qui viendrait s’adjoindre aux deux postures scientifiques («rationalisme» et «matérialisme») que Bachelard avait conçues dans un rapport originellement dialectique. La fréquente métaphore de la «métaphore» ne paraît plus généralisable lorsqu’il s’agit de concevoir les modèles actuels, dès lors qu’elle repose sur une vision linguistique souvent réductrice. – La conférence est suivie de la retranscription de la «Discussion» qu’elle a suscitée entre diverses personnalités extérieures : Roger Balsollier, Pierre Crépel, Jean-Claude Dumoncel, Michel Faucheux, Jean-Marie Legay, Marcel Miramond, Philippe-Marie Morel. M.-M. V.
Consacré au triptyque Modèle/Simulation/Système réunissant des outils de connaissance, des moyens de connaître (les modèles, les simulations) et des objets extrêmement présents en biologie (les systèmes), cet ouvrage collectif a pour ambition de présenter quelques réflexions emblématiques des débats en cours sur ces quextions, ainsi que des études de cas, principalement dans le domaine de la biologie. La simultanéité d’un regard sur les modèles-simulations et sur les systèmes permet de constater un fait épistémologique majeur : la montée en puissance du réalisme des modèles-simulations ainsi que l’essor d’une nouvelle biologie des systèmes, biologie réclamant d’importants moyens de calcul et des outils conceptuels à la hauteur du déferlement de données expérimentales qui caractérise, notamment, cette approche de la biologie. Sont également explorées ici les interrogations cruciales que suscite cette dernière, par exemple quant à l’existence et à la mise en évidence de principes généraux du vivant ou de lois du vivant. M.-M. V.
Cette introduction rend compte des clivages nouveaux dans les types et dans les usages des modèles et des simulations qui, dans le même mouvement, obligent à penser conjointement et à nouveaux frais la notion déjà vieillie de «système», notion que l’on voit pourtant réapparaître dans nombre d’intitulés de programmes de recherche depuis quelques années.
Le constat de l’extraordinaire pléthore des données issues de plusieurs domaines de la biologie récente, notamment la biologie des systèmes, conduit l’auteur à analyser notre capacité à traiter ces masses de données afin de leur conférer intelligibilité et pertinence. Après avoir présenté quelques exemples de biologistes des systèmes produisant à la fois des résultats sur leurs objets d’études et sur leurs interprétations du rôle épistémique des modèles et des simulations, l’article indique une typologie éclairante de ces derniers : il existerait (i) des modèles prédictifs mais non explicatifs (par défaut d’attribution de mécanismes causaux), (ii) des modèles prédictifs et explicatifs mais pas ou peu compréhensibles, en ce qu’ils n’ont pas la capacité d’exhiber un schéma causal clair, entre un état initial et un état final, (iii) des modèles porteurs d’intelligibilité qualitative mais peu calculatoires.
L’article entend montrer que les modèles formels continuent d’évoluer sur le terrain et qu’ils ont tendance aujourd’hui à faire place à ce que l’auteur appelle des pluriformalisations, c’est-à-dire des formalisations faisant coexister plusieurs types de formalismes : logiques, géométriques, probabilistes, etc. Contrairement à ce qui était possible dans les décennies précédentes, ces pluriformalisations sont utilisables et manipulables car elles peuvent être suivies de pratiques de simulations intégratives sur ordinateur. Par la suite, certains programmes de recherche avancés vont jusqu’à atteindre une phase de remathématisation.
Cet article compare deux modes institutionnels classiques de confrontation dynamique entre l’offre et la demande d’un bien : les enchères descendantes et les négociations bilatérales. Il s’appuie sur la simulation sur longue période des prix par des systèmes multi-agents avec classificateurs, et examine diverses variantes, – agents plus ou moins homogènes, – concurrence plus ou moins forte. Une optimisation des échanges par la méthode du «recuit simulé» complète l’ensemble.
L’objectif de cet article est de s’interroger sur la question de la convergence des régions européennes à partir du fonctionnement du modèle GéoCells-Europe, issu de la plate-forme de simulation de processus géographiques GéoCells. Ce modèle cherche à comprendre le rôle des effets de voisinage dans la répartition de correctifs aux processus de concentration centre-périphérie, à l’échelle des régions européennes.
Adopter le principe de charité, c'est avoir une approche systématique de l'homme en tant qu'animal rationnel «pour étudier la rationalité en elle-même» (p. 119). Une telle position de principe rend donc possible l'élaboration de modèles de rationalité articulant des contraintes de rationalité, c'est-à-dire « les règles générales que doivent respecter les états mentaux et les comportements d'un être rationnel » (p. 119). De prime abord, l'enjeu d'un tel principe semble être de montrer l'intérêt épistémologique de l'hypothèse de rationalité, c'est-à-dire d'une étude systématique de l'homme en tant qu'animal rationnel dont les comportements répondent aux contraintes de rationalité : car une telle hypothèse semble permettre « d'asseoir les sciences de l'homme sur des modèles – les modèles de rationalité. » (p. 121) L'objectif de cet article est d'examiner les conditions d'une remise en question du principe de charité et les conséquences épistémologiques qu'elle implique d'après les résultats auxquels conduisent les sciences cognitives, et en particulier, la théorie de la simulation, « laquelle pose que les mécanismes d'interprétation et de compréhension des comportements d'autrui passent (...) par une opération de simulation grâce à laquelle celui qui cherche à comprendre ces comportements se met mentalement dans une situation analogue à celle d'autrui. » (p. 12)
F. F.
Cet ouvrage constitue une étude préparatoire longue et patiente, c’est-à-dire méthodologique, à une phénoménologie de la complexité telle que la science l’explore depuis le début du XXe siècle, autrement dit depuis la crise des fondements en mathématiques et l’apparition de la mécanique quantique. Une phénoménologie de la complexité est requise, car cette dernière se manifeste dans les modèles qu’élabore la science depuis plus d’un demi-siècle : complexité du vivant, des modèles économiques, de la cognition, etc. Or le propre des modèles, c’est qu’ils ne présupposent aucune ontologie préalable. Dès lors, interroger les sciences de la complexité, c’est-à-dire s’y ouvrir, nous conduit nécessairement à reconnaître qu’elles viennent mettre en crise la conception de l’unité de la science qui a dominé pendant presque quatre siècles (celle de la Mathesis universalis héritée du XVIIe siècle) et de ses présupposés métaphysiques (ceux de l’onto-théologie). L’ouvrage se divise en quatre grandes parties. Les deux premières développent les arguments en faveur de l’ouverture des théories de la complexité à la philosophie : car seule une telle ouverture peut expliciter le potentiel spéculatif de ces sciences. Les deux secondes développent les arguments en faveur de l’ouverture inverse : celle de la philosophie aux sciences de la complexité, dans la mesure où ces dernières font entrer en crise l’idée traditionnelle du savoir et de l’unité de la science. – Partie I : « Géographie du complexe » ; Partie II : «L’émergence théorique du complexe» ; Partie III : « Phénoménologie » ; Partie IV : « Perspectives métathéoriques » ; Tables et illustrations, pp. 551-555 ; Bibliographie, pp. 557-574 ; Index des noms propres, pp. 575-580 ; Table des matières, pp. 581-586.
F. F.
Alain Berthoz poursuit les recherches entreprises dans son précédant ouvrage paru en 2009 intitulé La Simplexité. La vicariance, comme la simplexité, est liée à des situations problématiques d’origine vitale. Elle désigne en effet un concept de résolution de problèmes, qui permet de penser tantôt la tension entre la singularité incidente d’une solution nouvelle face à un problème déjà connu ; tantôt celle entre la position d’un problème original face à une batterie de solutions dont on dispose déjà. Or un problème se pose dès qu’une conduite finalisée rencontre un obstacle à sa réalisation. Dès lors, un comportement vicariant consiste à créer une solution nouvelle (plus élégante et plus efficace) pour la résolution d’un problème déjà connu ; ou à faire usage de la solution d’un problème pour en résoudre un autre. Mais les acceptions de ce concept sont multiples : on le trouve utilisé en biologie (vicariance alvéolaire), en paléontologie (vicariance biogéographique), en psychologie (vicariance fonctionnelle), en linguistique (conjonction de coordination dite «vicariante») ou encore en éthologie (vicariance liée à la notion d’Umwelt). En empruntant de nombreux exemples tirés des expériences menées au sein des neurosciences modernes (en particulier en neurophysiologie) et de la recherche interdisciplinaire (psychologie, ingénierie, informatique et robotique) la première partie de l’ouvrage (chapitres 1 à 4) présente un certain nombre de formes de vicariance fonctionnelle (gestuelle, prothétique, perceptive, etc.) et montre en quoi la vicariance renvoie fondamentalement à un jeu de substitutions entre des stratégies liées à l’accomplissement de certains actes. Dans cette mesure, la vicariance est créatrice de scénarios dans des mondes possibles et constitue ainsi un trait d’union entre le passé remémoré et l’avenir simulé. Dès lors, en questionnant la notion d’avatar (i.e. celle de personnage virtuel) dans le cadre du couplage homme-machine, l’auteur est conduit à présenter une nouvelle forme de vicariance (la vicariance que l’on peut qualifier de « robotique ») fondée sur la relation entre les géométries de deux espaces (l’espace moteur et l’espace de l’action). Ce qui l’amène à exposer les bases neurales de cette forme de vicariance fondée sur le changement de référentiel spatial. La seconde partie de l’ouvrage (chapitres 5 et 6) présente les facteurs périphériques (motivation, intérêt, attention, plaisir et expérience) paramétrant la plasticité cérébrale, et donc conditionnant la vicariance fonctionnelle dans le cerveau. Elle permet ainsi de faire la transition entre les processus vicariants à l’œuvre dans la vie individuelle (première partie) et ceux à l’œuvre dans la vie sociale (troisième partie). L’hypothèse de l’auteur dans la troisième partie étant que l’émotion est un puissant agent de vicariance, il examine deux formes subjectives de la connaissance : la sympathie et l’empathie (chapitres 7 et 8). Enfin, dans une quatrième et dernière partie il présente les théories – celles de Maurice Reuchlin, Lev Vygotski, Albert Bandura et Antoine de La Garanderie – qui explorent les rapports entre apprentissage et vicariance. – Prologue, pp. 7-9 ; Introduction : « Les enjeux », pp. 11-19 ; Première partie : « L’acte vicariant » ; Deuxième partie : « Ontogenèse et plasticité » ; Troisième partie: «Vicariance et partage des émotions»; Quatrième partie : « Les apprentissages vicariants » ; Épilogue : « Le cerveau créateur de mondes », pp. 181-203 ; Notes, pp. 205-227 ; Index, pp. 229-232 ; Remerciements, p. 233 ; Table des matières, pp. 235-238.
F. F.
Ce cours de Gilbert Simondon – professé en 1965-1966 à la Sorbonne, et publié pour la première fois dans le Bulletin de Psychologie entre novembre 1965 et mai 1966 –, expose une puissante théorie génétique du cycle des images, de leur primitivité motrice à leur existence concrète incarnée sous forme d’objets inventés recelant une puissance symbolique. Cette théorie originale (et absolument non fantaisiste) est fondée sur de vastes connaissances digérées, à la fois précises et détaillées, de la psychologie scientifique (psychanalyse, psychologie génétique, psychologie animale), de la biologie, de la zoologie et de l’éthologie du temps de l’auteur. Elle est en outre illustrée et mise en perspective à travers une vaste culture littéraire, esthétique, sociologique, technique, philosophique et même populaire, toujours mobilisée avec la plus grande pertinence. Ce cours de Gilbert Simondon est important et même décisif, dans la mesure où il donne un fondement épistémologique, et donc une robustesse, à une théorie philosophique de l’imagination créatrice, point qui faisait alors cruellement défaut aux grandes conceptions de l’imagination de trois de ses illustres prédécesseurs : Bergson, Bachelard et Sartre. – Présentation de Jean-Yves Chateau : « Une théorie de l’image à la lumière de la notion d’invention et de l’invention à la lumière de la notion d’image », pp. vii-xxxiii ; Préambule de Gilbert Simondon, pp. 3-6 ; Introduction de Gilbert Simondon, pp. 7-28 ; Première partie : « Contenu moteur des images. L’image avant l’expérience de l’objet » ; Deuxième partie : « Contenu cognitif des images. Image et perception » ; Troisième partie : « Contenu affectivo-émotif des images. Image a posteriori, ou symbole » ; Conclusion, pp. 185-191 ; Bibliographie, pp. 193-195 ; Index des noms propres, pp. 197-199 ; Index des principaux concept, pp. 199-202 ; Table des matières, pp. 203-206.
F. F.